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Dernier Carré "Léon Degrelle" - Page 16

  • Cercle des Amis de Léon Degrelle

     

    Toujours à la pointe de l’information degrellienne

     

     

    Comme à son habitude, la dernière livraison de la « Correspondance privée » (le trentième numéro déjà de ce périodique quadrimestriel !) du Cercle des Amis de Léon Degrelle nous offre son lot impressionnant d’informations indispensables.

     

    692e8c49a010c12702ef908b496ddfa5-horz.jpgC’est ainsi que nous avons appris le décès de Gudrun Himmler, épouse Burwitz, fille du Reichsführer SS, le 24 mai 2018, à l’âge de 88 ans. Convaincue que le prétendu suicide de son père n’était que le maquillage d’un assassinat (voir ce blog au 28 novembre 2017 ainsi que Joseph Bellinger, La Mort d’Himmler : suicide ou assassinat, Akribeia, 2007), Gudrun ne cessa jamais de défendre sa mémoire et soutint activement l’association d’aide aux prisonniers de guerre et internés de l’ancien Reich, Stille Hilfe (« Aide silencieuse »). Elle fonda en 1952 le mouvement de jeunesse Wiking-Jugend qui s’étendit à l’Europe entière et que le gouvernement fédéral allemand finit par interdire en 1994 (notamment pour utilisation de la rune Odal comme emblème !). Née le 8 août 1929, elle épousa vers la fin des années 1960 Wulf-Dieter Burwitz dont elle eut deux enfants.

     

    Cette correspondance du Cercle des Amis de Léon Degrelle attire aussi notre attention sur la répression qui s’abat sur les nationalistes, rappelant l’aide à fournir au courageux Yvan Benedetti (contact : CLAN, 38 rue Dunois 75647 Paris Cedex 13 ; voir aussi ce blog aux 22 janvier et 30 novembre 2016) ainsi qu’au journaliste Hervé Ryssen condamné à un an de prison ferme : son livre L’antisémitisme sans complexe ni tabou. Plaidoyer pour la liberté d’expression (272 pages, 25 euros port compris) est à commander directement à l’auteur en ligne http://herveryssen-leslivres.hautetfort.com.

     

    Soutien-Yvan-Benedetti-horz.jpg

     

    Le cas « Pascal Mancini – Léon Degrelle »

     

    Parmi les cas de répression aveugle pour insoumission au politiquement correct, nous épinglerons, –car elle est en relation directe avec Léon Degrelle–, la nouvelle stupéfiante de l’exclusion par la fédération officielle Swiss Athletics du sprinter Pascal Mancini des Championnats d’Europe d’Athlétisme de Berlin 2018 ainsi que du retrait de sa licence d’athlète pour avoir… « cité à deux reprises un certain Léon D., Léon Degrelle, qui serait un ancien officier SS, ardent défenseur du nazisme et des thèses négationnistes » ! Rappelons que nous ne sommes pas dans l’Europe de Bruxelles soumise aux lobbys, mais dans la Suisse des votations démocratiques.

     

    Empressons-nous aussi de préciser que ces citations (anonymes) étaient faites sur le compte Facebook de l’athlète et donc peu susceptibles d’émouvoir le monde entier sans le concours des chiens de garde du politiquement correct, que sont les journalistes de la presse subsidiée.

     

    Mais quelles étaient ces citations ? Des apologies « du nazisme et des thèses révisionnistes » ?

     

    Les voici.

     

    mancini-degrelle-1.jpg« Ce qui compte, c’est d’avoir possédé en soi l’essentiel : la passion du grand, du pur, du beau, du juste et de l’avoir projetée amplement et fraternellement parmi les hommes. Léon D. »

     

    « Ceux qui hésitent devant l’effort sont ceux dont l’âme est engourdie. Un grand idéal donne toujours la force de mater son corps, de souffrir la fatigue, la faim, le froid. Qu’importent les nuits blanches, le travail accablant, les soucis ou la pauvreté ! L’essentiel est d’avoir au fond de son cœur une grande force qui réchauffe et qui pousse en avant, qui renoue les nerfs déliés, qui fait battre à grands coups le sang las, qui met dans les yeux le feu qui brûle et qui conquiert. Léon D. »

    (Extrait de Les Âmes qui brûlent, « Vie droite », p. 25. Ouvrage toujours disponible aux Editions de l’Homme Libre, voir ci-après)

     

     Pascal Mancini 3.jpgIl est particulièrement consternant d’apprendre qu’un athlète de niveau olympique –champion suisse du 100m– se voie sanctionné des peines les plus extrêmes pour avoir repris des aphorismes de la plus haute élévation spirituelle, exaltant la puissance vivifiante d’un idéal de beauté, de pureté, de dépassement de soi et de fraternité : on pourra difficilement trouver plus méchant interdit professionnel pour délit d’opinion. Le pire, c’est que la fédération sportive suisse ose prétendre que Mancini a violé sa charte éthique puisqu’il ne s’est pas abstenu « de publier des contributions discriminatoires ou racistes dans le cadre de l’athlétisme » !... Cherchez l’erreur…

     

    De plus, le procès fait au pauvre sprinter d’avoir coupablement anonymisé le nom de Léon Degrelle en « Léon D. » est imbécile, car la dissimulation de l’identité de l’auteur, loin de prouver quelque intention délictueuse, ne pouvait manifestement servir qu’à permettre de lire et comprendre les citations sans les œillères des chasseurs de sorcières…

     

    Aussi est-ce bien volontiers que nous répercutons le pathétique appel de Pascal Mancini :

    « Pour me faire un don de manière totalement anonyme et rapide sur Paypal.

    C’est une véritable mise à mort sportive et sociale qui est en cours. Je n’aime pas demander de l’argent, mais croyez-moi que je n’ai pas le choix si je veux avoir une chance de m’en sortir face à la violence et à l’acharnement médiatiques et institutionnels. Je vous remercie. paypal.me/pools/c/86ImpPbNSA »

     

    De nouveaux ouvrages de Léon Degrelle

     

    La 30e Correspondance privée du Cercle des Amis de Léon Degrelle est la première publication à annoncer officiellement la sortie de deux nouveaux ouvrages de Léon Degrelle par les courageuses éditions de L’Homme Libre : Waffen SS (192 pages) et Cristeros (328 pages).

     

    LD SS 2.gifDu premier, nous ne connaissons que le petit peu que l’éditeur en écrit : ce livre serait « presque un livre-testament de Léon Degrelle, complètement inédit ». De quoi vraiment mettre l’eau à la bouche de tous les degrelliens…

     

    Cristeros, quant à lui, nous l’attendons depuis près de cinq ans, puisqu’il devait accompagner, en 2014, la sortie française du film éponyme de Dean Wright (le superviseur des effets spéciaux du fameux Seigneur des Anneaux) avec des stars du cinéma international, telles qu’Eva Longoria, Andy Garcia, Peter O’Toole. Hélas, on sait que ce film, racontant la persécution aveugle des catholiques mexicains par leur gouvernement, qui était appelé à connaître le succès d’un « blockbuster » de légende, se révéla n’être qu’un navet assez lamentable, à peine disponible aujourd’hui en DVD…

     

    Cristeros.gifLe jeune Léon Degrelle fut parmi les tout premiers à prendre, avec passion, la défense de ces martyrs de la foi, mourant au cri de « Vive le Christ-Roi ! ». Leur épopée ne compta d’ailleurs pas pour rien dans la diffusion au sein de l’Eglise de la dévotion au Christ-Roi. Ainsi que dans l’adoption du nom du futur mouvement REX mis sur pied par Léon Degrelle pour opérer la « révolution des âmes » de ses contemporains.

     

    Heureusement, l’échec du film n’a pas découragé les Editions de l’Homme Libre qui ont mené le projet initial à son terme. En effet, il ne s’agissait pas seulement de rééditer Mes Aventures au Mexique, mais de reconstituer aussi « pour la première fois le dossier des articles de Léon Degrelle sur la persécution des catholiques par le gouvernement socialiste et franc-maçon mexicain, ses tout premiers articles pour Le XXe Siècle en 1928, puis les reportages du Mexique en 1929, mais également ceux de L’Avant-Garde, journal estudiantin dont Degrelle était l’animateur. »

     

    L’éditeur souligne d’ailleurs l’intérêt insigne de cette démarche : « C’est ainsi la genèse de Tintin, le héros de Hergé, qui s’en trouve éclairée, ses qualités morales et spirituelles, la fermeté et la pugnacité du jeune militant catholique qui ont inspiré le futur héros des jeunes de 7 à 77 ans. » (la page de couverture porte d’ailleurs le bandeau « Aux origines de Tintin » !)

     

    Ces deux ouvrages, publiés en édition numérotée, limitée à 1000 exemplaires, sont à commander (25 euros+frais de port) sur le site de l’éditeur : https://editions-hommelibre.fr/

     

    Les adhésions (24 euros pour la France; 31 euros pour l’Europe) au Cercle des Amis de Léon Degrelle sont à souscrire sur www.boutique-nationaliste.com.

  • Le « Leo Belgicus » degrellien.

    Des cartes anciennes semblables à celles de Léon Degrelle

    aux enchères à Bruxelles

     

     

    Ce 13 octobre 2018, la prestigieuse maison de vente publique de livres et estampes Arenberg Auctions de Bruxelles a mis aux enchères un magnifique lot de cartes géographiques anciennes de Petrus Kaerius, Abraham Ortelius, Willem Blaeu, Nicolas Visscher, etc.

     

    1 Leo Belgicus Catalogue.jpegOn sait que Léon Degrelle était un collectionneur passionné de ces cartes évocatrices du passé glorieux de sa patrie aujourd’hui étriquée aux proportions d’une Belgique semi-éclatée, mais alors, au temps de Philippe le Bon, de Charles le Téméraire et de Charles-Quint, rayonnant sous le nom de Pays-Bas Bourguignons, de Cercle de Bourgogne, de Germania inferior ou de XVII Provinces…

     

    Il nous en livre une édifiante description dans Degrelle m’a dit, de Louise Narvaez, Duchesse de Valence :

    « Ce repliement [dû à l’inaction politique des premiers temps de l’Occupation] avait, par contre, apporté à Degrelle de grandes joies personnelles. Il naviguait, tranquille, dans la longue maison blanche, harmonieusement décorée de vieux tableaux, de vieilles gravures, de tapisseries des Flandres et surtout de cartes anciennes qui chantaient la gloire des “Grands Pays-Bas” de jadis. Sa collection d’atlas merveilleux du XVIe et du XVIIe siècle, coloriés à l’époque, était unique en Belgique. Il l’avait, depuis l’Université, rassemblée avec autant de soin que d’amour. Il possédait l’œuvre entière d’Ortelius, de Mercator, de Kaerius, de Blaue, de vingt autres géographes fameux des anciennes “Dix-Sept Provinces”. L’ensemble représentait dix mille cartes anciennes environ [...]. » (p. 356)

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  • Cercle des Amis de Léon Degrelle

    Hommage à Fernand Kaisergruber

     

    Cercle Fernand 1.jpg

     

    C’est avec émotion que nous avons reçu la 29e Correspondance privée du Cercle des Amis de Léon Degrelle « dédiée à notre Ami Fernand Kaisergruber qui nous a quittés en mars dernier ». En effet, comme souligné dans l’In Memoriam qui lui est consacré, « Fernand Kaisergruber nous avait aidés à créer notre Cercle et en était un des membres d’Honneur. »

     

    Comme d’habitude, le Cercle passe en revue toutes les publications concernant, de près ou de loin, Léon Degrelle. Et, comme d’habitude, il force notre admiration par l’incroyable richesse de ses informations.

     

    Cercle Fernand 2.jpg

     

    C’est ainsi qu’il ne manque pas de signaler la diffusion par France 3, en avril dernier, du documentaire Dans la tête des SS au cours duquel notre cher Fernand avait encore pu être interviewé :

    « Dans la tête des SS, film documentaire de Serge de Sampigny a été donné par France 3, le 4 avril 2018, en première partie de soirée. Composé d’images d’archives parfois rares, dont des vidéos amateurs, le film retrace l’histoire de l’organisation, conçue en 1925, au départ pour assurer la protection de Hitler, tout en donnant la parole aux anciens – une vingtaine !– qui, pour beaucoup, ne regrettent et ne renient rien. Parmi les anciens, on retrouve Fernand Kaisergruber et Herbert von Mildenburg, vétéran de la 6. SS-Gebirgs-Division “Nord” qui, face à la caméra, n’hésite pas à évoquer Adolf Hitler en le désignant comme “l’homme de sa vie”, et considère Heinrich Himmler comme “un homme propre qui voulait le meilleur pour le peuple allemand”. » (Ce film peut toujours se visionner sur YouTube ou Dailymotion).

     

    LD Grec 1.jpgA propos de Heinrich Himmler justement, le Cercle nous apprend la parution aux Editions du Lore de la traduction française d’un de ses principaux écrits, Die Schutzstaffel als antibolschewistische Kampforganisation, publié en 1936 à Munich par le Zentralverlag de la NSDAP, sous le titre La SS, organisation de combat antibolchevique (12 € franco de port, disponible à l’adresse du Cercle des Amis de Léon Degrelle).

     
    LD Grec 2.png

    Enfin, nous ne pouvons passer sous silence l’annonce de la publication, en grec, de La Campagne de Russie (Εκστρατεία προς Ανατολάς, 21€ + frais de port, consulter : https://neageneabooks.gr/product/leon-degrelle-ekstrateia-pros-anatolas/) et de Hitler pour 1000 ans (Χίτλερ για χίλια χρόνια, 14,40€ + frais de port, consulter : https://www.skroutz.gr/books/14390806.chitler-gia-1000-chronia.html), ainsi que, en tchèque, de celle des Âmes qui brûlent (Planoucí duše, 8€ + frais de port, consulter : https://www.protiprudu.org/produkt/planouci-duse/).

     

    L’adhésion au Cercle (24 euros) et l’achat de nombreux « Degrelliana » ainsi que d’ouvrages souvent introuvables ailleurs se font sur www.boutique-nationaliste.com.

     

  • « Si j’avais un fils, j’aimerais qu’il fût comme vous ! »

     C’est bien ce que confia Adolf Hitler à

    Léon Degrelle !

     

     

    Suite à notre récent article sur la parfaite vraisemblance du célèbre compliment adressé par Adolf Hitler à Léon Degrelle à l’issue de sa visite à la Wolfschanze où il reçut, le 27 août 1944, les Feuilles de Chêne à sa Croix de Chevalier (ce blog au 21 juin 2018), nous avons reçu ce courrier fort intéressant d’un lecteur luxembourgeois.

     

    J’ai été assez impressionné par l’analyse que vous proposez de l’ “histoire politico-militaire en miroir” d’Adolf Hitler et Léon Degrelle à l’appui de votre thèse.

     

    [Rappelons de quoi il s’agit :

    « Nous croyons volontiers que cette proximité entre les deux hommes s’est progressivement imposée de par leur histoire politico-militaire en miroir –que le Führer n’a pu manquer d’observer : lui-même, emporté par l’amour de sa patrie, s’engagea, simple soldat, dans le premier conflit mondial où il manifesta le plus grand courage avant de voir son idéal trahi par les politiciens : il s’engagea alors dans la vie politique afin de régénérer fondamentalement et avec succès le système politique, économique, social et culturel de sa patrie. Le trajet est inversé chez Léon Degrelle : engagé dans la vie politique afin de régénérer spirituellement sa patrie et la libérer des banksters, il se fait flouer par leurs manœuvres traîtresses ; il s’engage alors, simple soldat mais avec le plus grand courage, dans l’armée qui remodèle l’Europe selon l’idéal national-socialiste et gagne le droit d’assurer à sa patrie rendue à son destin historique toute sa place dans le nouvel ordre européen. »]

     

    Avant Garde.jpegVotre parallèle ne convaincra sans doute pas tous ceux qui voudraient tellement que cette fameuse phrase ne soit que pure affabulation, mais sachez que vous rejoignez sensiblement l’analyse effectuée par le Prof. Dr Franz W. Seidler, professeur d’Histoire contemporaine à l’Université de la Bundeswehr à Munich.

     

    Avantgarde LD.jpeg

    Il écrit dans son livre Avantgarde für Europa (2004), présentant les unités combattantes de volontaires étrangers dans la Wehrmacht et la Waffen-SS :

    « Degrelle servit comme simple soldat, alors que tous les autres chefs d’organisations nationalistes revendiquèrent au moins un grade de lieutenant. Il fut le seul à avoir compris la mentalité de Hitler : ce n’est que par la voie du sacrifice du sang qu’il pourrait garantir à son peuple une place dans l’Europe du futur. En commençant modestement comme “Gefreiter” [soldat de première classe, caporal], il avait toutes ses chances. “Gefreiter”, c’était aussi le grade de Hitler pendant la Première Guerre mondiale, grade dont il était fier. » (p. 95).

     

    Comme vous le laissez entendre, c’est probablement ce qui fit qu’Adolf Hitler distingua Léon Degrelle entre tous, au point peut-être de se reconnaître en lui, jusqu’à lui confier : « Si j’avais un fils, je voudrais qu’il fût comme vous. » (Prof. F. W. Seidler, p. 97).

     

     

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  • L’affaire de la fameuse phrase d’Adolf Hitler à Léon Degrelle : « Si j’avais un fils, je voudrais qu’il fût comme vous ! »

    Rivarol : histoire d’un malentendu

     

    Nous vous engagions naguère (ce blog au 31 mai 2018) à ne surtout pas manquer de vous procurer l’édition du 6 juin de Rivarol, l’ « Hebdomadaire de l’opposition nationale et européenne » : c’est là que nous pensions pouvoir vous faire la « divine surprise » de la parution de notre dossier sur l’Affaire de la fameuse phrase d’Adolf Hitler à Léon Degrelle : « Si j’avais un fils, je voudrais qu’il fût comme vous ! »

     

    En effet, suite à la publication de l’article d’un Paul-André Delorme faussement élogieux sur Léon Degrelle, flamboyant fasciste wallon, nous avons écrit, le 14 mai, à Jérôme Bourbon, directeur de la rédaction, parallèlement à la réfutation que nous publiions en plusieurs articles (ce blog aux 13, 20 et 29 mai).

     

    Nous reçûmes la réponse suivante (21 mai) : « si vous souhaitez rédiger un article dans RIVAROL, ou à défaut faire paraître une lettre dans le courrier des lecteurs, pour faire valoir en toute liberté votre point de vue, j'y suis tout à fait favorable ». Le dernier et plus important article de réponse aux contre-vérités reprises par M. Delorme n’étant pas encore achevé, nous envoyâmes immédiatement un « courrier des lecteurs ».

     

    Rivarol 17 avril 2018.jpegLe 30 mai, nous proposâmes néanmoins l’article achevé à M. Bourbon pour une éventuelle publication : « nous avons pensé vous proposer une sorte de mise au point sur la fameuse phrase d'Adolf Hitler "Si j'avais un fils..." En effet, c'est cette anecdote qui sert essentiellement à asseoir la réputation, sinon de menteur, du moins de fabulateur, que se plaisent à entretenir désormais les historiens, même de notre "famille de pensée" [à propos de Léon Degrelle]. Vous trouverez ce texte en annexe: voulez-vous nous dire si vous pensez pouvoir le retenir pour une prochaine publication ? »

     

    Nous reçûmes immédiatement la réponse suivante par retour de courrier électronique : « Je publie votre texte dans notre prochain numéro, celui daté du 6 juin. » Le malentendu est que M. Bourbon ne parlait pas de notre article concernant « Si j’avais un fils… », mais répondait simplement à notre message précédent concernant le Courrier des lecteurs !

     

    Emporté par notre joie, nous avons ainsi pris une vessie pour une lanterne, mais qu’importe : le lecteur de Rivarol sait maintenant où s’adresser pour chercher des informations sérieuses et vérifiées sur Léon Degrelle. Et nous continuons, de notre côté, à engager nos lecteurs à s’abonner à l’excellent et courageux Rivarol (www.boutique-rivarol.com).

     

    S’il est une anecdote qui embête particulièrement les historiens politiquement corrects, c’est bien ce propos prêté au Chef du Troisième Reich et rapporté par Léon Degrelle après la fin de la guerre : « Si j’avais un fils, je voudrais qu’il fût comme vous ! » (La Campagne de Russie, 1949, pp. 15 et 381 ; Degrelle m’a dit, 1961, p. 393 ; Hitler pour 1000 ans, 1969, p. 161 ; Lettres à mon Cardinal, 1975, pp. 54, 325, 334)…

     

    En voici le contexte précis : « Au moment du départ [de la Wolfsschanze, le Quartier-Général du Führer en Prusse orientale où Léon Degrelle fut reçu, pour la seconde fois, à partir du 27 août 1944], comme s’il eût voulu graver à jamais dans mon cœur un souvenir plus personnel, Hitler revint me prendre la main dans ses deux mains : “Si j’avait un fils, me dit-il lentement, affectueusement, je voudrais qu’il fût comme vous…” Je scrutai ses yeux clairs, si sensibles, à la flamme simple et rayonnante. Il s’en alla sous les sapins, par un chemin semé de brindilles. » (La Campagne de Russie, p. 381).

     

    Pan 21.03.1973 1.jpegAgitée tout d’abord comme une preuve de la coupable proximité que Léon Degrelle se targuait d’avoir eue avec le prétendu responsable de la Seconde Guerre mondiale, cette phrase fut rapidement contestée, puisque pareille proximité ne pouvait que relever de la mythomanie pour un gouvernement belge cherchant, par le discrédit, à faire oublier ses propres faux-semblants dans sa volonté feinte de récupérer et exécuter l’exilé espagnol censé « avoir trahi son pays et porté les armes contre ses alliés ».

     

    En effet, la réalité de cette confidence, à elle seule, pourrait justifier toute l’attitude politique de Léon Degrelle pendant et après la guerre et donner à son action une consistance que les historiens stipendiés s’efforcent donc de ridiculiser depuis 1945 à coups de demi-vérités, calomnies, persiflage et sarcasmes.

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  • 112e Anniversaire de Léon Degrelle

    15 juin 1906 – 15 juin 2018

     

    LD Walter Frentz.jpeg

     

    Plus le temps passe et plus les historiens de cour se croient autorisés à raconter n’importe quoi sur ceux qui n’appartinrent pas au « bon » camp à l’issue de la Deuxième Guerre mondiale. Intoxiquant d’ailleurs au passage (mais n’est-ce pas le but ?) les « amateurs » incapables de critique historique et se contentant des seules sources officielles qui leur sont facilement accessibles…

     

    Aussi notre blog « Dernier Carré » de défense de l’honneur et de l’action des Anciens de la Légion « Wallonie » et de leur Chef Léon Degrelle ne manque-t-il pas d’ouvrage pour remettre les pendules à l’heure, se profilant ainsi progressivement sinon comme la seule, en tout cas comme la meilleure source d’informations fiables sur tout ce qui concerne leur véritable destin !

     

    Aujourd’hui qu’il est de bon ton de railler l’amitié et la considération dont jouissait Léon Degrelle auprès du Führer ainsi que de ses camarades allemands, il nous a semblé opportun de donner la parole à un jeune volontaire allemand de la Waffen-SS, Franz Schönhuber, engagé en 1942, à 19 ans, dans la prestigieuse Leibstandarte Adolf Hitler.

     

    Franz Schönhuber nous est surtout connu par son parcours politique d’après-guerre. Longtemps journaliste tant pour des journaux et magazines munichois que pour la radio bavaroise ainsi que président de la fédération des journalistes de Bavière, Franz Schönhuber est en effet un des fondateurs du parti nationaliste Die Republikaner qu’il présida avec succès jusqu’en 1990. Elu député européen, il devint vice-président du Groupe technique des droites européennes, se liant d’une profonde amitié avec Jean-Marie Le Pen.

     

    Quelques mois avant son décès, le 27 novembre 2005, il organisa encore une formidable manifestation de la Droite nationale à Dresde pour commémorer le soixantième anniversaire du bombardement criminel de la ville par les escadres terroristes anglo-américaines exterminant quelque 305.000 civils, –habitants et réfugiés (chiffre de la Croix-Rouge).

     

    léon degrelleDénonçant la haine de soi allemande, Franz Schönhuber est l’auteur d’un livre de souvenirs Ich war dabei (« J’y étais », 1982) où il évoque avec pertinence qui fut Léon Degrelle aux côtés des Allemands, n’hésitant pas à lui consacrer également deux pages de photographies.

     

    « C’est en rencontrant cette jeune Flamande que, pour la première fois, j’ai pu en apprendre davantage sur le chef des Waffen-SS wallons, le légendaire Léon Degrelle. A l’époque, en Belgique, Wallons et Flamands se regardaient en chiens de faïence (c’est d’ailleurs actuellement de nouveau le cas). Pourtant, cette belle Flamande tranquille admirait et, je le pense bien, aimait en secret le dieu de la guerre wallon. Mais il faut que je dise quelques mots à propos de Degrelle.

     

    C’est littéralement de combat en combat qu’il gagna ses galons, de simple soldat jusqu’à Commandeur de division. Blessé six fois, il obtint les plus hautes décorations de tous les volontaires européens. Hitler a dit de lui que, s’il avait un fils, il devrait être comme Degrelle.

     

    Ce Degrelle, chef du mouvement catholique rexiste, qui eut temporairement une grande influence avant la guerre, n’était pas seulement brave, il était aussi profondément croyant. Il allait même à la messe dans les villages de Russie, au Front de l’Est. L’ancien chef de l’association des étudiants catholiques de Louvain se trouvait là, comme un frère dans le Christ, parmi les “Untermenschen” du pays…

     

    léon degrelle

     

    J’ai pu voir Degrelle par la suite à Wildflecken quand j’étais instructeur chez les Français de la “Charlemagne” : un homme de grande séduction, pourvu de talents d’orateur fascinants. » (p. 97)

     

    « Un jour, le prototype même du soldat chrétien à la Waffen-SS, Léon Degrelle, vint à Wildflecken. On aurait dit le dieu de la guerre en personne : un orateur flamboyant, couvert de décorations, dans une attitude de dignité rayonnante de jeunesse. Je compris alors l’enthousiasme romantique de mon infirmière flamande de Velden am Wörtersee. Elle n’était sûrement pas la seule dans ce cas. De nombreux volontaires de la “Charlemagne” furent pris d’un tel enthousiasme pour le Chef des Wallons qu’ils disparurent de Wildflecken pour s’engager dans les rangs de la Division “Wallonie”. Certains réussirent, d’autres furent repris et sévèrement punis. » (p. 131)

     

    « Mon chapitre “Charlemagne” se refermera par cette évocation d’un voyage dans le passé que je fis récemment en me rendant à Wildflecken. […] A Bad Brückenau, seuls de rares passants d’un certain âge se rappelaient encore les Français. Certains d’entre eux, confondaient d’ailleurs les membres de la “Charlemagne” avec les Wallons. Le seul nom qu’un habitant connaissait encore était celui de Léon Degrelle… » (p. 333)

      

    léon degrelle« Dans les derniers jours de l’effondrement du Reich, il parvint à atteindre la Norvège et put utiliser l’avion mis par les Allemands à la disposition de Quisling. Celui-ci refusa de s’en aller et il fut exécuté par la suite, comme chacun sait.

     

    Le pilote de l’avion réussit la traversée aventureuse de la moitié de l’Europe. C’est littéralement avec ses dernières gouttes d’essence qu’il atteignit l’Espagne en faisant un atterrissage forcé sur la plage de San Sébastian. Degrelle parvint à s’extraire des débris de l’avion, avec de multiples fractures aux jambes. Il se rendit aux autorités espagnoles. Il s’en était encore tiré !

     

    Condamné à mort par contumace en Belgique, il ne fut cependant pas extradé. [...] Parfois, il revêt son ancien uniforme avec toutes ses décorations. Et il reçoit des jeunes gens venus de Belgique par vols charter pour le voir. Pour des jeunes Belges assez nombreux, il reste le “héros de la guerre”.

     

    léon degrelle

     

    Que le lecteur veille excuser cette digression, mais Degrelle est un personnage-clef des volontaires de la Waffen-SS. » (p. 98)

     

    « Dans son livre Hitler pour 1000 ans, Léon Degrelle décrit comme suit, rétrospectivement, l’espoir qui animait les volontaires étrangers :

    C’est plein de méfiance et bourrés de complexes qu’ils s’engagèrent pour le front russe. Les Allemands avaient envahi notre pays. Nous n’avions donc aucune raison de les aimer tendrement. Certains Allemands, à Berlin et dans les pays occupés, nous irritaient par leurs airs de maîtres hautains et arrogants. L’Europe que nous voulions ne pouvait pas être réalisée comme eux, ils le voulaient, c’est-à-dire au garde-à-vous, avec le doigt sur la couture du pantalon, devant un quelconque Generaloberst ou Gauleiter. Elle ne pouvait être réalisée que dans l’égalité, sans qu’un pays trop puissant impose une discipline de cour de caserne à des étrangers de deuxième classe. L’Europe dans l’égalité, sinon pas d’Europe !”

    Il avait bien observé la situation. » (p. 100)

     

    léon degrelle

  • Le vrai camp des massacrés : Victor Matthys face au terrorisme de la Résistance

     

    Mise au point devant le Conseil de Guerre de Charleroi, le 4 juillet 1946

     

    Il est aujourd’hui admis, comme un dogme dont on se garde bien de vérifier la pertinence, que les Rexistes du temps de guerre ne rassemblèrent qu’une infâme bande de tueurs assoiffés du sang des nobles et courageux résistants.

     

    C’en est au point que des auteurs appartenant à ce qu’il est convenu d’appeler notre « famille de pensée » reprennent sans davantage y réfléchir cet odieux poncif. Ainsi de Paul-André Delorme publiant dans un Rivarol qui n’en peut mais une phrase telle que « à partir de 1942, […] Victor Matthys […] lance le mouvement [Rex] dans des opérations contre les Juifs et les résistants ». Nous avons montré (ce blog au 29 mai 2018) ce qu’il fallait penser de pareille affirmation gratuite constituant une flétrissure injuste sinon méchante de la mémoire du Chef a.i. de Rex qui sut se montrer digne des héros du Front de l’Est et de leur Commandeur Léon Degrelle (la parfaite concordance de vue entre les deux hommes se déduit de ce discours scrupuleusement honnête) en organisant, dans une perspective de réconciliation nationale, l’action politique et sociale des Rexistes.

     

    Matthys Bad Tölz 16 juin 1944.jpgPour mieux en juger, il nous a semblé nécessaire de publier le texte de la dernière prise de parole publique de Victor Matthys : ce n’est pas une plaidoirie car il se sait condamné d’avance, mais une mise au point dont la sincérité se mesure à la proximité de l’échéance inéluctable qui l’attend. Jugé pour la « tuerie de Courcelles » consécutive au massacre de la famille d’Oswald Englebin, bourgmestre rexiste du Grand-Charleroi, Victor Matthys tient à rappeler le contexte de guerre civile créé par la résistance communiste tuant indistinctement et impunément hommes, femmes et enfants liés de près ou de loin au mouvement d’Ordre Nouveau. Ces crimes répugnants endeuillant tant de familles parfaitement innocentes devinrent à ce point insupportables qu’il n’était humainement plus possible de ne pas réagir. Et ce, alors même que les plus hautes autorités judiciaires reconnaissaient la fatalité d’une réaction de la part du camp des victimes.

     

    Mais ce n’est plus tant devant le Conseil de Guerre de Charleroi que Victor Matthys s’est alors exprimé, mais face à l’Histoire, endossant résolument toutes ses responsabilités de chef, rappelant l’idéal du Mouvement et en appelant au jugement de la postérité, qu’il espère moins partisane, mais que nous savons toujours prisonnière d’une « histoire » bien cadenassée...

     

     

     

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  • Une surprenante publication de Rivarol… sera celle du point de vue du « Dernier Carré » sur la profonde relation Adolf Hitler – Léon Degrelle

    L’affaire de la fameuse phrase

    d’Adolf Hitler à Léon Degrelle :

    « Si j’avais un fils, je voudrais qu’il soit

    comme vous ! »

     

    Nous avions prévu de consacrer le dernier volet de notre réponse à l’article de Paul-André Delorme paru dans Rivarol, le 11 avril dernier au propos prêté au Chef du Troisième Reich et rapporté par Léon Degrelle après la fin de la guerre : « Si j’avais un fils, je voudrais qu’il soit comme vous ! »…

     

    Hitler papa3 22 02 78.jpegComme nous l’avons dit dans notre article précédent (ce blog au 29 mai), nous avons écrit au directeur de la rédaction, M. Jérôme Bourbon qui nous a élégamment proposé de publier notre mise au point dans son hebdomadaire.

     

    C’est ainsi que notre point de vue sur l’affaire de la phrase « Si j’avais un fils… » qu’Adolf Hitler adressa à Léon Degrelle devrait paraître dans les éditions de Rivarol du mercredi 6 juin prochain.

     

    Cette phrase est en effet emblématique de la haine des antidegrelliens ne pouvant admettre une telle proximité avec le maître du IIIe Reich, car si elle était telle que le dit Léon Degrelle (et telle surtout qu’on peut le déduire de la conduite d’Adolf Hitler à son égard), elle ne ferait que confirmer la pertinence, le réalisme et la possibilité évidente de concrétisation de la politique de Léon Degrelle.

     

    Aussi la mise en doute de cette exclamation d’extrême sympathie est-elle obligatoire pour tout « historien » politiquement correct. Ressassée ad nauseam, elle est au cœur de la réputation de vantard mythomane qu’il est désormais de bon ton d’imposer au héros de Tcherkassy, le fils que le Führer se fût choisi !

     

    Ne manquez donc sous aucun prétexte Rivarol

    mercredi prochain 6 juin !

     

     (Abonnements: www.boutique-rivarol.com)

  • Une surprenante publication de Rivarol (3) : Comment démolir Léon Degrelle en faisant semblant de l’apprécier…

    Voici donc le troisième volet de notre réponse à l’article de Paul-André Delorme publié par Rivarol, le 11 avril dernier, aux pages 10 et 11.
    Entre-temps, nous avons bien entendu écrit à la rédaction pour marquer notre surprise consternée face à la publication dans cet hebdomadaire de haute tenue intellectuelle et morale d’une « biographie » célébrant apparemment Léon Degrelle, flamboyant fasciste wallon, mais reprenant en réalité la plupart des poncifs de l’antidegrellisme, et ce, quelques jours seulement après le vingt-quatrième anniversaire de sa disparition.

    Le directeur de la rédaction, M. Jérôme Bourbon, nous a assuré de sa compréhension et proposé de faire valoir notre point de vue dans le « Courrier des lecteurs », ce que nous avons fait en un bref article renvoyant les lecteurs de Rivarol à notre blog, car nous aurions eu besoin sans aucun doute également de deux pages entières de l’hebdomadaire pour détailler notre mise au point…

    Degrelle Léon (Palais de Chaillot 5.03.44) 01.JPGComme nous l’avons montré, les bévues, lapsus et autres pataquès ne manquent pas : relevons encore l’erreur de prénom du frère de Léon Degrelle sauvagement assassiné à Bouillon le 8 juillet 1944 : il ne s’agit pas de « Gérard », mais d’Edouard Degrelle ! Par ailleurs, « les collaborationnistes français […] Doriot, Déat et de Brinon » n’ont jamais honoré Léon Degrelle « de leur présence lors de certains de ses discours en Belgique » ; ils ont par contre tous bien assisté au fameux meeting du Palais de Chaillot à Paris, le 5 mars 1944…

    Mais bien plus grave est la reprise inattendue des calomnies diffamatoires à l’égard de Rex et de son Chef ou du persiflage gratuit des affirmations de Léon Degrelle, dans l’intention d’établir et stigmatiser ses prétendues rodomontades de mythomane.

     

    Dans cette avant-dernière mise au point, nous donnerons un exemple significatif de calomnie diffamatoire.

     

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