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130 ans et une éternelle actualité!

 

La Tour Eiffel, comme Adolf Hitler, est née en 1889 !

 

Hitler Eiffel 2.jpgHitler fit de nouveau arrêter la voiture. Devant nous se dressait le symbole de Paris : la Tour Eiffel dont la pointe se perdait encore dans la brume.

 

En face de la tour, ayant rejoint la rampe de pierre, nous fûmes surpris par le panorama majestueux de la ville, qui s’offrait pour la première fois à nous dans toute sa grandeur.

 

 Au premier plan, la Seine nonchalante.

 

 Hitler rendit hommage aux architectes parisiens qui, doués d’un sens de la mesure infaillible et éblouissant, avaient su harmoniser d’une façon impressionnante les différents foyers de la structure architectonique de la capitale.

 

 Quant à la tour Eiffel, il y voyait un exemple des plus heureux de la sublimation du technique et du fonctionnel par la manifestation d’une idée artistique de base.

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(Arno Breker, Paris, Hitler et moi, p. 104)

 

Le fascinant Hitler !

 

Hitler Canne.jpgLes grands hommes sont les grands hommes, qu’ils eussent plu ou non.

 

César eut ses faiblesses, soumit durement les vaincus, mais son souvenir –le guerrier et l’homme d’Etat– nimbe encore la Rome éternelle de sa gloire.

 

Napoléon avait commis des crimes éclatants ; il fit fusiller des milliers de prisonniers ; il ordonna qu’on raptât et qu’on abattît dans les fossés de Vincennes le duc d’Enghien ; mais, sans l’éclat solaire de son génie, il manquerait quelque chose au rayonnement de la France.

 

Même de Lénine et de Staline, aujourd’hui le nez dans la neige, on reparlera avec plus de sérénité avant vingt-cinq ans.

 

Quant à Hitler, on peut le détester furieusement, mais il fut –seuls les imbéciles le contesteront– l’homme le plus important du XXe siècle.

 

Lorsque se fera la récapitulation des dirigeants qui occupèrent des postes de responsabilité au cours de la première moitié du XXe siècle, que restera-t-il, dans la mémoire des hommes, de fantoches français comme un Daladier alcoolique et comme un rat fouinard à la Reynaud, ou de marionnettes empesées à la Brüning et à la von Papen en Allemagne, ou de lourds bourgeois belges comme Pierlot, funèbre croque-mort, ou comme Spaak, aux vestes rebondies cent fois retournées ?...

 

Hitler rit.jpg

 

À l’étage supérieur, la momie de Churchill ne laisse déjà plus d’autre souvenir que celui du bradeur inconscient du plus bel Empire qui fut jamais au monde : l’Empire britannique.

 

De Gaulle, idole passagère d’une France qui, pendant des siècles, posséda à foison de grands hommes et qui doit aujourd’hui se contenter de déficients pétaradeurs, fut, certes, un velléitaire de la grandeur, mais il n’alla jamais au-delà des velléités.

 

Sa science militaire ne dépassa pas l’usage massif de chars, inventés par les Anglais en 1917, et que, d’ailleurs, il n’utilisa jamais que pendant une demi-journée de sa vie de guerrier de bureau, à Montcornet, à la mi-mai de 1940.

 

Politiquement, il avait compris que seul un Etat français fort pourrait encore marquer l’avenir mais, à la première déconvenue plébiscitaire, il prit ses cliques et ses claques pour retrouver son trou de Colombey-les-deux-Eglises.

 

Hitler Ouvriers Kehlstein.jpgQuand on fait le bilan de sa vie, qu’a-t-il laissé ? Un Empire français en mille miettes, avec, à ses portes, une Algérie oblitérée, une France interne plus anarchique que jamais, internationalement humiliée et qui, à cette heure, n’est même plus, racialement, qu’une demi-France, en attendant d’être un quart de France, submergée par ses anciens colonisés.

 

Aux Etats-Unis, Roosevelt, l’homme de la guerre, de la guerre hypocrite (Japon), de la guerre terroriste (le Reich), a, pour finir, fait tout juste le lit de Staline. Quant à Truman, qui lui succéda en 1945, le peuple doit gratter tout au fond de sa mémoire pour savoir ce qu’il fut jadis : un marchand de cravates failli ? le médiocre pianiste qui, à Potsdam, livra cent millions d’Européens comme esclaves aux Soviets ? le massacreur qui, en août 1945, à l’instigation de savants juifs, broya, à titre d’essai, deux cent mille civils japonais sous les deux premières bombes atomiques qui inaugureraient le terrorisme nucléaire à portée universelle ?

 

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Au-dessus d’eux, et au-dessus de la poussière qui recouvre déjà toutes ces tombes, l’Hitler de la défaite de 1945 retrouvera de plus en plus l’éclat du seul vrai génie qui illustra le XXe siècle.

 

Hitler Linz.jpg

 

Qui opéra jamais, en si peu de temps, une révolution sociale et morale de l’ampleur de la sienne ? L’Empire romain avait mis cinq siècles pour atteindre sa plénitude. Napoléon, moins chanceux, disposa d’une quinzaine d’années. Hitler, lui, en six ans, de 1933 à 1939, ramena de l’abîme son pays anéanti, rendit –cas unique au monde– un travail digne et rémunérateur à six millions de chômeurs en détresse, réconcilia, dans le respect de la justice, les classes sociales, rivales mortelles la veille encore, refit du peuple paysan un peuple solide et honoré, glorifia la famille, apporta à la jeunesse un idéal de feu, fomenta une révolution scientifique multiforme allant de la création massive de l’essence synthétique à la découverte décisive, dès 1939, de la réalité atomique.

 

En quelques années, il avait fait de l’Allemagne prostrée un pays totalement rénové.

 

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Hitler Ouvriers VW.jpgUne fois le IIIe Reich en plein épanouissement, Hitler avait ramené à la Grande Allemagne les débris épars de la défaite de 1918 : d’abord la Rhénanie, retrouvant son honneur de contrefort du vieux Reich ; puis la Sarre regagnant, la tête haute, le giron natal ; puis l’Autriche, rentrant en fanfare, avec un plébiscite de 99%, dans l’unité millénaire des peuples germaniques ; puis les trois millions d’habitants des Sudètes, libérés de l’esclavage tchèque, disposant eux-mêmes de leur destin lors de la signature des accords de Munich le 30 septembre 1938.

 

Le 15 mars 1939, enfin, deux jours après que la Slovaquie et la Ruthénie subcarpatique eurent fait sécession, laissant isolée une Bohême inviable, Hitler, à la demande instante et deux fois répétée du président Hacha, ramena le Reich dans les vieux murs de Prague, ancienne et glorieuse capitale du Saint Empire Romain Germanique, porte ouverte à tous les rayonnements de son économie, en énorme croissance, vers l’Europe centrale, vers les pétroles roumains, vers la mer Noire, vers les Balkans.

 

Tout cela en six ans ! Œuvre prodigieuse, d’une ampleur dont nul autre chef de peuple n’eût jamais pu rêver ! Près de cent millions d’hommes étaient là, forts, ordonnés, convaincus, dynamiques, formidable pôle d’avenir. Et un homme était à leur tête qui, par le plus prodigieux des efforts personnels, avait forgé, en quelques années, des millions d’êtres nouveaux, prêts à créer un monde nouveau.

 

 

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Hitler Teehaus.jpgC’est alors qu’Hitler venait de bâtir cette œuvre géante, assurant pour des siècles la stabilité et le rayonnement de tout l’Occident, qu’on lui flanqua la guerre dans les jambes, une guerre qui ne l’intéressait qu’à l’Est, où le bolchevisme annihilait tout, pourrissait tout, alors que ces terres et ces peuples étaient le complément indispensable qui donnerait à l’Europe son unité définitive, sa vraie puissance biologique et assurerait à travers le monde l’épanouissement d’une civilisation vieille de vingt-cinq siècles.

 

On ameuta le monde entier contre l’œuvre d’Hitler. Mais avec quel génie Hitler fit face à l’assaut ! L’Histoire, aussi, le dira. La Deuxième Guerre mondiale fut le plus fabuleux conflit qui opposa jamais les hommes. On jeta d’abord contre Hitler les « démocraties » de l’Occident. Puis la guerre gagna toutes les mers, envahit tous les cieux. Après l’Occident, ce furent les Balkans, le Danube, la Grèce, la Crête, la totalité de la Méditerranée. Déjà Rommel avait dû foncer avec ses chars dans les sables africains.

 

Sur ce, croyant Hitler enlisé dans cette guerre s’étendant de Narvik aux portes d’Alexandrie, avec un Churchill qui ne cherchait qu’à prolonger, de n’importe quelle façon, l’infernale bagarre, Staline prépara son grand coup sur l’Europe.

 

Il fallut, in extremis, le 21 juin 1941, le contrer. Alors, quelles campagnes prodigieuses ! Jusqu’au fond du Golfe de Finlande, jusqu’au seuil de Moscou ! Jusqu’au bout de l’Ukraine, au Dniepr, au Dniestr, à la Crimée ! Puis, en 1942, au-delà du Don, jusqu’à la Volga, jusqu’au Kouban, jusqu’aux pics miroitants du Caucase, jusqu’aux portes de l’Asie !

 

Entreprises inouïes ! A côté de ce gigantesque front russe de cinq mille kilomètres de largeur, tenu pendant des années, qu’était le simple aller et retour Varsovie-Moscou de l’été et de l’automne de 1812 de Napoléon ? Qu’étaient les batailles d’un jour, ou d’un demi-jour, à Marengo, à Wagram, à Waterloo, à côté de ces campagnes gigantesques qu’il fallait nourrir sans cesse en hommes, en vivres, en munitions ? Un seul homme devait, à force d’imagination et d’astuce, tout concevoir, tout inspirer, tout commander, en même temps qu’il lui fallait ordonner le déploiement de meutes de sous-marins rôdant sur toutes les mers et de milliers d’avions surgissant à travers des espaces de plus en plus accrus ! Et faire face, en outre, aux innombrables problèmes que posait la survivance des quatre cent millions d’êtres humains dont il portait, du Pôle Nord à Tobrouk, la responsabilité ! Mission immense ! Jamais, sur terre, un homme n’eut à faire face à de tels déploiements !

 

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Hitler HJ Quex.jpg

 

Hitler fut, pendant quatre ans, le chef inébranlable, l’œil scrutant tout, la volonté imposant l’impossible, sans orgueil à l’heure des triomphes, sans regrets vains à l’heure des revers. Je l’ai vu, de tout près, en des heures spécialement tragiques : son calme simple, son sang-froid, sa sérénité étaient immuables. Même alors que les désastres s’abattaient, il était capable de discuter paisiblement de l’avenir du libéralisme, ou des philosophes grecs, ou d’un chapitre de Schopenhauer. Ou même, il nous expliquait, plans en mains, comment, après la guerre, il réaliserait la reconversion de Berlin. Il nous dépeignait ses monuments futurs, ses avenues modernisées, ses quartiers populaires remis à neuf. Premier écologue de l’Europe, ayant le culte de la nature, des bois, des fleurs, il avait déjà imaginé la cité nouvelle qu’il réserverait aux ministères et au corps diplomatique, dont l’entièreté des toits eût été couverte d’une forêt créée dans les airs !

 

Hitler Speer Maquette.jpg

 

Il était le génie complet. S’il eût gagné la guerre, un monde grandiose eût été bâti, de la mer du Nord à l’océan Pacifique, ouvert prodigieusement au dynamisme de la jeunesse, frère idéologique du monde asiatique, Japon en tête, ainsi que du monde arabe, revivifié grâce à l’apport puissant de nos dizaines de milliers de camarades musulmans de la Waffen SS. Hitler était l’aigle survolant, dominant les immensités terrestres.

 

Pauvres idiots, ceux-là qui n’ont rien compris à l’immensité de cette épopée !

 

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Dans mille ans, le XXe siècle se jugera à travers la personnalité géante de ce forgeron des peuples.

 

Heil Hitler ?... Eh oui ! A César ce qui est dû à César.

 

Heil Hitler !

 

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(Léon Degrelle, Le fascinant Hitler, pp. 93-99)

Commentaires

  • La Vérité comme meilleur confort… Et meilleur espoir !

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