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Musique

  • Hommage à l’épouse de Léon Degrelle ?

    Lors d’un voyage à travers les méandres d’Internet, quelle ne fut pas notre surprise de tomber sur une pièce musicale intitulée Degrelle’s Woman.

     

    Opus-7.jpgIl s’agit du quatrième morceau d’un disque intitulé Opus 7, interprété au piano seul par un certain Tom Fahy. La pièce ressemble à de la musique de salon, un peu « jazzy », et parfaitement interchangeable avec les onze autres compositions du disque. Leurs titres ne laissent deviner aucun autre intérêt pour l’ultime Commandeur de la Légion « Wallonie ». Tous les titres sont en anglais, sans lien avec l’histoire de Léon Degrelle : « Les chambres de Cerro Concepción » (quartier allemand de Valparaiso, Chili), « Quand tu étais quatre », « C’était une bonne vie… et courte », « Loin du sang, loin du sentiment »,… Deux titres sont en allemand : « Die letzte Geburt Haus » (la dernière maison natale) et « Gleichschaltung » (nivellement) et deux titres portent un nom féminin : l’épouse de Joseph Goebbels (« Magda’s Theme ») ? la fille de Heinrich Himmler (« Gudrun’s Prize Pedant ») ?

     

    Nous n’avons rien trouvé de bien substantiel sur ledit Tom Fahy, ni photographie, ni biographie, sauf ces quelques bribes.

     

    Tom Fahy est un compositeur-interprète jouant indifféremment du piano, de la trompette, du saxophone, de la guitare et… du « Wagner-Tuba ». Il a formé un groupe de jazz à Honolulu en 1991 qui a produit en vingt ans une foultitude de disques dont deux au moins présentent une pochette de «mauvais» aloi (label «Stag Records»). Ajoutons que l’essentiel de l’œuvre de cet artiste prolifique porte des titres dont n’apparaissent que les consonnes, habitude bien connue des langues permettant de lire aussi bien « Yahvé » que « Jéhovah »…

     

    Opus-6-horz.jpg

     

    L’artiste serait décédé en juin 2009.

     

    La seule chose qui puisse être ajoutée à ce pauvre commentaire est ce que l’auteur lui-même a écrit (ou paraphrasé de Mein Kampf) pour la pochette de son disque :

    « Si par votre comportement, vous ne reflétez pas la solidité de votre personnalité, vous ne serez d’aucune utilité pour l’Etat, quelle que soit votre race. Si votre conduite est ignoble, votre éducation pauvre, votre aptitude à raisonner étique, pas plus vous que votre progéniture n’aurez une quelconque valeur ici-bas : le Futur appartient à la Qualité.

    Tom Fahy, De l’Etat »

     

    Alors, quelle est l’origine de l’inspiration de Tom Fahy pour son « Degrelle’s Woman » ? La première épouse de Léon Degrelle, Marie-Paule Lemay ? Les conquêtes féminines du « Beau Léon » ? La bien-aimée seconde épouse de l’exilé espagnol, Jeanne Brevet ? Bien malin celui qui pourrait déduire quoi que ce soit de cette musiquette euphonique…

    LD culotte golf+Lemay-horz.jpg

    A gauche, Marie-Paule Lemay, à l’époque de ses fiançailles avec Léon Degrelle. A droite, Jeanne, seconde épouse de Léon Degrelle dont elle emplit d’amour toute sa vie de proscrit.

     


  • Léon Degrelle : bientôt le héros d'un opéra ?

    LD Lohengrin.jpgL'OperaBalletVlaanderen (la scène lyrique d'Anvers et Gand) vient d'annoncer la création (en coproduction avec les opéras de Nuremberg et de Madrid) d'un nouvel opéra intitulé Les Bienveillantes, d'après le roman éponyme de l'américano-français Jonathan Littell retraçant le parcours inévitable d'un méchant nazi à travers l'historiographie convenue de la IIe Guerre mondiale.

     

    Publié en 2006, ce pensum de plus de 1400 pages est vite devenu, grâce aux trompettes unanimes de la presse stipendiée, un best-seller trustant le Grand Prix du Roman de l'Académie française, puis le Prix Goncourt. Grâce à une habile et lucrative politique en matière de droits d'auteur, cette œuvre romanesque –la seule qu'il écrivit jamais– suffira à assurer le bien-être matériel de son auteur puisqu'on a recensé une vente de près d'un million d'exemplaires rien que dans l'espace francophone et qu'entre 2006 et 2011, ce docu-fiction horrifico-pornographique a été traduit en une vingtaine de langues pour se vendre à travers tous les continents, suscitant des « produits dérivés » sous forme de pièces de théâtre et, aujourd'hui, pour relancer la machine douze ans plus tard,... un opéra !

     

     ***

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