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Ethique & Style - Page 2

  • « 25 ans sans Léon Degrelle »

     

    Commémoration du 31 mars à Valence (Espagne)

     

    A l’occasion du 25e anniversaire de la disparition de Léon Degrelle, Devenir Europeo et l’Association Culturelle des Amis de Léon Degrelle ont organisé, le 6 avril dernier à Valencia une émouvante réunion d’hommage à la mémoire de Léon Degrelle (ce blog au 5 avril 2019).

     

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    Voici les textes des principaux orateurs, au premier rang desquels José Luis Jerez Riesco, fondateur de l’Association, Ramón Bau, ancien secrétaire général du Cercle Espagnol des Amis de l’Europe (CEDADE) ainsi qu’une importante interview d’Eduardo Núñez, actuel président de l’Asociación Cultural Amigos de León Degrelle.

     

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  • 8 août 1941 – 8 août 2017: 76e anniversaire de la création de la Légion Wallonie par Léon Degrelle

    Le Message du Chef : « Que soient balayées les forces de mort qui ont failli tuer la Patrie et qui ricanent, sans doute, devant votre immolation ! Notre Pays sera aux hommes à l'âme rude qui auront, face à la mort, fait la preuve de la grandeur de leur idéal. »

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    Voilà aujourd'hui 76 ans que Léon Degrelle inaugura solennellement au Palais des Beaux-Arts de Bruxelles la Légion Wallonie par une harangue exaltant les plus hautes valeurs morales justifiant la nécessité réfléchie du sacrifice même de sa propre vie.

    Seul fondateur, car seul initiateur de cette démarche historique, Léon Degrelle est –comme nous l'avons montré (voir ce blog aux 9 et 16 juillet 2017)– le seul vrai père de la Légion Wallonie, contrairement aux fariboles du soi-disant encyclopédiste De Bruyne prétendant au mépris de toute vraisemblance que le lieutenant général des Formations de Combat, Fernand Rouleau, aurait mis Léon Degrelle et tout l'état-major de Rex devant le fait accompli, obligeant son chef à sauter dans le train en marche de la collaboration militaire pour ne pas perdre la face !

    Nous reproduisons ci-après le discours fondateur de la Légion Wallonie, tel que Léon Degrelle le prononça au Palais des Beaux-Arts à destination des Légionnaires sacrifiant vie familiale et professionnelle pour répondre à l'appel de leur idéal et engager leur destin dans les combats du Front de l'Est qu'ils savaient titanesques et cruels, mais décisifs.

    Tout le monde pourra vérifier qu'il ne s'agit plus ici, contrairement aux élucubrations insanes de De Bruyne, de forfanterie, d'ambition personnelle ou de lutte partisane pour quelque prébende ou préséance, mais bien du don total de sa vie pour une cause qui la dépasse, la mérite et l'exige : la croisade contre le communisme menaçant d'anéantissement l'Europe et sa civilisation !

    Ce discours de vérité rappelant clairement à chacun les enjeux et les risques librement encourus fut publié dans Le Pays réel du 9 août 1941. Le lendemain, le quotidien rexiste publia un émouvant éditorial de l'épouse de Léon Degrelle, Marie-Paule Lemay, destiné « A celles qui restent... », d'une même élévation spirituelle, manifestant une totale communion d'âme et ne permettant pas de douter un seul instant de la qualité insigne de l'engagement sacrificiel consenti par tous les Volontaires de cette Croisade antibolchevique ainsi que par leurs proches.

     

     

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  • 111e Anniversaire de Léon Degrelle (15 juin 1906 – 15 juin 2017)

     

    Léon Degrelle, sauveur d'âmes

    par Jean Denis,
    Docteur en Philosophie, Membre de l'Etat-Major du Chef
    Auteur de Bases doctrinales de Rex

     

     

     gdfgdfgfg.jpgParce qu'ils n'ont pas connu, parce qu'ils n'ont pas compris le drame de notre jeunesse et dans la mesure où ils s'obstinent à ne pas vouloir le comprendre, les hommes de raison ou d'argent continueront jusqu'à leur ultime décrépitude à se faire des illusions grossières sur le mouvement rexiste, sa puissance interne, son passé, son avenir.

     

    Ils continueront de même à se tromper complètement sur la personnalité de Léon Degrelle, l’œuvre immense qu'il a accomplie parmi nous et en chacun de nous, rexistes.

     

    Léon Degrelle a sauvé nos âmes.

     

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  • Février 1944 : percée de Tcherkassy

     

     

     

    L’Europe à Tcherkassy

     

     

    LD Ms Europe Tcherkassy.jpgVoilà trente ans, nous luttions tous au coude à coude à Tcherkassy, camarades allemands, camarades des Pays-Bas, camarades flamands, camarades du Danemark, camarades de Norvège, camarades des pays baltes et nous aussi, camarades wallons.

    Germains de langue française, nous offrions notre sang ; des milliers des nôtres donnaient leur vie au service d’une œuvre grandiose. Nous étions, nous, dans ces combats farouches, la véritable Europe, l’Europe du sang le plus pur, l’Europe de deux mille ans de civilisation, arcboutés dans les neiges de Tcherkassy pour défendre un merveilleux passé et pour construire l’avenir !

    Notre sacrifice et nos morts n’ont pas, dans l’immédiat, remporté la victoire. Mais n’empêche, notre Europe était la bonne Europe, la vraie Europe, non celle des calculateurs sordides d’intérêts matériels à mettre en commun, non celle des combinaisons égoïstes de petits politiciens accrochés à des ambitions étroites ! Notre Europe était l’Europe de l’idéal commun, de la foi commune, de la force commune !

    On ne meurt pas pour quelque chose de médiocre. On offre sa jeunesse, sa vie, pour réaliser une grande œuvre. Notre Europe l’était, une Europe commandée par un vrai chef, une Europe ordonnées, ouverte à tout ce qui était grand, soutenue, du bout des steppes jusqu’à l’Atlantique, par une force énorme et saine, notre force à nous, Waffen SS, garçons de vingt-huit pays européens, soudés les uns aux autres, à un million, par la discipline et par l’idéal, décidés à réaliser tous ensemble, à travers tout, la même œuvre !

    LD février 1991.jpgCette Europe-là avait une âme, elle avait un sens, elle possédait la seule vraie unité : celle d’une croyance commune. Et elle s’appuyait, puissamment, sur du réel : nos bras, nos armes, nos idées, notre volonté de fer qui eussent assuré à jamais sa stabilité.

    Tôt ou tard, cette Europe-là, l’Europe des idéalistes forts, submergera l’Europe des politiciens-boutiquiers d’aujourd’hui ! Ce jour-là viendra, tôt ou tard, camarades ! Et on verra qu’à Tcherkassy, comme tout au long de cette grande épopée du Front de l’Est, nous avons gagné quand même !

    Heil !

     

    Léon Degrelle, 17 février 1974.

     

  • Léon Degrelle. Documents et témoignages.

    L’hommage le plus substantiel à Léon Degrelle pour le vingtième anniversaire de sa disparition a, sans conteste, été rendu à l’initiative de l’Association des Amis de Léon Degrelle (Dijon). Son président Christophe Georgy conçut le projet d’un livre-hommage qui a ainsi inauguré une nouvelle collection de la revue Synthèse Nationale, « Les Cahiers d’Histoire du Nationalisme ».

    Nous y avons été impliqués, notamment par une interview remarquable de Fernand Kaisergruber intitulée L’Honneur et la Fidélité.

    C’est assez dire que Fernand ne renie en rien l’idéal qui enflamma se jeunesse, participant aux campagnes contre les banksters et aux luttes pour l’élection des candidats rexistes et s’engageant finalement dans « l’épopée inoubliable » de « l’exaltante croisade contre le bolchevisme menée aux côtés de nos camarades européens et qui nous conduisit jusqu’aux portes de Stalingrad. »

    C’est dire aussi que la prétendue épuration des inciviques, qui ne fut qu’un règlement de comptes impunément haineux, ne changea en rien sa conception du monde : « Malgré la répression terrible, rien ne pouvait remettre en cause les raisons profondes de nos engagements. C’était là notre force, c’était aussi une vraie victoire sur la médiocrité. »

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  • Pour une Révolution Authentique (Discours de Léon Degrelle à Berlin, le 7 février 1943).

    Le 31 mars 2014 disparaissait, dans son exil espagnol de près de cinquante années, Léon Degrelle, le dernier Conducteur de Peuple du XXe siècle.
    Aujourd’hui que s’est solidement installée la tyrannie du « politiquement correct », il est de bon ton de répéter, – comme s’il s’agissait d’une vérité biblique –, dans une foultitude de publications, que Léon Degrelle n’est qu’un mégalomane, un mythomane, bref un menteur congénital ne méritant même plus que l’on s’arrête à le lire ou à lui prêter attention… Et s’il est vrai que le Chef de Rex était bien conscient de sa valeur et du prodigieux destin qu’il était appelé à se forger, son charisme impressionnant, ses aptitudes exceptionnelles et ses succès extraordinaires, acquis dès son plus jeune âge, ne pouvaient qu’indisposer ceux qu’il bousculait. De telles qualités ont très tôt suscité envies, haines et calomnies.
    Car toute la vie de Léon Degrelle est ainsi faite de chapitres absolument fabuleux. Depuis son parcours estudiantin haut en couleur et sa périlleuse expédition au Mexique jusqu’aux tentatives d’enlèvement et d’assassinat en Espagne fomentées par des juges et des résistants belges ou les services secrets israéliens et français, en passant par sa campagne fulgurante contre les pourris de la politique belge, son héroïsme au Front de l’Est (Croix de Fer de Seconde et Première Classe, Agrafe en or des Combats au Corps à Corps, Insigne en or des Blessés, Croix de Chevalier de la Croix de Fer avec Feuilles de Chêne, etc.) et ses promotions militaires au seul mérite personnel –de simple soldat à général, commandeur de division et Volksführer (détenteur des pouvoirs civils et militaires) des Wallons–, ses liens inimaginablement privilégiés avec Adolf Hitler (« Si j’avais un fils, je voudrais qu’il fût comme vous ») ou son projet de rétablissement du Duché de Bourgogne approuvé par le Führer, tout dans la vie de Léon Degrelle relève de la geste, de l’épopée, du mythe. Et pourtant, tout a toujours fini par se vérifier, comme l’a montré, dès 1978, l’enquête –contradictoirement documentée– de Jean-Michel Charlier pour « Les dossiers noirs » de la troisième chaîne de télévision française, Léon Degrelle – Autoportrait d’un fasciste. Appartenant néanmoins au camp des vaincus, Léon Degrelle a subi, comme tous les autres maudits de cette tragédie, la damnatio memoriae, – le rejet de l’Histoire et la flétrissure de son nom–, l’adhésion à l’ « idéologie hitlérienne » –le National-Socialisme– ne pouvant s’expliquer que par la trahison, la recherche de gains personnels, la perversion intellectuelle et morale, la cruauté bestiale, la lâcheté et l’opportunisme… Aussi n’est-il pas inintéressant de prendre connaissance des motivations du principal concerné, livrées à un moment de sa vie où il n’était pas question de fanfaronner : celui où, engagé volontaire comme simple soldat, il défendait son idéal au péril de sa vie dans les combats titanesques du Front de l’Est.
    Ainsi, le dimanche 7 février 1943, dans la grande salle ovale de la Kuppelhalle, d’une capacité de onze cents personnes, du Haus des Deutschen Sports situé sur le Reichssportfeld olympique à Berlin, le futur Commandeur de la Division Wallonie, entouré de nombreux légionnaires, parlait devant les ouvriers wallons de la capitale du Reich, travailleurs volontaires ou engagés au Service du Travail Obligatoire (Werbestelle).

    Voici quelques extraits éclairants – et inédits depuis lors – de ce discours particulièrement important, ovationné par son auditoire progressivement conquis, comme on peut le constater grâce à l’enregistrement retransmis à deux reprises sur les ondes de Radio-Bruxelles, les 9 et 14 février 1943.
    Y sont clairement évoquées les raisons de cette gigantesque et monstrueuse guerre de civilisation, délibérément provoquée par des ploutocrates toujours « aux affaires », décidés à anéantir une vision du monde faite de souci de beauté et de recherche d’harmonie élevant les âmes et stimulant les énergies, de justice sociale et de solidarité mutuelle ainsi que de liberté responsable et d’épanouissement personnel dans le cadre des communautés naturelles. Cette Weltanschauung impériale et ses réalisations sociales, économiques, culturelles et artistiques grandioses risquaient de séduire – elles séduisaient déjà !– tous les peuples européens : il fallait l’exterminer, fût-ce dans la plus effroyable apocalypse!

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