« Le Führer qui venait de Bouillon »
Une nouvelle biographie de Léon Degrelle
venant, elle, de Flandre !
C'est sous ce titre (De Führer uit Bouillon) qu'un jeune historien amateur flamand –Bruno Cheyns, 35 ans, travaille plutôt dans le secteur des assurances– publie la plus volumineuse biographie (590 pages) jamais consacrée à celui que Hitler eût voulu pour fils. Quoique pour son auteur, l'anecdote de cette relation filiale relèverait de la pure fiction (« fabeltje »), sans apporter pourtant la moindre explication à ce démenti péremptoire. Nous renvoyons nos lecteurs au blog du « Dernier Carré – Léon Degrelle » du 12 mai 2016 pour se faire une idée plus précise sur ce fait historique qui dérange tellement les pense-petit.
Au moment d'écrire ces lignes, nous n'avons pas encore eu le temps de lire ce lourd pavé qui a quand même le mérite de s'attacher quelque peu (une cinquantaine de pages seulement) aux années d'exil, mais l'interview qu'a publiée, le 26 octobre dernier, l’hebdomadaire flamand 't Pallieterke marque bien les limites dans lesquelles le prudent néophyte (c'est son tout premier ouvrage) entend demeurer : celles du politiquement correct à la Martin Conway, Eddy De Bruyne ou Francis Balace dont il semble reprendre, traduire et amplifier les fadaises.
Sans doute est-ce la raison pour laquelle les photos que nous lui avons permis de reprendre de notre site ne sont pas créditées à notre blog « Dernier Carré – Léon Degrelle, http://lederniercarre.hautetfort.com » comme il avait été convenu, mais à l'asbl « Les Bourguignons », dissoute depuis 1990, seule à figurer dans l'Encyclopédie de De Bruyne). Sans doute importait-il surtout de ne faire aucune publicité à notre entreprise de rectification de l'Histoire concernant Léon Degrelle, le plus calomnié et diffamé des fils de Belgique, inexpiablement coupable d'avoir voulu rendre à son pays son destin de grandeur bourguignonne...