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socialisme

  • Pour une Révolution Authentique (Discours de Léon Degrelle à Berlin, le 7 février 1943).

    Le 31 mars 2014 disparaissait, dans son exil espagnol de près de cinquante années, Léon Degrelle, le dernier Conducteur de Peuple du XXe siècle.
    Aujourd’hui que s’est solidement installée la tyrannie du « politiquement correct », il est de bon ton de répéter, – comme s’il s’agissait d’une vérité biblique –, dans une foultitude de publications, que Léon Degrelle n’est qu’un mégalomane, un mythomane, bref un menteur congénital ne méritant même plus que l’on s’arrête à le lire ou à lui prêter attention… Et s’il est vrai que le Chef de Rex était bien conscient de sa valeur et du prodigieux destin qu’il était appelé à se forger, son charisme impressionnant, ses aptitudes exceptionnelles et ses succès extraordinaires, acquis dès son plus jeune âge, ne pouvaient qu’indisposer ceux qu’il bousculait. De telles qualités ont très tôt suscité envies, haines et calomnies.
    Car toute la vie de Léon Degrelle est ainsi faite de chapitres absolument fabuleux. Depuis son parcours estudiantin haut en couleur et sa périlleuse expédition au Mexique jusqu’aux tentatives d’enlèvement et d’assassinat en Espagne fomentées par des juges et des résistants belges ou les services secrets israéliens et français, en passant par sa campagne fulgurante contre les pourris de la politique belge, son héroïsme au Front de l’Est (Croix de Fer de Seconde et Première Classe, Agrafe en or des Combats au Corps à Corps, Insigne en or des Blessés, Croix de Chevalier de la Croix de Fer avec Feuilles de Chêne, etc.) et ses promotions militaires au seul mérite personnel –de simple soldat à général, commandeur de division et Volksführer (détenteur des pouvoirs civils et militaires) des Wallons–, ses liens inimaginablement privilégiés avec Adolf Hitler (« Si j’avais un fils, je voudrais qu’il fût comme vous ») ou son projet de rétablissement du Duché de Bourgogne approuvé par le Führer, tout dans la vie de Léon Degrelle relève de la geste, de l’épopée, du mythe. Et pourtant, tout a toujours fini par se vérifier, comme l’a montré, dès 1978, l’enquête –contradictoirement documentée– de Jean-Michel Charlier pour « Les dossiers noirs » de la troisième chaîne de télévision française, Léon Degrelle – Autoportrait d’un fasciste. Appartenant néanmoins au camp des vaincus, Léon Degrelle a subi, comme tous les autres maudits de cette tragédie, la damnatio memoriae, – le rejet de l’Histoire et la flétrissure de son nom–, l’adhésion à l’ « idéologie hitlérienne » –le National-Socialisme– ne pouvant s’expliquer que par la trahison, la recherche de gains personnels, la perversion intellectuelle et morale, la cruauté bestiale, la lâcheté et l’opportunisme… Aussi n’est-il pas inintéressant de prendre connaissance des motivations du principal concerné, livrées à un moment de sa vie où il n’était pas question de fanfaronner : celui où, engagé volontaire comme simple soldat, il défendait son idéal au péril de sa vie dans les combats titanesques du Front de l’Est.
    Ainsi, le dimanche 7 février 1943, dans la grande salle ovale de la Kuppelhalle, d’une capacité de onze cents personnes, du Haus des Deutschen Sports situé sur le Reichssportfeld olympique à Berlin, le futur Commandeur de la Division Wallonie, entouré de nombreux légionnaires, parlait devant les ouvriers wallons de la capitale du Reich, travailleurs volontaires ou engagés au Service du Travail Obligatoire (Werbestelle).

    Voici quelques extraits éclairants – et inédits depuis lors – de ce discours particulièrement important, ovationné par son auditoire progressivement conquis, comme on peut le constater grâce à l’enregistrement retransmis à deux reprises sur les ondes de Radio-Bruxelles, les 9 et 14 février 1943.
    Y sont clairement évoquées les raisons de cette gigantesque et monstrueuse guerre de civilisation, délibérément provoquée par des ploutocrates toujours « aux affaires », décidés à anéantir une vision du monde faite de souci de beauté et de recherche d’harmonie élevant les âmes et stimulant les énergies, de justice sociale et de solidarité mutuelle ainsi que de liberté responsable et d’épanouissement personnel dans le cadre des communautés naturelles. Cette Weltanschauung impériale et ses réalisations sociales, économiques, culturelles et artistiques grandioses risquaient de séduire – elles séduisaient déjà !– tous les peuples européens : il fallait l’exterminer, fût-ce dans la plus effroyable apocalypse!

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