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Cercle des Amis de Léon Degrelle

 

XLIVe Correspondance privée – septembre 2025

 

 

Quelle joie, ce lundi, en recevant notre exemplaire de la nouvelle Correspondance du Cercle des Amis de Léon Degrelle que nous n'attendions plus !

 

Cela faisait quasi un an que nous n'en avions plus aucune nouvelle. De plus, connaissant la persécution implacable frappant le Cercle et son président (ce blog au 18 octobre 2024), nous craignions vraiment que la « Patrie des Droits de l'Homme » ait réussi son entreprise d'ostracisme, sinon d'anéantissement.

 

Nous nous rendons compte, aujourd'hui que nous recevons la quarante-quatrième livraison de la Correspondance du Cercle, qu'il n'en est rien et que, même, sa résilience s'est fortifiée dans l'épreuve. Du coup, nous nous rendons également compte qu'une quarante-troisième Correspondance a dû être publiée, qui ne nous est jamais parvenue. Oserions-nous impliquer les services de la Poste dans cette entreprise de sabotage ? Rien n'est impossible, mais sans doute ne faut-il incriminer qu'une énième perte « accidentelle » de courrier, comme nous en subissons quasi toutes les semaines, maintenant que le service public se consacre essentiellement aux livraisons d'achats en ligne. Il n'empêche que la coïncidence est troublante...

 

Mais revenons à la Correspondance privée qui, dès sa première page de couverture, affirme la ferme volonté de résistance du Cercle par un magnifique dessin de Miège (ce blog au 15 mars 2024) montrant trois jeunes gens déterminés à se lancer dans la Grande Bagarre, encouragés par l'apologue degrellien : « Partout, des jeunes aux yeux de loups, aux dents de loups, se dressaient, bondissaient, gagnaient, se préparaient à changer le monde » ! (Hitler pour 1000 ans, p. 33).

 

Cercle 44 Edito.jpeg

 

L'éditorial que nous reproduisons ici explique les derniers rebondissements imaginés pour casser l'entreprise perpétuant l'héritage du héraut de la révolution des âmes. Il illustre aussi le « deux poids, deux mesures » d'une « justice » aveuglée par la haine, et d'une pseudo-droite en cure de dédiabolisation.

 

 

 

Fähnlein Tcherkassy.pngPour les Allemands qui n'ont pas renié leur Histoire, le 8 mai 1945 marque une date catastrophique qui ne se fête pas. Nous, nous pouvons nous permettre de célébrer celle du sauvetage de Léon Degrelle !

 

 

Ce numéro du Cercle des Amis de Léon Degrelle illustre surtout la perte irréparable que signifierait sa disparition, tant l'exhaustivité de l'actualité degrellienne qu'il recense pour nous est précieuse. Où aurions-nous pu apprendre sinon que l'excellente revue allemande Ein Fähnlein  (ce blog au 26 mai 2022) avait publié un important dossier sur la percée de Tcherkassy, n'oubliant pas de mettre à l'honneur le Commandeur de la Division Wallonien ?

 

Ou que le journal en ligne de Séville avait consacré un article à La Carlina sous le titre L'histoire de l'homme politique nazi qui s'est réfugié à Séville après la Seconde Guerre mondiale. Léon Degrelle s'est construit un petit palais connu sous le nom de La Carlina à Constantina, lieu entièrement visitable aujourd'hui.

 

L'articulet insiste sur la « protection du régime franquiste » dont put jouir l'exilé en Espagne, y compris « durant la transition démocratique ». Mais le sujet principal est bien La Carlina présentée comme une attraction touristique « entièrement ouverte au public aujourd'hui ». La seule chose qui n'est pas dite, c'est que l'endroit est en fait le couvent des moniales de Saint-Jérôme qui offrent l'hospitalité aux visiteurs cherchant « la rencontre quotidienne avec Jésus-Christ à travers la vie communautaire, la prière –liturgie et méditations sur l’Évangile– et le travail ». Le site du monastère offre une courte vidéo permettant de visiter l'endroit et de voir comment le Palacete de Léon Degrelle est devenu un sanctuaire où les religieuses ne l'oublient jamais dans leurs prières, lui exprimant leur reconnaissance et sollicitant pour lui la bienveillance de Dieu.

 

Monastère Constantina.png

 

Dans le registre de la répression des organisations identitaires dont il est lui-même victime, le Cercle nous apprend également que le décret de dissolution de l'organisation nationaliste Lyon populaire (groupement de fait, sans personnalité juridique) cite, comme circonstances aggravantes, des références que ce mouvement osa faire à Léon Degrelle. De quoi, certes, mériter la guillotine si la peine de mort était jamais rétablie en France.

 

Lisons plutôt : « Considérant d’une part, que le groupement présente la violence comme nécessaire face à la prétendue défaillance de l’État, en alimentant une “culture de l’affrontement” [...] ; que pour exalter ses militants à se battre, le groupement emploie régulièrement un vocabulaire guerrier que l’on retrouve dès sa devise Vivre en travaillant ou mourir en combattant et omniprésent dans sa communication ; qu’il utilise des citations d’individus faisant référence à la guerre et recommande également la lecture [...] d’auteurs qui font référence à la guerre tels que Léon DEGRELLE évoquant le “(…) notre combat” » (Journal officiel de la République française, 13 juin 2025).

 

Nous pourrons sans doute nous demander jusque sur notre lit de mort ce que peut bien être « le (...) notre combat » de Léon Degrelle... Et, à propos de lit, heureusement que ceux des militants ne sont pas infestés de punaises de lit, les gendarmes eussent pu trouver des pots de terre de Sommières « qui combat les punaises de lit » !

 

Rien n'échappe, apparemment, à l’œil du Cercle qui mérite amplement le titre honorifique de Degreller Beobachter !

 

Ainsi nous présente-t-il le « Gâchis Parmentier » qu'a dénoncé Rivarol : l'ancienne rédac-chef du quotidien catholique Présent aujourd'hui disparu, Caroline Parmentier, devenue député Rassemblement National du Pas-de-Calais, qui, –« dédiabolisation » oblige–, a multiplié reptations devant la bienpensance, reniements honteux et alignements opportunistes, et a trahi tous les engagements qui justifièrent son entrée en politique (au premier rang desquels figurait naturellement la lutte contre l'avortement). Mais, erreur fatale, elle a oublié de battre sa coulpe pour avoir participé à l'édition de l'Hommage de journalistes nationalistes à leur reporter favori. Publié en 1993, par des « Éditions Bergeron-Sanders », Hergé et nous s'ouvre sur un dessin « Tintin ? À droite, toute ! », inspiré de la célèbre photo de Léon Degrelle à la tribune du Congrès de Lombeek à côté de la hampe au drapeau rexiste (ce blog au 15 mars 2024). La tête de Tintin y a significativement remplacé celle du Chef de Rex : ce fut pour Aramis le moyen d'illustrer l'évidence du lien indissociable unissant ces deux immortels modèles de la jeunesse (ce blog au 5 janvier 2022).

 

Hergé et nous Aramis.png

 

La page suivante énumère la liste des collaborateurs ayant permis la réalisation de cet hommage à Hergé : il se trouve que l'avant-dernière personne remerciée est Caroline Parmentier. Crime inexpiable, car : « Hergé, créateur de Tintin, devrait beaucoup [au] nazi belge Léon Degrelle, qui a combattu pendant la Seconde Guerre mondiale avec les Waffen-SS. » (Médiapart, 25 juin 2025).

 

Le pire de l'histoire est qu'il n'est même pas possible de connaître précisément le rôle de Parmentier dans cette affaire car le bouquin est quasiment introuvable : selon le journaliste et co-éditeur Alain Sanders, il a été « pilonné à la demande de la Fondation Hergé » (¡ Arriba España !, Ed. Godefroy de Bouillon, 1997, p. 2). Décision qui a dû ravir l'autre journaliste et co-éditeur, Francis Bergeron, auteur d'un Guide du collectionneur politiquement incorrect, s'attachant particulièrement à la valeur marchande des documents nationalistes (ce blog au 26 mai 2016) : Hergé et nous n'est habituellement jamais proposé à moins de 500 euros !

 

Campagne Russie Brigneau.pngDans ce domaine, le Cercle n'oublie pas de recenser les cotes élevées atteintes par les livres dédicacés de Léon Degrelle. Ainsi de La Campagne de Russie, que Léon Degrelle offrit à François Brigneau (1919-2012) lorsqu'en 1959, il vint l'interviewer pour son livre L'aventure est finie pour eux (Gallimard, 1960). Il a été adjugé 420 euros dans une maison de ventes aux enchères de Limoges : « A mon cher ami François Brigneau, l'idéaliste dont rien n'a brisé l'élan : ces pages où revivent d'autres idéalistes qui, dans la grandeur et la douleur, ajoutèrent quelque chose au patrimoine moral des hommes. Avec toute la sympathie et l'affectueux souvenir de Léon Degrelle. »

 

La vente a été réalisée il y a près de cinq ans déjà, le 18 février 2021. Aujourd'hui, les prix sont du même ordre chez les professionnels. Le Cercle a ainsi épinglé une édition de luxe numérotée de Hitler pour 1000 ans à 680 euros et Les Âmes qui brûlent, dédicacé, avec une reliure toilée d'éditeur pour 400 euros. Mais sur Ebay, les exigences n'ont plus de limites : 5500 euros pour une reproduction du tableau L'Énigme d'Hitler de Salvador Dali avec un autographe degrellien ou 1500 euros pour l'édition d'Avalon de La Cohue de 40 dédicacée...

 

Ombre LD.pngAu rayon des Degrelliana où nous sont présentés des « mugs » et un écusson (avec le célèbre portrait de notre ami Korbo, toujours « emprunté » mais jamais crédité : ce blog au 1er décembre 2020), nous retiendrons la kitschissime « Ombre » métallique noire de Léon Degrelle disponible à la LibreriaVigente la Derrota Mundial (Mexico) : elle fait une dizaine de centimètres et coûte 16,35 euros (+ frais d'envoi).

 

Nous pourrions encore passer en revue toutes les pages de cette Correspondance indispensable retraçant toute l'actualité degrellienne : les essais biographiques que nous vous avons déjà présentés sur ce blog, de nouvelles éditions des œuvres de Léon Degrelle en anglais, allemand, espagnol, italien,... Elle nous donne aussi à nouveau accès à des textes introuvables, comme Quand Barcelone était russe, un reportage de Léon Degrelle publié dans l'hebdomadaire français Gringoire en 1939 ou le récit de l'arrestation du Chef de Rex le 10 mai 1940 que l'inspecteur de la police judiciaire, Raoul Vanderote, publia en 1956 (ce blog au 30 avril 2017)...

 

Nous n'espérons qu'une chose : vous avoir mis suffisamment l'eau à la bouche pour vous abonner illico, si ce n'est déjà fait. Et aussi et surtout pour soutenir par vos dons le Cercle des Amis de Léon Degrelle parmi les embûches qui l'accablent. Il faut en profiter tant que son nouveau numéro de compte bancaire est encore actif : FR 76 2673 3000 1011 6433 0190 836.

 

Cercle des Amis de Léon Degrelle, adhésion : 30 euros ; membre bienfaiteur : 60 euros (ajouter 10 euros si vous ne résidez pas en France) : www.boutique-des-nationalistes.com 

 

Adresse : Cercle des Amis de LD, BP 92733, 21027 Dijon Cedex, France. lesamisdeleon.degrelle@gmail.com

 

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