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Dernier Carré "Léon Degrelle" - Page 26

  • Degrelle. Qui suis-je ? Par Francis Bergeron, éditions Pardès, 2016, 125 pages

     

    La collection « Qui suis-je ? » des éditions Pardès rassemble des monographies sur toute sorte de personnages historiques, le plus souvent fort intéressantes en ce qu’elle donne accès à des renseignements non autrement disponibles pour le lecteur francophone (Leni Riefenstahl, Juan Perón, Knut Hamsun, Arno Breker, Ernst Jünger,…) ou à des témoignages de première main sur des acteurs de notre histoire récente (où trouver ailleurs de bons éléments biographiques sur François Brigneau, Lucien Rebatet, Pierre Gripari, Robert Poulet, Jacques Chardonne,… ?).

     

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  • Nos icônes ont également leurs "faiblesses"… Que penser du « Loup au cou de chien » de Pol Vandromme ?

    139_001.jpgC’est fin 1978 que Pol Vandromme publia Le loup au cou de chien. Degrelle au service d’Hitler.

    Avec ce livre, l’éditorialiste du Rappel de Charleroi se prétendait historien, et même historien du meilleur niveau : « On connaissait Pol Vandromme comme un très bon écrivain, comme un critique fort apprécié, mais guère encore comme historien. Dans l'ouvrage Le loup au cou de chien, il fait revivre les événements tragiques de l'avant-guerre et de la guerre 1939-1945 avec une implacable lucidité et ne celant rien de la vérité», proclame la page 4 de couverture.

     

    Pourquoi revenir près de quarante ans après, sur ce qui n’était qu’un méchant pamphlet ? Parce que son auteur, Pol Vandromme, n’est pas n’importe qui dans « nos milieux ». Parce que personne dans « nos milieux » n’a jamais rendu compte de cette mauvaise action. Parce que nous avons enfin reçu ce compte rendu qui montre que « nos milieux » ne sont pas nécessairement à l’abri d’un « politiquement correct » à l’envers.

     

    Et enfin, parce que cette critique – même datée – rend justice à Léon Degrelle.


    V
    oici le courrier que nous adresse un professeur à la retraite, ancien titulaire de la classe de
    Rhétorique d’un Collège des « Bons Pères »

     

     

    Cher Monsieur,

     

    Un ami commun me fait parvenir copie de votre article « Degrelle-Hergé, même combat », publié voilà déjà deux ans dans « Synthèse nationale ».

     

    J’y vois nombre d’informations pertinentes et innovantes, mais je ne voudrais vous entretenir que d’un petit détail. Je vois que vous citez dans la bibliographie l’inévitable « Monde de Tintin » de Pol Vandromme et que vous ajoutez « Un mot sur le critique apprécié » qui est, passez-moi l’expression, un flingage en bonne et due forme !

     

    Cette note concernant le pamphlet « Le loup au cou de chien » m’a particulièrement réjoui, car, à l’époque de sa publication, en 1978, j’étais étudiant en philologie romane (aux Facultés de Namur, puis à Louvain, tout comme Léon Degrelle !) et j’avais été sidéré par l’incroyable mauvaise action d’un auteur qui ne m’avait jamais inspiré qu’un immense respect pour son œuvre de critique sans tabous.

     

    Ce livre m’avait profondément heurté pour deux raisons : tout d’abord sa mauvaise foi de tous les instants, et ensuite le moment choisi de la publication, qui était celui où était annoncée la diffusion par FR3, dans la série « Les Dossiers noirs », du chef-d’œuvre absolu de Jean-Michel Charlier « Léon Degrelle. Autoportrait d’un fasciste ».

     

    La quatrième page de couverture y insistait d’ailleurs : «Tout est dit et révélé sur un personnage peu reluisant qui a trahi son pays, qui servilement s'est mis au service d'Hitler et de Mussolini, qui a refusé de passer devant ses juges et s'est mis sous la protection du dictateur Franco et qui, bénéficiant de l'audience de FR 3, déclare avec emphase qu'il recommencerait! L'ouvrage de Pol Vandromme dévoile ce que FR 3 n'a pas dit. »

     

    C’est cet essai mercantile de participation à la curée obligatoire contre l’éternel proscrit belge qui m’avait encore le plus écœuré. Mais la curée alla plus loin que ne le pensait Vandromme, puisque, enlevant à son livre toute valeur d’actualité, le gouvernement français avait interdit d’antenne au dernier moment les deux volets de l’émission. Aujourd’hui encore l’ « autoportrait » de Léon Degrelle – remarquable documentaire soumettant toutes les affirmations du Commandeur de la Légion Wallonie aux réponses pitoyables et concordantes de ceux qu’il met en cause – n’est disponible que dans les « circuits parallèles »

     

    Lecteur assidu, à l’époque, de la remarquable revue « Défense de l’Occident » qui constitua ma véritable école de formation politique, je me risquai à proposer à Maurice Bardèche mon article pour publication. Et je fus quelque peu interloqué par sa réponse, que je vous communique.

     

     

    Canet, 13 avril 1979.

     

    Mon cher Camarade,

     

    Quand vous m’avez adressé votre article sur Pol Vandromme, je pense que vous ignoriez qu’il avait été le premier en 1950 à publier chez Plon une biographie de Robert Brasillach. Un jeune écrivain belge risquait sa carrière à cette époque en écrivant un tel livre. Je ne puis l’oublier. Et je pense que Pol Vandromme a droit, quelle que soit mon opinion sur son dernier livre, à ne pas être attaqué dans ma revue. Je suis convaincu que vous comprendrez.

    Croyez, je vous prie à mes sentiments bien cordiaux.

     

    Maurice Bardèche

     

     PS : Vous me ferez toujours plaisir en m’adressant des articles pour Défense de l’Occident. Soyez convaincu que vous serez le bienvenu.

     

     

    Lettre Bardèche.jpgIl est bien entendu que je comprenais parfaitement la position de Maurice Bardèche, – homme d’amitié et de fidélité –, mais pas au point de transformer un auteur – quel qu’il soit – en mandarin intouchable, voire sacralisé, – surtout lorsqu’il est pris la main dans le sac d’une vilenie.

     

    Les choses en restèrent donc là, mais j’ai plaisir à vous envoyer copie de ce texte – quand même naïf et daté – de ma jeunesse, car je n’avais encore jamais vu, nulle part, quelqu’un (qui ne soit pas d’obédience socialo-communiste, évidemment) oser ruer dans les brancards au sujet de Pol Vandromme.

     

    Sans doute son œuvre est-elle d’exception. Mais pas « Le loup au cou de chien » !

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  • "We will not go to Tuapse" : Fernand Kaisergruber ou l'Idéal renforcé par l'épreuve.

     

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    Fernand Kaisergruber, We will not go to Tuapse

    From the Donets to the Oder with the Legion Wallonie and 5th SS Volunteer Assault Brigade Wallonien 1942-1945.

     

    Le passionnant récit de Fernand Kaisergruber sur son engagement au Front de l’Est – Nous n’irons pas à Touapse – vient de sortir de presse dans sa version anglaise aux éditions Helion & Company (voir sur ce site à la date du 1er février).

    Il s’agit d’un magnifique ouvrage relié de 328 pages (24,5 x 17 cm), illustré de plus de 70 photos et cartes. À commander sur www.amazon.fr (33,59€).

     

     

    Offre exclusive pour les membres du Dernier Carré

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    Un ex-libris original représentant le jeune Unterscharführer Kaisergruber a été dessiné par la sculptrice du buste de Léon Degrelle.

     

    Numéroté et signé par l’artiste ainsi que par l’auteur, il sera envoyé aux seuls acquéreurs du livre de Fernand Kaisergruber qui en feront la demande au « Dernier Carré » (moyennant versement de 10€ pour les frais d’envoi au compte BE 04 2100 4559 7631 du Dernier Carré, avec la mention « Ex-libris » et les coordonnées).

     

  • "Les Journaux de guerre": ça n’en finira jamais... Léon Degrelle, toujours dans le collimateur du CEGESOMA !

    LD Journaux de guerre CEGES.jpgLe CEGESOMA, – l’ancien Centre de documentation de la Seconde Guerre Mondiale – a repris l’idée de la reproduction de journaux de cette époque et décidé de donner sa « collaboration » [sic] à la « publication indépendante » Les Journaux de Guerre 1940-1945... La neuvième livraison est consacrée à Léon Degrelle et reproduit le numéro du 1er janvier 1941 du Pays Réel, avec les vœux du Chef de Rex ainsi que le discours de nouvel an d’Adolf Hitler : une lecture roborative et toujours brûlante d’actualité, aujourd’hui que nos sociétés en totale déliquescence sont mises en coupe réglée par les désormais sacro-saints banksters politico-financiers.

    Mais pour accompagner et encadrer le public ignare dans une lecture qui pourrait lui donner des idées dangereusement incorrectes, l’éditeur a pris soin de joindre une grande double page précisant ce qu’il faut penser de Léon Degrelle, de ses idées, de son mouvement. A la manœuvre: des briscards chevronnés de l’antifascisme – ayant parfois bénéficié sans vergogne de l’hospitalité de Léon Degrelle – tels Martin Conway (professeur-réviseur d’histoire à Oxford) en juillet 1988, ou l’inamovible bibliothécaire de la vérité officielle Alain Colignon, et des seconds couteaux tels le journaleux Olivier Rogeau et la jeune universitaire tout juste formatée Sophie Soukias qui a ici l’occasion de régurgiter sa parfaite soumission au politiquement correct…

     

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  • Léon Degrelle, SS et catholique !

    Retrouvées dans les archives de Léon Degrelle (1), ces six pages manuscrites répondent aux questions de l’ « hebdomadaire chrétien d’actualité », La Vie. Le texte n’est pas daté et nous ignorons s’il a été publié par la revue, n’ayant pas eu l’occasion d’en examiner la collection. Mais nous en doutons fort, à la lecture de la présentation qu’elle fit, le 17 septembre 1992, de l’émission « Dossiers Noirs » de Jean-Michel Charlier Léon Degrelle, Autoportrait d’un fasciste (deux fois annoncée – en 1978 et en 1992– mais chaque fois supprimée sur ordre du gouvernement français): « Mais pour quelles raisons France 3 programme-t-elle ce portrait du Belge Léon Degrelle, dernier leader nazi vivant, réalisé en 1977 mais jamais diffusé à la télévision française ? Le personnage y apparaît comme un "fort en gueule", assez abject, prônant l’ordre, et dont l’essentiel du discours se résume à remuer le passé douteux des gouvernants de son époque dans la Belgique des années 30 »…

    Cet hebdomadaire fondé en 1945 sous le titre La Vie Catholique illustrée par Georges Hourdin et le père dominicain Boisselot, fait la part belle aux photographies, à l’instar de Vu avant-guerre, s’inspirant lui-même de la Berliner Illustrierte Zeitung. En 1968, le titre devient La Vie catholique, avant de se raccourcir encore en La Vie, en 1977. Comme Léon Degrelle évoque cette dernière péripétie, en même temps que le sida, décrit comme tel en 1981-82, c’est probablement de cette époque que doit dater son interview. L’allusion au « cadavre » de l’Europe traîné « depuis 40 ans » permettrait même de la dater de 1985.

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  • In Memoriam Léon-Marie Degrelle. Il y a 58 ans, le 22 février 1958, Léon Degrelle perdait son seul fils.

     

    C’est le 22 février 1958, voilà 58 ans, que Léon Degrelle perdait son seul fils, Léon-Marie, né le 4 mai 1939, décédé à Séville, dans un accident de la route. Nous reproduisons l’article du journal Le Peuple Réel de mars 1958.

     

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  • "Rodéo à Tcherkassy" par Georges Thonon.

     

    Novo-Buda est orienté nord-sud.

    Il avait été pris par les Russes lors de l'encerclement de Tcherkassy en février 1944. Pour dégager la sortie, il fallait reprendre Novo-Buda.

    La localité fut reprise de nuit et les premières lignes prises à l'arme blanche par le 103e régiment de la 72e Division d'infanterie. La vague d'assaut pénétra rapidement au cœur du village où le restant des troupes russes surprises en pleine nuit se défendit en un combat âpre mais désordonné. Nous devions assurer la relève des troupes de Kastner qui avaient pris le village. Une période de dégel brusque avait transformé le sol en marécage avec 30 centimètres de boue sur fond de sol gelé et glissant. Nous sommes montés de nuit en pataugeant vers ce charmant Eden, dans l'obscurité du treize février naissant. La Sturmbrigade était réduite à un très maigre bataillon, à l'armement et aux munitions réduites par les combats précédents qui s'étaient succédé sans interruption.

    Le cercle s'était réduit autour de nous, la situation semblait sans issue et l'endroit sentait furieusement la mort. Les soldats que nous relevions étaient nerveux et pressés de partir comme s'ils pressentaient la tornade. Vers le sud, en direction de Morency, on entendait un grondement de moteurs qui allait grandissant... 

     

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  • Bergeron n’a pas raison : Tintin-Degrelle, c’est pas du bidon !

    Le 8 octobre 2015, l’hebdomadaire Rivarol publiait une interview de Francis Bergeron par Robert Spieler sous le titre « La géopolitique de Tintin, de son père Hergé, de leur confesseur [sic], l’abbé Wallez, passée au crible », à propos de son nouvel essai Hergé, le voyageur immobile. Dans cette interview, l’auteur, spécialiste du « politiquement correct », remettait à nouveau en question la réalité du rôle de modèle physique, moral et politique joué par Léon Degrelle dans la conception par Hergé de son héros Tintin.

    Une réponse relativement brève a été immédiatement envoyée à Rivarol.

    Sans réaction de sa part après tant de semaines, nous supposons bien que la rédaction ne compte y donner aucune suite, estimant peut-être le sujet sans grande importance. Nous le regrettons d’autant plus que, ce faisant, l’hebdomadaire de l’opposition nationale et européenne pourrait donner à penser qu’il n’agit pas autrement que tous ceux qu’à bon droit, il dénonce pour leur peu de cas manifesté pour la vérité historique.

    Nous n’avons donc d’autre possibilité pour rectifier l’affront fait à Léon Degrelle, mais aussi à Hergé qui toujours se montra fidèle –même dans la discrétion– à ses engagements idéologiques, que de publier cette réponse circonstanciée par la voie d’Internet.

    Se réclamant des « tintinophiles nationalistes » (Rivarol, 8 octobre 2015, p. 11), Francis Bergeron compte parmi les rares spécialistes de Hergé n’appartenant pas à la mouvance de la dictatoriale Fondation Hergé. Il n’empêche qu’à propos des origines de Tintin, il se rapproche curieusement des thèses « négationnistes » de celle-ci à propos de l’influence –pourtant déterminante– de Léon Degrelle sur le créateur du futur héros des « jeunes de 7 à 77 ans ».

    Aussi, si dans notre titre, nous pastichons le fameux slogan célébrant le Professeur Robert Faurisson, c’est qu’il est des évidences qui ont bien des difficultés à se faire admettre, même parmi ceux qui devraient se réjouir de la bonne nouvelle de la constance idéologique de Hergé à travers tous les aléas de sa vie et de son absolue fidélité en amitié, toutes deux abondamment illustrées par sa relation à Léon Degrelle [1].

    Contrairement aux « révisionnistes » qui, s’en tenant scrupuleusement aux faits vérifiables et vérifiés et analysant rigoureusement les textes et témoignages, ont débarrassé de leurs mythes et affabulations l’histoire écrite par les vainqueurs de 1945, obligeant ceux-ci à concevoir des lois liberticides pour les protéger, l’auteur du Dictionnaire commenté de livres politiquement incorrects, par sa lecture entachée de partis pris, n’aboutit qu’à un résultat devant réjouir les biographes politiquement corrects d’un Hergé incolore, inodore et insipide.

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  • « Léon Degrelle était bien Tintin ! » L’intuition première de Jean Mabire.


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    près Degrelle-Hergé même combat, publié dans le numéro de mai-juin 2014 de Synthèse nationale, établissant non seulement que Degrelle fut bien le modèle ayant inspiré Tintin, mais démontrant aussi la fidélité absolue et pérenne de Hergé à ses idéaux de jeunesse, Armand Gérard verse aujourd’hui un nouvel élément au dossier de la filiation irréfutable unissant Tintin – le héros des jeunes de 7 à 77 ans – à Léon Degrelle – le héros du Front de l’Est.

    Retrouvé dans le fonds d’archives de Léon Degrelle appartenant à Marc Vanbesien, il s’agit de l’article Léon Degrelle fut-il Tintin?,sans doute rédigé peu après 1983 –année du décès de Hergé– par Jean Mabire, l’écrivain-historien bien connu de la Seconde Guerre mondiale.

    Dans cet article, Jean Mabire se manifeste comme le tout premier à chroniquer le lien intime entre Degrelle et Tintin et à établir un parallèle judicieux entre les deux héros au point de vue du caractère, du profil psychologique et des valeurs guidant leur vie.

    Etablissant la pertinence des intuitions de Jean Mabire, Armand Gérard, documents à l’appui, confirme la permanence des relations amicales entre Léon Degrelle et Hergé bien après la guerre, de même qu’il révèle la réelle opinion sur la relation Degrelle-Tintin du biographe officiel de Hergé. Un Pierre Assouline qui n’hésite pas à présenter son livre comme une démonstration par l’absurde, en détruisant explicitement, dans sa dédicace à la veuve de Léon Degrelle, la thèse officielle qu’il a été obligé de défendre et en la désignant comme seule habilitée à trouver dans sa biographie « la trace et l’ombre » de qui elle sait être le vrai Tintin !

    L’auteur conjecture également à raison que c’est probablement la démarche de Jean Mabire soumettant son article à Léon Degrelle qui est à l’origine de sa décision de faire toute la lumière sur sa relation à Hergé dans Tintin mon copain.


    Magazine des Amis de Jean Mabire n° 45, Solstice d’été 2015.

    Association des Amis de Jean Mabire,
    15, route de Breuilles
    F-17330 Bernay-Saint-Martin.
    Abonnement annuel (20 euros) sur www.jean-mabire.com