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Dernier Carré "Léon Degrelle" - Page 29

  • "Les Journaux de guerre": ça n’en finira jamais... Léon Degrelle, toujours dans le collimateur du CEGESOMA !

    LD Journaux de guerre CEGES.jpgLe CEGESOMA, – l’ancien Centre de documentation de la Seconde Guerre Mondiale – a repris l’idée de la reproduction de journaux de cette époque et décidé de donner sa « collaboration » [sic] à la « publication indépendante » Les Journaux de Guerre 1940-1945... La neuvième livraison est consacrée à Léon Degrelle et reproduit le numéro du 1er janvier 1941 du Pays Réel, avec les vœux du Chef de Rex ainsi que le discours de nouvel an d’Adolf Hitler : une lecture roborative et toujours brûlante d’actualité, aujourd’hui que nos sociétés en totale déliquescence sont mises en coupe réglée par les désormais sacro-saints banksters politico-financiers.

    Mais pour accompagner et encadrer le public ignare dans une lecture qui pourrait lui donner des idées dangereusement incorrectes, l’éditeur a pris soin de joindre une grande double page précisant ce qu’il faut penser de Léon Degrelle, de ses idées, de son mouvement. A la manœuvre: des briscards chevronnés de l’antifascisme – ayant parfois bénéficié sans vergogne de l’hospitalité de Léon Degrelle – tels Martin Conway (professeur-réviseur d’histoire à Oxford) en juillet 1988, ou l’inamovible bibliothécaire de la vérité officielle Alain Colignon, et des seconds couteaux tels le journaleux Olivier Rogeau et la jeune universitaire tout juste formatée Sophie Soukias qui a ici l’occasion de régurgiter sa parfaite soumission au politiquement correct…

     

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  • Léon Degrelle, SS et catholique !

    Retrouvées dans les archives de Léon Degrelle (1), ces six pages manuscrites répondent aux questions de l’ « hebdomadaire chrétien d’actualité », La Vie. Le texte n’est pas daté et nous ignorons s’il a été publié par la revue, n’ayant pas eu l’occasion d’en examiner la collection. Mais nous en doutons fort, à la lecture de la présentation qu’elle fit, le 17 septembre 1992, de l’émission « Dossiers Noirs » de Jean-Michel Charlier Léon Degrelle, Autoportrait d’un fasciste (deux fois annoncée – en 1978 et en 1992– mais chaque fois supprimée sur ordre du gouvernement français): « Mais pour quelles raisons France 3 programme-t-elle ce portrait du Belge Léon Degrelle, dernier leader nazi vivant, réalisé en 1977 mais jamais diffusé à la télévision française ? Le personnage y apparaît comme un "fort en gueule", assez abject, prônant l’ordre, et dont l’essentiel du discours se résume à remuer le passé douteux des gouvernants de son époque dans la Belgique des années 30 »…

    Cet hebdomadaire fondé en 1945 sous le titre La Vie Catholique illustrée par Georges Hourdin et le père dominicain Boisselot, fait la part belle aux photographies, à l’instar de Vu avant-guerre, s’inspirant lui-même de la Berliner Illustrierte Zeitung. En 1968, le titre devient La Vie catholique, avant de se raccourcir encore en La Vie, en 1977. Comme Léon Degrelle évoque cette dernière péripétie, en même temps que le sida, décrit comme tel en 1981-82, c’est probablement de cette époque que doit dater son interview. L’allusion au « cadavre » de l’Europe traîné « depuis 40 ans » permettrait même de la dater de 1985.

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  • In Memoriam Léon-Marie Degrelle. Il y a 58 ans, le 22 février 1958, Léon Degrelle perdait son seul fils.

     

    C’est le 22 février 1958, voilà 58 ans, que Léon Degrelle perdait son seul fils, Léon-Marie, né le 4 mai 1939, décédé à Séville, dans un accident de la route. Nous reproduisons l’article du journal Le Peuple Réel de mars 1958.

     

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  • "Rodéo à Tcherkassy" par Georges Thonon.

     

    Novo-Buda est orienté nord-sud.

    Il avait été pris par les Russes lors de l'encerclement de Tcherkassy en février 1944. Pour dégager la sortie, il fallait reprendre Novo-Buda.

    La localité fut reprise de nuit et les premières lignes prises à l'arme blanche par le 103e régiment de la 72e Division d'infanterie. La vague d'assaut pénétra rapidement au cœur du village où le restant des troupes russes surprises en pleine nuit se défendit en un combat âpre mais désordonné. Nous devions assurer la relève des troupes de Kastner qui avaient pris le village. Une période de dégel brusque avait transformé le sol en marécage avec 30 centimètres de boue sur fond de sol gelé et glissant. Nous sommes montés de nuit en pataugeant vers ce charmant Eden, dans l'obscurité du treize février naissant. La Sturmbrigade était réduite à un très maigre bataillon, à l'armement et aux munitions réduites par les combats précédents qui s'étaient succédé sans interruption.

    Le cercle s'était réduit autour de nous, la situation semblait sans issue et l'endroit sentait furieusement la mort. Les soldats que nous relevions étaient nerveux et pressés de partir comme s'ils pressentaient la tornade. Vers le sud, en direction de Morency, on entendait un grondement de moteurs qui allait grandissant... 

     

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  • Bergeron n’a pas raison : Tintin-Degrelle, c’est pas du bidon !

    Le 8 octobre 2015, l’hebdomadaire Rivarol publiait une interview de Francis Bergeron par Robert Spieler sous le titre « La géopolitique de Tintin, de son père Hergé, de leur confesseur [sic], l’abbé Wallez, passée au crible », à propos de son nouvel essai Hergé, le voyageur immobile. Dans cette interview, l’auteur, spécialiste du « politiquement correct », remettait à nouveau en question la réalité du rôle de modèle physique, moral et politique joué par Léon Degrelle dans la conception par Hergé de son héros Tintin.

    Une réponse relativement brève a été immédiatement envoyée à Rivarol.

    Sans réaction de sa part après tant de semaines, nous supposons bien que la rédaction ne compte y donner aucune suite, estimant peut-être le sujet sans grande importance. Nous le regrettons d’autant plus que, ce faisant, l’hebdomadaire de l’opposition nationale et européenne pourrait donner à penser qu’il n’agit pas autrement que tous ceux qu’à bon droit, il dénonce pour leur peu de cas manifesté pour la vérité historique.

    Nous n’avons donc d’autre possibilité pour rectifier l’affront fait à Léon Degrelle, mais aussi à Hergé qui toujours se montra fidèle –même dans la discrétion– à ses engagements idéologiques, que de publier cette réponse circonstanciée par la voie d’Internet.

    Se réclamant des « tintinophiles nationalistes » (Rivarol, 8 octobre 2015, p. 11), Francis Bergeron compte parmi les rares spécialistes de Hergé n’appartenant pas à la mouvance de la dictatoriale Fondation Hergé. Il n’empêche qu’à propos des origines de Tintin, il se rapproche curieusement des thèses « négationnistes » de celle-ci à propos de l’influence –pourtant déterminante– de Léon Degrelle sur le créateur du futur héros des « jeunes de 7 à 77 ans ».

    Aussi, si dans notre titre, nous pastichons le fameux slogan célébrant le Professeur Robert Faurisson, c’est qu’il est des évidences qui ont bien des difficultés à se faire admettre, même parmi ceux qui devraient se réjouir de la bonne nouvelle de la constance idéologique de Hergé à travers tous les aléas de sa vie et de son absolue fidélité en amitié, toutes deux abondamment illustrées par sa relation à Léon Degrelle [1].

    Contrairement aux « révisionnistes » qui, s’en tenant scrupuleusement aux faits vérifiables et vérifiés et analysant rigoureusement les textes et témoignages, ont débarrassé de leurs mythes et affabulations l’histoire écrite par les vainqueurs de 1945, obligeant ceux-ci à concevoir des lois liberticides pour les protéger, l’auteur du Dictionnaire commenté de livres politiquement incorrects, par sa lecture entachée de partis pris, n’aboutit qu’à un résultat devant réjouir les biographes politiquement corrects d’un Hergé incolore, inodore et insipide.

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  • « Léon Degrelle était bien Tintin ! » L’intuition première de Jean Mabire.


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    près Degrelle-Hergé même combat, publié dans le numéro de mai-juin 2014 de Synthèse nationale, établissant non seulement que Degrelle fut bien le modèle ayant inspiré Tintin, mais démontrant aussi la fidélité absolue et pérenne de Hergé à ses idéaux de jeunesse, Armand Gérard verse aujourd’hui un nouvel élément au dossier de la filiation irréfutable unissant Tintin – le héros des jeunes de 7 à 77 ans – à Léon Degrelle – le héros du Front de l’Est.

    Retrouvé dans le fonds d’archives de Léon Degrelle appartenant à Marc Vanbesien, il s’agit de l’article Léon Degrelle fut-il Tintin?,sans doute rédigé peu après 1983 –année du décès de Hergé– par Jean Mabire, l’écrivain-historien bien connu de la Seconde Guerre mondiale.

    Dans cet article, Jean Mabire se manifeste comme le tout premier à chroniquer le lien intime entre Degrelle et Tintin et à établir un parallèle judicieux entre les deux héros au point de vue du caractère, du profil psychologique et des valeurs guidant leur vie.

    Etablissant la pertinence des intuitions de Jean Mabire, Armand Gérard, documents à l’appui, confirme la permanence des relations amicales entre Léon Degrelle et Hergé bien après la guerre, de même qu’il révèle la réelle opinion sur la relation Degrelle-Tintin du biographe officiel de Hergé. Un Pierre Assouline qui n’hésite pas à présenter son livre comme une démonstration par l’absurde, en détruisant explicitement, dans sa dédicace à la veuve de Léon Degrelle, la thèse officielle qu’il a été obligé de défendre et en la désignant comme seule habilitée à trouver dans sa biographie « la trace et l’ombre » de qui elle sait être le vrai Tintin !

    L’auteur conjecture également à raison que c’est probablement la démarche de Jean Mabire soumettant son article à Léon Degrelle qui est à l’origine de sa décision de faire toute la lumière sur sa relation à Hergé dans Tintin mon copain.


    Magazine des Amis de Jean Mabire n° 45, Solstice d’été 2015.

    Association des Amis de Jean Mabire,
    15, route de Breuilles
    F-17330 Bernay-Saint-Martin.
    Abonnement annuel (20 euros) sur www.jean-mabire.com

  • Léon Degrelle: de Rex à Hitler.

     

    De nombreux manuscrits de Léon Degrelle attendent encore leur publication, dont la suite de la passionnante chronique du Siècle de Hitler (six volumes sur une vingtaine publiés à ce jour).

    Aujourd’hui, les Editions de l’Homme Libre – qui jouissent de l’exclusivité de la publication des œuvres de Léon Degrelle– ont choisi de publier De Rex à Hitler qui « dormait, oublié, au fond d’un carton des archives de Léon Degrelle. Ecrit dans les années soixante, il n’avait jamais été publié, malgré son réel intérêt historique. » L’Homme Libre dédie également cette publication « à Madame Jeanne Brevet, épouse de Léon Degrelle, décédée à Malaga le 15 décembre 2014, à l’âge de 92 ans. »

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    D
    ans un Avertissement, l’éditeur suppute que la non-publication de ce livre vient sans doute de « l’histoire de la Seconde Guerre Mondiale telle qu’elle se développe depuis le procès de Nuremberg et qui n’a pas manqué d’influencer inconsciemment certains points de vue, descriptions, jugements contenus dans ce livre ». En cause, « certains passages (essentiellement des portraits et descriptions) » relevant de « contingences personnelles », mais surtout l’Holocauste, « concept qui occultera progressivement toute l’histoire de la Deuxième Guerre Mondiale au point d’en devenir la cause et le but, le conflit planétaire n’ayant en définitive existé que par la volonté perverse et monomaniaque d’Adolf Hitler d’exterminer tous les juifs au moyen de chambres à gaz situées dans certains camps de concentration. »C’est en effet en tenant compte du progressif et systématique lavage des cerveaux enclenché par Nuremberg qu’il faut sans doute prendre en compte, par exemple, le portrait que Léon Degrelle trace, d’une manière qu’on sent embarrassée, du Reichsführer-SS Heinrich Himmler.

    Ayant bien connu et fréquenté Himmler, Léon Degrelle ne peut qu’écrire (p. 223) :
    « On l’a représenté comme un homme barbare et cruel. C’est inexact. Il pouvait, au contraire, être un homme délicat, attentif à faire plaisir. »

    Mais il se sent contraint de nuancer ce portrait positif du Reichsführer et de tenter de trouver une explication rationnelle – un fanatisme politique absolu (?) – à cette manière dont « on l’a représenté » et qu’il ne songe pas un instant à mettre en doute, tout en utilisant une métaphore euphémique pour exprimer son embarras:

    « Mais tout en lui convergeait vers la cause. Je suis certain qu’il n’a pas fait mourir un seul être humain par haine. Il considérait les inassimilables comme des insectes à éliminer au D.T.T. Il ne les détestait pas plus qu’on ne déteste les mouches qu’on asphyxie. Mais la suite a montré qu’il y allait plutôt fort lorsqu’il asphyxiait, avec son vaporisateur de policier, les moustiques humains qui l’encombraient ! »

    Cependant, comment expliquer que personne n’ait semblé avoir été, à cette époque, au courant de semblable génocide, que personne n’en ait jamais parlé (ou entendu parler) jusque dans les plus hautes sphères du pouvoir (que lui-même, Léon Degrelle, avait également pu approcher) ?

    Même si l’argument est pauvre et peu convaincant, la manie du secret et du cloisonnement pratiquée par Himmler est tout ce que peut trouver Léon Degrelle comme explication un tant soit peu plausible :
    «Il parlait peu, ne s’entretenant, avec chacun, que de son secteur. Il sériait le travail, gardait ses secrets. C’est ainsi que son invention des camps de concentration et de liquidation put, jusqu’à la fin de la guerre, rester inconnue de l’immense majorité de ses collaborateurs. Il est presque incroyable que ce secret ait été ainsi tenu : c’est néanmoins la stricte vérité. »
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    L’incongruité de cette explication trouble cependant Léon Degrelle qui se voit dès lors obligé de postuler chez Himmler ou un culot relevant de l’inconscience ou une totale absence de moralité, puisque, à la toute fin du Reich, en mai 1945, malgré l’ampleur supposée de ses crimes, le chef du système concentrationnaire se croyait naïvement l’interlocuteur incontournable des vainqueurs pour négocier une issue honorable au conflit:
    « Il ne dut pas aller plus loin dans l’analyse psychologique de ses actions, ni l’estimer jamais répréhensible. Sinon, comment eût-il pu se mettre dans la tête, en avril 1945, que lui – lui, à part des autres ! – pourrait encore arriver à un arrangement à l’amiable avec l’Amérique et le Royaume-Uni ? 

    Plus tard, lorsque seront divulgués et répandus les travaux de ceux que l’on appellera les
    « révisionnistes » (c’est le 29 décembre 1978 que le quotidien Le Monde publiera le retentissant article du Professeur Robert Faurisson sur Le problème des chambres à gaz ou « la rumeur d’Auschwitz »), – travaux jamais scientifiquement remis en cause mais rejetés purement et simplement par la seule grâce d’arsenaux judiciaires et législatifs fixant l’histoire officielle à l’instar d’une religion –, Léon Degrelle, estimant son idéal solaire souillé par une imposture, se fera désormais, plus que jamais et avec une totale détermination, le défenseur d’Adolf Hitler, tel qu’il fut et tel que lui-même put le connaître, ainsi que de la doctrine nationale-socialiste, telle qu’en elle-même, débarrassée de toutes les calomnies et anathèmes des systèmes matérialistes qui s’étaient ligués pour son anéantissement.

    Tout cela le mènera, notamment, au procès spectaculaire que lui intentera, en 1985, une ancienne déportée juive suite à une interview dans l’hebdomadaire espagnol Tiempo où il mettait en doute le génocide des juifs par les Nationaux-Socialistes : évitant de se prononcer sur le fond, le tribunal constitutionnel de Madrid finira par condamner Léon Degrelle en 1991 pour « atteinte au droit à l’honneur » de la plaignante.léon degrelle,adolf hitler,heinrich himmler,éditions de l'homme libre

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    our en savoir plus sur ce que Léon Degrelle pense de cette question d’histoire, on se reportera utilement à sa Lettre au Pape à propos d’Auschwitz (Les éditions de l’Europe Réelle, 1979), aux « Interviews recueillies pour la télévision française par Jean-Michel Charlier » publiées sous le titre Léon Degrelle: persiste et signe (Editions Jean Picollec, 1985), au roboratif Le fascinant Hitler ! (édition française à compte d’auteur, 1991; édition espagnole – El Dr. Leuchter y el fascinante Hitler–, édition Libreria Europa, Barcelone, 1991) et surtout à ses ultimes considérations contenues dans le livre-testament Tintin mon copain (Pélican d’Or, 2000).

    Dans ce dernier livre, il fait d’ailleurs le point sur ce qu’il est désormais permis de penser (p. 93) :
    « Lorsque l’immense tapage monté après la guerre sur ce problème aura fini par s’apaiser, on verra ce que concluront les historiens, redevenus sérieux. De grandes surprises seront alors, sans doute, réservées aux accusateurs hâtifs, aux attrape-nigauds et aux menteurs cyniques de nos temps passionnés. Entre-temps, tout débat à ce sujet étant judiciairement interdit, chacun ne peut que se taire. Je le fais moi-même aujourd’hui, le bec cousu et la plume sèche, sans d’ailleurs en penser moins derrière les jupons omnipotents des magistrats brandissant leurs nouveaux codes. »

    Mais même si De Rex à Hitler est resté dans les archives de Léon Degrelle car sa publication eût nécessité une refonte totale, sa lecture est d’une importance toute particulière car, ainsi que le souligne l’éditeur, c’est la première fois que « Léon Degrelle développe clairement […] ses conceptions politiques, notamment sur le National-Socialisme, la convergence de destin des peuples européens, le rôle particulier assigné par l’Histoire au peuple d’entre-deux que forment les héritiers de la Germania Inferior, des XVII Provinces et du Cercle de Bourgogne de Charles-Quint, ainsi que – ce qui lui fut reproché comme une vilenie – la réalité historique, culturelle et raciale du caractère germain des Wallons. »

     

    Léon Degrelle, De Rex à Hitler
    édition reliée toile, limitée à 1000 exemplaires numérotés, 544 pages. 35€, à commander via http://editons-hommelibre.fr.

    Éditions de l’Homme Libre, 26 rue des Rigoles, F-75020 Paris. Tél. : +33.1.46.36.07.10. Courriel : contact@editions-hommelibre.com

     

    Sont disponibles aux Editions de l’Homme Libre les ouvrages suivants de Léon Degrelle : Lettre à mon Cardinal (25€), Appel aux jeunes Européens (5€), Mon Chemin de Saint-Jacques (15€), Les âmes qui brûlent (15€), Feldpost (12€), Hitler pour 1000 ans (15€) ainsi que les volumes 4-5 et 6 du « Siècle de Hitler », Hitler démocrate I et II et Hitler unificateur (30€ chacun).

     

  • Léon Degrelle-Hergé, même combat!

    Toujours dans le cadre du vingtième anniversaire de la disparition de Léon Degrelle, Synthèse nationale a publié, dans son numéro 36, un article décisif sur les relations inaltérables qui ont existé depuis leur première rencontre entre Hergé, le créateur de Tintin, et celui qui en fut l’inspirateur, Léon Degrelle.


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    orsqu’en 2000 parut le livre posthume de Léon Degrelle Tintin mon copain, ouvrage autobiographique centré sur son amitié privilégiée avec Georges Remi, tous les médias hurlèrent à l’imposture et au mensonge, certains affirmant même que ces mémoires étaient purement et simplement apocryphes. L’authenticité de l’ouvrage, attestée par la relecture du grand collectionneur hergéen Stéphane Steeman auprès de Léon Degrelle lui-même, ne faisant aucun doute, restait à confirmer la réalité des faits essentiels avancés par « Degrelle-Tintin », à savoir que Hergé s’inspira de lui non seulement pour les principaux traits physiques (la houppette et les culottes de golf – auxquelles nous ajouterions également l’ovale parfait du visage), mais surtout pour les traits moraux et spirituels, hérités du scoutisme et sublimés par l’Ordre nouveau: fidélité en amitié allant jusqu’au don de soi, lutte contre tout ce qui avilit l’homme, engagement pour une société de justice et de responsabilité…

    À l’appui de sa démonstration, l’auteur, Armand Gérard, rétablit la chronologie de l’impression décisive laissée par Léon Degrelle sur Hergé dès leur première rencontre au quotidien catholique Le Vingtième Siècle, –notamment par son engagement pour les Cristeros mexicains, bien antérieur au départ de Tintin pour régler leur compte aux Soviets–, passe en revue pour les démonter les différents « mensonges » reprochés à Degrelle –y compris Milou inspiré par le chien du Hitler de la Première Guerre mondiale– et tord le cou aux légendes selon lesquelles Hergé aurait rompu avec Degrelle en 1932 déjà, aurait manifesté son antinazisme dès Le Sceptre d’Ottokar et, après-guerre, aurait regretté ses quelques dessins « antisémites »…

    Bien plus, il s’attache à éclairer la fidélité absolue du Maître de la Ligne claire à l’idéal solaire de sa jeunesse en offrant une aide matérielle et morale constante à tous les artistes et intellectuels d’Ordre nouveau persécutés par l’aveugle « épuration » de vainqueurs haineux, en gardant le contact avec Léon Degrelle en exil via son épouse Germaine Kieckens et son ami Paul Jamin –et n’hésitant pas à célébrer son héroïsme dans la presse belge– et surtout en continuant à lancer de discrets clins d’œil à ses frères d’idéal dans tous ses albums d’après-guerre : jurons céliniens du capitaine Haddock, nouvelles caricatures antisémites subliminales, présentation du professeur Tournesol en authentique savant national-socialiste,… 

    En conclusion, Armand Gérard explique comment, dans son dernier album, Tintin et les Picaros, Hergé restreint l’ambition de son héros, passant du combat pour la justice sociale du modèle Léon Degrelle vers le repli sur le cercle familier, unique cellule où peut encore se pérenniser la petite flamme de la vérité, de la justice et de la solidarité…

    Hergé ne se remit en effet jamais de l’effondrement du monde nouveau à la construction duquel il participa avec ses amis, purs patriotes, du Soir prétendument « volé » et des organisations d’Ordre nouveau : il les vit tous lourdement condamnés, souvent à mort et exécutés, tel son ami d’enfance Victor Meulenijzer, rédacteur en chef de l’hebdomadaire rexiste Voilà dont il fit la couverture en 1942.

    Dans son ultime interview, peu avant son décès, Hergé ne put s’empêcher de revenir sur l’horreur de la « libération »: « ça a été une expérience de l’intolérance absolue. C’était affreux, affreux ! »

    Synthèse nationale n° 36, à commander en ligne (synthesenationale.hautetfort.com) ou par versement au compte IBAN: FR20 0410 0001 5363 804C 0206 8 (15 €, frais de port compris).

     

  • Léon Degrelle. Documents et témoignages.

    L’hommage le plus substantiel à Léon Degrelle pour le vingtième anniversaire de sa disparition a, sans conteste, été rendu à l’initiative de l’Association des Amis de Léon Degrelle (Dijon). Son président Christophe Georgy conçut le projet d’un livre-hommage qui a ainsi inauguré une nouvelle collection de la revue Synthèse Nationale, « Les Cahiers d’Histoire du Nationalisme ».

    Nous y avons été impliqués, notamment par une interview remarquable de Fernand Kaisergruber intitulée L’Honneur et la Fidélité.

    C’est assez dire que Fernand ne renie en rien l’idéal qui enflamma se jeunesse, participant aux campagnes contre les banksters et aux luttes pour l’élection des candidats rexistes et s’engageant finalement dans « l’épopée inoubliable » de « l’exaltante croisade contre le bolchevisme menée aux côtés de nos camarades européens et qui nous conduisit jusqu’aux portes de Stalingrad. »

    C’est dire aussi que la prétendue épuration des inciviques, qui ne fut qu’un règlement de comptes impunément haineux, ne changea en rien sa conception du monde : « Malgré la répression terrible, rien ne pouvait remettre en cause les raisons profondes de nos engagements. C’était là notre force, c’était aussi une vraie victoire sur la médiocrité. »

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