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Dernier Carré "Léon Degrelle" - Page 24

  • Février 1944 : percée de Tcherkassy

     

     

     

    L’Europe à Tcherkassy

     

     

    LD Ms Europe Tcherkassy.jpgVoilà trente ans, nous luttions tous au coude à coude à Tcherkassy, camarades allemands, camarades des Pays-Bas, camarades flamands, camarades du Danemark, camarades de Norvège, camarades des pays baltes et nous aussi, camarades wallons.

    Germains de langue française, nous offrions notre sang ; des milliers des nôtres donnaient leur vie au service d’une œuvre grandiose. Nous étions, nous, dans ces combats farouches, la véritable Europe, l’Europe du sang le plus pur, l’Europe de deux mille ans de civilisation, arcboutés dans les neiges de Tcherkassy pour défendre un merveilleux passé et pour construire l’avenir !

    Notre sacrifice et nos morts n’ont pas, dans l’immédiat, remporté la victoire. Mais n’empêche, notre Europe était la bonne Europe, la vraie Europe, non celle des calculateurs sordides d’intérêts matériels à mettre en commun, non celle des combinaisons égoïstes de petits politiciens accrochés à des ambitions étroites ! Notre Europe était l’Europe de l’idéal commun, de la foi commune, de la force commune !

    On ne meurt pas pour quelque chose de médiocre. On offre sa jeunesse, sa vie, pour réaliser une grande œuvre. Notre Europe l’était, une Europe commandée par un vrai chef, une Europe ordonnées, ouverte à tout ce qui était grand, soutenue, du bout des steppes jusqu’à l’Atlantique, par une force énorme et saine, notre force à nous, Waffen SS, garçons de vingt-huit pays européens, soudés les uns aux autres, à un million, par la discipline et par l’idéal, décidés à réaliser tous ensemble, à travers tout, la même œuvre !

    LD février 1991.jpgCette Europe-là avait une âme, elle avait un sens, elle possédait la seule vraie unité : celle d’une croyance commune. Et elle s’appuyait, puissamment, sur du réel : nos bras, nos armes, nos idées, notre volonté de fer qui eussent assuré à jamais sa stabilité.

    Tôt ou tard, cette Europe-là, l’Europe des idéalistes forts, submergera l’Europe des politiciens-boutiquiers d’aujourd’hui ! Ce jour-là viendra, tôt ou tard, camarades ! Et on verra qu’à Tcherkassy, comme tout au long de cette grande épopée du Front de l’Est, nous avons gagné quand même !

    Heil !

     

    Léon Degrelle, 17 février 1974.

     

  • In memoriam Jordi Mota

     

    Nous avons appris le décès de notre ami Jordi Mota, emporté par la maladie quelques jours avant la fête de Noël 2016.

     

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  • Pol Vandromme : chantre du non-idéal petit-bourgeois et antidegrellien rabique !

    Voici quelque temps, un professeur de rhétorique retraité d’un de nos collèges des bons pères jésuites (dont, selon l’évêque de Namur, la famille Degrelle faisait partie « de père en fils » !) nous avait fait parvenir un commentaire sur le méchant livre que Pol Vandromme commit, en 1978, sur Léon Degrelle (Le Loup au cou de chien, voir ce blog en date du 14 avril 2016). Notre ami doit être un tant soit peu masochiste car il continue à lire les anciens pamphlets politiques de l’éditorialiste regretté (?) du quotidien catholique de Charleroi Le Rappel. Celui qui lui est tombé sous les yeux, Wallonie irréelle (éditions Didier Hatier, 1986), a l’avantage d’être abondamment illustré par Alidor (le Jam de Rex) (1) et, une nouvelle fois, d’évoquer Léon Degrelle avec le même souverain mépris que six ans plus tôt : il ne citera même pas son nom (2). C’est avec plaisir que nous lui laissons à nouveau la parole.

     

    ***

     

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  • In memoriam Barka Vanbesien

    C’est avec une infinie tristesse que nous avons appris le décès inopiné de notre chère Barka Vanbesien, épouse de notre ami Marc Vanbesien, détenteur des droits d’auteur de Léon Degrelle.


    Barka était pour nous l’incarnation de la gentillesse et de la disponibilité, de la générosité et de l’abnégation. Toujours, elle sut aider, soutenir et encourager son époux dans toutes ses entreprises, professionnelles ou politiques, notamment et surtout dans la défense et l’illustration de la geste héroïque des Volontaires du Front de l’Est et de leur Chef Léon Degrelle, au service de l’idéal européen d’Ordre nouveau. Elle était la bonté même.

    À l’occasion des funérailles de son épouse célébrées dans l’intimité du cercle des proches, Marc a souhaité lire un texte de Léon Degrelle qui semble écrit tout exprès pour elle. Léon Degrelle la connaissait d’ailleurs, lui ayant dédicacé quelques-uns de ses premiers livres, dont Les Âmes qui brûlent, reconnaissant en elle la meilleure des mères et la plus aimante des épouses.

    Le texte lu pendant les obsèques en est d’ailleurs issu : il s’agit du chapitre intitulé Bonté.

    Un mot parfois, un geste affectueux, un regard plein d'amitié sincère peuvent sauver un homme au bord des abîmes.

    Par l'affection et par l'exemple on peut tout.

    Crier, tempêter conduit rarement au fond des problèmes.

    Il faut être bon, deviner ce qui se passe parmi le brouillard de chaque cœur, tempérer le reproche nécessaire par une boutade amicale qui rend de l’espérance, toujours se mettre dans la peau de l'autre, dans l'âme de l'autre, penser à sa réaction personnelle si on recevait l'observation, l'encouragement, la réprimande, au lieu de l'adresser à autrui.

    La plupart des hommes sont de grands enfants, assez vicieux mais restés sensibles, tendus vers l'affection.

    Il n'y a pas trente-six routes pour les guider, il n'y en a qu'une : celle du cœur.

    Les autres routes paraissent parfois plus faciles à emprunter mais finalement elles ne conduisent nulle part.


    Nous ne passerons pas sous silence l’incident scandaleux provoqué la veille même de la cérémonie par le « Centre d’action laïque » local.

    Après avoir proposé ses services, la préposée « laïque » conseilla un service funèbre où, parmi quelques « fonds musicaux » passe-partout serait évoquée la personnalité de la défunte et fournis quelques témoignages de proches.

    Marc suggéra alors la lecture du texte Bonté. Et la préposée « laïque » de s’extasier devant la beauté et la noblesse de ces remarques introspectives, demandant à l’époux s’il en était l’auteur. Marc répondit honnêtement qu’elles étaient extraites de ce livre de Léon Degrelle. « C’est un nom qui me dit quelque chose. Vous permettez que je le feuillette ?... Ah ! Quels beaux textes ! Quelle élévation spirituelle ! »

    Avant de se quitter, les deux interlocuteurs rivalisèrent encore d’arguments pour stigmatiser l’obscurantisme et exalter la liberté de pensée et d’expression…

    Mais après s’être probablement enquise de l’identité de l’auteur-qui-lui-disait-quelque-chose, la préposée « laïque » changea son attitude du tout au tout. « Ce texte n’est pas compatible avec les idéaux de la laïcité : nous ne pouvons participer à cet enterrement ! »

    – Mais vous le trouviez si beau et maintenant il n’est plus comme il faut ? Pourtant, il n’a pas changé… Et vous me laissez tomber maintenant ? dans des circonstances aussi pénibles ?

    – Vous devez comprendre que nous ne pouvons pas nous compromettre avec de tels personnages.

    – Finalement, vous n’êtes pas différente des obscurantistes et des sectaires que vous dénonciez lors de votre visite chez moi !

    – Vous ne pouvez pas dire ça, Monsieur, ça n’a rien à voir !


    Non, ça n’a rien à voir : la soi-disant « Libre-pensée » se limite désormais au slogan « Pas de liberté pour les ennemis de la liberté ! » Et pour être sûr de son coup, on décide soi-même qui est ennemi de la liberté !!!

    Voilà la dictature « démocratique » où nous sommes obligés de vivre, cadenassée par des lois protégeant le mensonge, condamnant les « lanceurs d’alerte » qui dénoncent la corruption, organisant la décervellisation de ses propres enfants, asservissant les peuples à l’usure cosmopolite…

    Mais c’est heureusement ainsi qu’il fut épargné à notre chère Barka d’être accompagnée par d’hypocrites étrangers pour son dernier voyage. Seuls sa famille et ses amis s’en occupèrent, l’entourant affectueusement au cours d’une émouvante et sobre cérémonie et portant eux-mêmes le cercueil qu’ils mirent également en terre au cimetière.

    Nous ne nous souhaitons pas d’autres funérailles.

     

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  • "We will not go to Tuapse", le livre de Fernand Kaisergruber, vu par ses lecteurs anglo-américains

    L9781910777244.JPGL’édition en anglais du livre de Fernand Kaisergruber Nous n’irons pas à Touapse, dont l’original en français fut édité à compte d’auteur au début des années nonante, en est déjà à son second tirage. C’est dire qu’on se l’arrache dans les boutiques en ligne et les sites spécialisés de l’internet anglophone. En témoignent les innombrables commentaires laissés par les lecteurs sur leurs sites d’achat, ce qui constitue une habitude typiquement anglo-saxonne, à en juger par l’absence de toute réaction sur les sites francophones ! Nous vous en présentons un bref florilège, suivi d’une réaction du principal intéressé, car certaines critiques sont parfois surprenantes et témoignent bien de la vacuité de notre société du spectacle où comptent surtout vaines pétarades et allures matamoresques…

    Petit détail cocasse : la maison qui a édité We will not go to Tuapse, Helion & Company, est celle qui édita aussi le controversé For Rex and Belgium d’Eddy De Bruyne, apparemment désormais indisponible chez l’éditeur, ce dont nous ne nous plaindrons pas !

     

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  • Les Vœux pour 2017 de Léon Degrelle.

     

    Que souhaiter à nos contemporains pour l’annus horribilis qui s’annonce inexorablement ?
    Simplement reprendre à notre compte ce texte de Léon Degrelle, écrit dans les années trente déjà, qui n’a rien perdu de sa pertinence : de quoi lire, méditer et... agir !

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    L’Europe devient folle. Folle de scandales. Folle d’égoïsmes. Folle de révolte contre le Ciel. Folle de sang.

    On aura tout vu : la ruée sauvage de millions d’hommes rendus à la barbarie… Cet égorgement bestial n’est qu’un point de départ.

    L’après-guerre n’a été qu’un délire.

    Délire de l’orgueil, des sens, des drogues, des sports. Retour à un paganisme insensé, à la tyrannie de l’or, des trusts, à la débauche, à la richesse déchaînée, à l’esclavage économique, bancaire et industriel.

    Les catastrophes ont eu beau s’abattre sur les hommes pour leur rappeler l’insanité de leur orgueil, la vanité de leurs forces exaspérées…

    Il sera dit que notre siècle est resté sourd devant les menaces et devant les lumineux appels. Il se sera suicidé lourdement, après avoir titubé comme un homme ivre.

    La folie des hommes atteint l’épanouissement qui va les foudroyer comme un soleil trop fort. Nous sommes à la merci des anéantissements ultimes. Les bêtes, bientôt, vont s’égorger dans leurs derniers duels sociaux, économiques et internationaux.

    Pourrie dans ses mœurs, avilie dans sa foi, exaspérée d’individualisme, de fanatisme et d’orgueil, ayant perdu la charité, l’amour de Dieu et des hommes, exsangue, l’Europe moderne attend le dernier choc, les derniers soubresauts, les derniers cadavres.

    L’heure vient où tout se paiera.

    L’heure vient aussi où, pour sauver le monde, il faudra la poignée de Héros et de Saints qui feront la Reconquête !

     

    Léon Degrelle
    Révolution des âmes

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  • Un conte de Noël de Léon Degrelle

    Voici exactement 85 ans, Léon Degrelle publiait dans son hebdomadaire Soirées du 25 décembre 1931, un conte de Noël intitulé Noël en Wallonie.

    Le Chef de Rex s’était alors plu à le parsemer d’allusions probablement compréhensibles par les seuls familiers de son pays natal, Bouillon.

    Ce nous est un particulier plaisir de redonner vie à ce texte charmant qui enracine judicieusement le récit fondateur de la religion catholique dans l'humus ardennais, non seulement par une nouvelle publication anniversaire, mais aussi en nous efforçant de ressusciter les multiples protagonistes bouillonnais appelés à y figurer activement et en l’illustrant par des images d’époque de ces lieux mythiques drainés par la capricieuse et toujours mystérieuse Semois…

    C’est en effet dans son plus célèbre méandre enserrant le Tombeau du Géant que repose désormais une partie des cendres du plus grand fils de Bouillon, avec Godefroid, les cendres du Croisé du nouveau Duché de Bourgogne de l’Empire national-socialiste.

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  • « Un retour de Léon Degrelle aurait empoisonné le climat politique belge » - Arnaud de la Croix, dans "L’Echo", 24 septembre 2016

     

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    Avouons que L’Echo, gazette belge de la Finance, ne figure pas dans nos lectures quotidiennes. Cet article, au titre prometteur, nous avait donc échappé, mais nous l’avons retrouvé sur le site du quotidien. Loin d’expliquer les vraies raisons de l’exil forcé de celui dont la Belgique faisait semblant de réclamer l’extradition, cet échange de propos convenus se travestissant en pseudo-interview établit un parallèle « entre notre époque et les années trente », c’est-à-dire la « crise économique et financière » actuelle et le combat degrellien contre les banksters (toujours actifs mais passés sous silence) pour dénoncer « la montée des populismes », toujours néfaste à la finance apatride. Tout ça, en gros, pour assurer la publicité d’un bouquin –ramassis de calomnies parfois culotées, le plus souvent éculées–, sur Degrelle, 1906-1994, publié aux éditions Racine.

    Nous en ferons une recension circonstanciée, mais attardons-nous un peu sur le florilège de contrevérités bombardées par le pisse-copie de service, un certain Jean-Paul Bombaerts, cancanant avec l’auteur du bouquin, un certain Arnaud de la Croix (mais pas gammée pour un sou, rassurez-vous !).


    Ce dernier se présente comme un « historien belge » (ce qu’il est sans doute au même titre que les Frères Taloche qui, eux au moins, savent nous faire rire de leurs calembredaines !) prétendant combler « cette lacune » de l’absence de « biographie complète » de Léon Degrelle !

    On se demande bien en quoi « cette lacune » pouvait gêner nos ragoteurs puisque le journaleux assène de prime abord que Léon Degrelle n’est qu’un « personnage […] vantard, à la limite du grotesque ». Ce que confirme tout de go le sieur De la Croix (qui, in petto, le jure solennellement Croix de bois, Croix de fer, si je mens, je vais en enfer !) : « Il est vrai que Degrelle était un menteur éhonté et un mythomane invétéré » !

    Alors, pourquoi lui consacrer un livre ? Sans doute pour documenter les « mensonges » et la « mythomanie » de sa cible... Il prétend en tout cas en fournir quelques exemples pour allécher peut-être les capitalistes lecteurs du quotidien de la Bourse belge, dont les préoccupations sont assurément aux antipodes de son sujet.

    - « il crée la Légion Wallonie pour […] obtenir le poste de Gauleiter pour la Belgique francophone » !

    - « Hitler lui aurait déclaré : Si j’avais eu un fils, j’aurais voulu qu’il soit comme vous. C[’]est bien sûr une pure invention » !!

    - « il va pouvoir amadouer les nationalistes flamands en abandonnant Bruxelles à la Flandre » !!!

    - « Son comportement sur le front de l’Est […] La réalité, c’est qu’il avançait souvent des excuses pour ne pas être au front » !!!!!!!

    - « Je ne pense pas que Degrelle, contrairement à ce qu'il affirmait, avait des révélations à faire. […] Il aurait notamment pu faire des déclarations embarrassantes sur l'attitude du gouvernement belge en France. […] C'est surtout Paul-Henri Spaak qui ne voulait pas voir Degrelle rentrer en Belgique. » !

    Spaak craignait donc des non-révélations "embarrassantes"!.. Il y a vraiment des taloches qui se perdent…

    Il est encore question d’antisémitisme et bien sûr de Hergé, mais nous reviendrons plus en détail sur ce ramassis de mensonges où le grotesque le dispute à l’imbécillité. Beaucoup d’éléments de réponse se trouvent d’ailleurs déjà dans notre recension de l’opuscule Degrelle, qui suis-je ? de Francis Bergeron (voir ce blog à partir du 30 avril 2016).


    Pour le reste, rappelons que, jusqu’à aujourd’hui, il existe bien deux importants et indispensables ouvrages pouvant prétendre au statut de « biographie complète » de Léon Degrelle, retraçant « l’ensemble de son parcours, de son enfance sur les bords de la Semois à sa retraite espagnole » :

     

    - Louise Narvaez, Duchesse de Valence, Degrelle m’a dit…, Les Grands Documents de l’Histoire, 1961.

    - Jean-Michel Charlier, Léon Degrelle persiste et signe. Interviews recueillies pour la télévision française, Editions Jean Picollec, 1985.


    Deux autobiographies sont également indispensables à toute personne soucieuse de documents de première main :

    - Mon combat, récit de sa vie rédigé après-guerre par Léon Degrelle à l’intention de ses jeunes enfants dont il vivait séparé. Edition à compte propre, sans nom d’éditeur, ni lieu, ni date, par un cercle d’amis de Léon Degrelle, peu après 1994.


    - Tintin mon copain, Editions Pélican d’Or, Klow, Syldavie, 2000.

     

    Dans notre monde démocratique garantissant la liberté de pensée et d’expression, tous ces ouvrages sont désormais rares et difficilement disponibles, sauf chez quelques bouquinistes spécialisés qu’il faut savoir dénicher…

     

  • Le destin tragique d’Etienne Jourdain

    rrrrrrrrrrrrrrrrrr.jpgPuisqu’à propos du décès de l’Abbé Joseph Jourdain, nous avons évoqué son cousin, qui n’était que d’un an son aîné, il nous semble opportun de rendre également hommage à Etienne Jourdain, en rappelant son tragique destin qui marqua la mémoire de tous ceux qui le connurent.

    Saint-Loup –Les SS de la Toison d’Or, Presses de la Cité, p. 167– est le premier à en faire le récit émouvant en 1985, appelant Etienne « Paul » puisqu’il reprend le témoignage alors inédit du Légionnaire du 8 août 1941 (1er contingent), Henri Philippet qui lui donne ce nom.

    Jean Mabire écrira de même une des plus belles pages de Légion Wallonie. Au Front de l’Est. 1941-1944 (Presses de la Cité, 1987, p. 99). Il écrit correctement « Etienne », avant d’appeler le jeune héros « Jacques » dans l’album de 650 photos Légion Wallonie. 1941-1945, publié en 1988 (Art et Histoire d’Europe, p. 184).

    À dix-huit ans, Etienne Jourdain fit partie du second contingent de quelque 600 volontaires, partis avec John Hagemans, Prévôt de la Jeunesse rexiste, le 10 mars 1942. C’est dire qu’il s’agissait essentiellement de jeunes recrues, tout embrasées par leur foi et leur idéal.

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