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grande bourgogne

  • Degrelle. Qui suis-je ? Par Francis Bergeron, éditions Pardès, 2016, 125 pages

     

    XI. La Grande Bourgogne

    « Rex a dû abandonner le rêve (plutôt fou !) d’une restauration de l’Empire bourguignon, au profit de l’idée de l’intégration du peuple wallon, peuple défini désormais comme germain, dans le grand Reich. » (Bergeron, p. 77)

    Figaro Kersten.jpgCe n’est pas du tout le sens de la proclamation de la germanité des Wallons ni du passage dans la Waffen SS, qui exprimèrent au contraire le refus de l’absorption pure et simple des Wallons dans le grand Reich, comme le souhaitait l’administration allemande conservatrice.

    Ces prises de position de Léon Degrelle permirent en effet de donner vraiment corps à ce fameux « rêve bourguignon ». Francis Bergeron en convient d’ailleurs bizarrement plus loin : « 1947 […] (21 mai) L’ancien ambassadeur de France en Allemagne, André François-Poncet, confirme, dans les pages du Figaro, l’authenticité du projet hitlérien de grande Bourgogne sous l’autorité de Degrelle, et publie des extraits du document fondateur. » (p. 107)


    deLaunay Couverture.jpgTous les détails et les références utiles concernant la « restauration de l’Empire bourguignon » se trouvent dans Jacques de Launay, Histoires secrètes de la Belgique, 1975, pp. 243-252 : « Grande Bourgogne et Volkstumpolitik ».

     

    deLaunay Bourgogne.jpg

     

    (A Suivre)

  • "Les Journaux de guerre": ça n’en finira jamais... Léon Degrelle, toujours dans le collimateur du CEGESOMA !

    LD Journaux de guerre CEGES.jpgLe CEGESOMA, – l’ancien Centre de documentation de la Seconde Guerre Mondiale – a repris l’idée de la reproduction de journaux de cette époque et décidé de donner sa « collaboration » [sic] à la « publication indépendante » Les Journaux de Guerre 1940-1945... La neuvième livraison est consacrée à Léon Degrelle et reproduit le numéro du 1er janvier 1941 du Pays Réel, avec les vœux du Chef de Rex ainsi que le discours de nouvel an d’Adolf Hitler : une lecture roborative et toujours brûlante d’actualité, aujourd’hui que nos sociétés en totale déliquescence sont mises en coupe réglée par les désormais sacro-saints banksters politico-financiers.

    Mais pour accompagner et encadrer le public ignare dans une lecture qui pourrait lui donner des idées dangereusement incorrectes, l’éditeur a pris soin de joindre une grande double page précisant ce qu’il faut penser de Léon Degrelle, de ses idées, de son mouvement. A la manœuvre: des briscards chevronnés de l’antifascisme – ayant parfois bénéficié sans vergogne de l’hospitalité de Léon Degrelle – tels Martin Conway (professeur-réviseur d’histoire à Oxford) en juillet 1988, ou l’inamovible bibliothécaire de la vérité officielle Alain Colignon, et des seconds couteaux tels le journaleux Olivier Rogeau et la jeune universitaire tout juste formatée Sophie Soukias qui a ici l’occasion de régurgiter sa parfaite soumission au politiquement correct…

     

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