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rochus misch

  • L’Encyclopédie de De Bruyne : mensonges et perfidie (14)

    La vraie carrière militaire de Léon Degrelle

    (première partie)

     

     

    1. Validité des grades militaires de Léon Degrelle conférés par Heinrich Himmler

     

    « Carrière militaire

    [...] Lors de la mise sur pied de la Légion Wallonie, la commission au grade d’officier lui ayant été refusée, il est engagé comme Schütze (août 1941) ;

    - Gefreiter (10.02.1942) ;

    - Feldwebel (22.03.1942) ;

    - Leutnant (01.05.1942);

    - SS-Ostuf. (01.06.1943) ;

    - SS-Hstuf. (01.01.1944) ;

    - SS-Stubaf. (20.041944) ;

    - SS-Stubaf. u. Kdr 28.SS-Freiw.Gr.Div.Wallonien (17.09.1944) ;

    - SS-Ostubaf. U. Kdr 28. SS-Freiw.Gr.Div.Wallonien (01.01.1945). [...]

    Nommé Volksführer der Wallonen (23.11.1944) avec pleins pouvoirs civils, militaires et administratifs sur tous les Wallons résidant sur le territoire allemand (à l'exception des compatriotes incarcérés pour motifs graves). »

     

    De Bruyne a plaisir, nous l’avons vu (voir ce blog au 31 juillet 2017), à prétendre mensongèrement que « la commission au grade d’officier lui ayant été refusée », c’est comme simple soldat de 2e classe que Léon Degrelle dut partir, le 8 août 1941, pour le camp de formation militaire de Regenwurmlager (Meseritz, ouest de la Pologne actuelle). Nous le répétons : il s'agit là d'une inqualifiable calomnie, sans référence valable, de la part du prétendu « Encyclopédiste » !

     

    Il ne s'en tient malheureusement pas là car, sous le titre « Carrière militaire », le moins précis et le moins complet des encyclopédistes est bien loin de retracer, même sommairement, le parcours militaire de Léon Degrelle !

     

    Pour De Bruyne, la « Carrière militaire » de Léon Degrelle se limite aux grades reçus, grades que, de plus, il arrête d'autorité à celui de SS-Obersturmbannführer und Kommandeur der SS-Freiwilliger Grenadier Division Wallonien, obtenus le 1er janvier 1945 (et que, de plus, il ne fournit prétentieusement que sous la forme, incompréhensible pour le profane, des abréviations d'usage dans la Waffen-SS !).

     

    Soldbuch Promotions.jpgLe Soldbuch présente effectivement la collation du grade d'Obersturmbannführer au 1er janvier 1945. Cependant, non seulement De Bruyne prétend que Léon Degrelle n'avait pas droit au grade de général (Oberführer) qu'il aurait obtenu à la toute fin de la guerre, lors de son ultime rencontre avec le Reichsführer-SS Heinrich Himmler, le 2 mai 1945, mais surtout il ignore la promotion au grade de Standartenführer (colonel) obtenue le 20 avril 1945 et qui figure en bonne et due forme au Soldbuch...

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  • Degrelle. Qui suis-je ? Par Francis Bergeron, éditions Pardès, 2016, 125 pages

     

    XVI. Léon Degrelle, négateur de l’Histoire ?

    « Degrelle aurait pu (ce serait bien le moins) faire le constat de la ruine de l’Europe et de l’Allemagne […] et reconnaître la part de responsabilité du Führer. […] Si Degrelle est resté […] interdit de tout, […] c’est à cause de ce négationnisme historique. À cause de son refus absolu […] de reconnaître l’échec, pourtant évident, de l’aventure hitlérienne. […] C’est ce que lui reprochait, par exemple, son compatriote Robert Poulet […]. Il lui reprochait de nier certaines vérités et il considérait cette approche comme étant pour le moins maladroite. […] L’historien […] peut donc trouver scandaleux chez Degrelle ce refus de reconnaître la réalité de ce que fut […] le régime hitlérien au-delà du débat (interdit) sur les chambres à gaz. […] Mais, pour conforter sa démonstration, Degrelle a parfois “sollicité” […] la pensée du Führer ou de ses proches. C’est, en gros, me semble-t-il, ce qu’ont déploré un Robert Poulet ou un Pol Vandromme, qui ne peuvent pourtant guère passer pour des adeptes du politiquement correct et de la pensée unique. » (Bergeron, pp. 99-102).

    Le seul véritable reproche que nous nous permettrons de faire à Francis Bergeron est de porter un jugement sur la défense et l’illustration d’Adolf Hitler et du national-socialisme qu’assura Léon Degrelle avec une loyauté et une assurance fortes de ses certitudes venant de son expérience personnelle mais aussi de vérifications historiques et de recoupements rigoureux. Et de porter ce jugement au nom de la doxa contemporaine, nécessairement « politiquement correcte » et qui impose – comme il le sait et le dit – de considérer Hitler comme « le mal absolu, l’horizon indépassable de l’horreur, le tabou suprême dont les signes mêmes (la croix gammée, le salut “à la romaine”) sont interdits de représentation » (p. 99).

     

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