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ritterkreuz

  • L’Encyclopédie de De Bruyne : mensonges et perfidie (15)

     

    La vraie carrière militaire de Léon Degrelle

     

     

    2. Réalité du commandement militaire exercé par Léon Degrelle

     

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    Nous avons pu voir (cf. ce blog au 28 novembre 2017) que De Bruyne réduit la « carrière militaire » de Léon Degrelle à ses seuls grades militaires, –et encore !–, arrêtés à celui d'Obersturmbannführer (lieutenant-colonel), alors que Léon Degrelle fut effectivement promu Standartenführer (colonel) et même, selon De Bruyne, Oberführer (général). Mais là, comme nous l'avons vu, le prétendu récipiendaire, Léon Degrelle lui-même, ne s'en est jamais prévalu.

     

    Quoi de mieux pour un persécuteur de la trempe calomniatrice de notre De Bruyne que d'inventer les prébendes dont se targuerait sa victime pour mieux pouvoir prétendre ensuite qu'elle n'est qu'un vaniteux menteur !!!

     

    Mais pourquoi ces « amputations » au curriculum du Commandeur de la Division Wallonie ? Probablement parce que cela va dans le sens des obsessions du prétendu encyclopédiste (ces promotions relèveraient davantage de la politique que de la réelle valeur militaire du récipiendaire) et lui permet surtout de passer sous silence la véritable carrière militaire de Léon Degrelle.

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  • Maurice Bardèche donne la parole à Léon Degrelle

    capture-d_c3a9cran-2015-10-17-c3a0-19-00-23.pngFondée en 1951 par Maurice Bardèche, Défense de l’Occident fut la principale revue nationaliste dans la France d’après-guerre, défendant l’idéal social ainsi que les préoccupations nationales d’un fascisme aux dimensions de l’Europe. Egalement critique par rapport aux procès en sorcellerie qui ne feront que se multiplier contre le national-socialisme (Bardèche compta, dès 1948, parmi les premiers auteurs révisionnistes avec l’implacable Nuremberg ou la Terre promise).

    C’est ainsi qu’en novembre 1976, le numéro 142 de Défense de l’Occident annonce en couverture Un entretien explosif avec Léon Degrelle, réalisé par le journaliste belge Jacques Vanden Bemden, chroniqueur régulier du mensuel bruxellois Nouvel Europe Magazine.

     

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  • Degrelle. Qui suis-je ? Par Francis Bergeron, éditions Pardès, 2016, 125 pages

     

    X. « Si j’avais un fils… » Que savons-nous des relations entre Adolf Hitler et Léon Degrelle ?

    « C’est lors de ce rendez-vous du 25 août 1944 (ou de cette semaine-là…) que le Führer lui aurait déclaré : “Si j’avais un fils, je voudrais qu’il fût comme vous.” On ne trouve pas trace de ces propos dans les archives du Reich. L’interprète de Hitler, Paul Otto Schmidt, ne la rapporte pas non plus. Mais on sait néanmoins que Hitler a dit de lui à Himmler qu’il était “le seul vrai Belge utilisable”. Formule d’ailleurs plus ambiguë que flatteuse. » (Bergeron, p. 76)

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    i le doute honore l’historien, est-il vraiment nécessaire de stigmatiser l’absence de preuve matérielle documentant la phrase historique d’Adolf Hitler, le 25 août 1944 (qu’à la page 106 – sans conditionnel, cette fois –, Francis Bergeron situe le 20 février ; la remise des "Feuilles de Chêne"se fit en réalité le 27 août), au risque de faire passer Léon Degrelle, sinon pour un menteur, du moins pour un « vantard » (ce que Francis Bergeron n’exclut d’ailleurs pas, aux pages 12, 30, 73, 76, 79, 102, 103) ? Pourquoi alors ne pas mettre en doute aussi l’accueil du Führer serrant la main de Léon Degrelle dans les deux siennes (fait rare méritant d’être souligné) le 20 février précédent, avec un
    « Vous m’avez donné tant d’inquiétude ! » dans la droite ligne et préfigurant le « Si j’avais un fils, je voudrais qu’il fût comme vous » ? C’est d’ailleurs au plus fort des combats de Tcherkassy qu’Adolf Hitler fit câbler, le 9 février 1944, au Generalleutnant Theobald Lieb commandant le 42e Corps d’Armée, un télégramme s’inquiétant du sort de Léon Degrelle…

     

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