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Dernier Carré "Léon Degrelle" - Page 23

  • L’Encyclopédie de De Bruyne : mensonges et perfidie (6)

     

    Le vrai visage de la hiérarchie catholique

     


    27 Courtrai.jpg« 
    Le Coup de Courtrai (02.11.1935) […], coup d’éclat qui lui vaut une sanction sévère du Cardinal E. VAN ROEY (20.11.1935) déclenchant la rupture avec le Parti Catholique (21.02.1936). »

    Si le « Coup de Courtrai » constituait bien « l’apothéose » des campagnes degrelliennes « de dénonciation des dysfonctionnements du parti catholique », il s’inscrivait, comme nous venons de le voir (sur ce blog: commentaire n° 6 de l'Encyclopédie, 8 avril 2017), dans le cadre d’une pure « action politique » selon l’encyclique papale et non d’action catholique : Léon Degrelle, pour complaire à Mgr Picard et aux désirs de l’ACJB, avait d’ailleurs défini le mouvement Rex comme un « mouvement catholique d’action » (Rex, 12 juillet 1934) pour bien le distinguer de l’ACJB, « mouvement d’action catholique ».

     

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  • L’Encyclopédie de De Bruyne : mensonges et perfidie (5)

     

    léon degrelle,mgr picard

    Léon Degrelle et Mgr Picard : une amitié indéfectible

     
    « En décembre 1933, [Mgr PICARD] le met devant le choix entre ses intérêts politiques et l’A.C.J.B., les deux étant incompatibles. »

    À nouveau, la réalité est biaisée : tout est exprimé comme s’il y avait une rupture définitive entre Mgr Picard et Léon Degrelle, ce qui ne fut jamais le cas, les deux hommes se conservant mutuellement la plus grande estime et la plus profonde sympathie.

    C’est en effet le secrétariat général d’Action catholique (dirigé par Giovanni Hoyois) qui, le 22 décembre, envoie cette « lettre de rupture » et non Mgr Picard.

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  • L’Encyclopédie de De Bruyne : mensonges et perfidie (4)

     

    Pour Christus Rex, les éditions Rex

     

    L’engagement au service de Christus Rex

     

    15 XXs 27 10 1928 Mexique1.jpg« Séjour (déc. 1929-févr. 1930) au Mexique où il prend fait et cause des [sic] Cristeros, rébellion paysanne qui souhaite défendre l’Eglise catholique face à l’Etat mexicain, alors fortement anticlérical. »

    Ce n’est pas un simple « séjour » qu’a effectué Léon Degrelle au Mexique (c’est-à-dire y passer un certain temps), mais un « reportage » sur le terrain, rencontrant les protagonistes du conflit, visitant les lieux du pouvoir et des combats.

     

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  • L’Encyclopédie de De Bruyne : mensonges et perfidie (3)

     

    L’étudiant Léon Degrelle : de bonnes études universitaires

     

    « Humanités au Collège Notre-Dame de Namur où il découvre la pensée de Ch. MAURRAS et l’Action Française. »

    10 Cahiers JC 25 03 05 Maurras couv.jpgLéon Degrelle a bien effectué ses « humanités classiques » à Namur, au Collège Notre-Dame de la Paix (dénomination complète car il existe aussi un Institut des Sœurs de Notre-Dame qui n’a rien à voir avec l’établissement des jésuites namurois) où, grâce à ses professeurs, il se familiarisa avec la pensée de Charles Maurras. Mais c’est après ses « gréco-latines », aux Facultés universitaires Notre-Dame de la Paix où il est entré en première année du « Grade de candidat en Philosophie et Lettres, Examen préparatoire au Droit », que le maurrassisme de Léon Degrelle provoqua, bien malgré lui, la mise à l’index vaticane du chef de l’Action française et de son mouvement: événement sensationnel qui ne mérite manifestement pas un mot de la part de De Bruyne !

     

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  • L’Encyclopédie de De Bruyne : mensonges et perfidie (2)

     Léon Degrelle, un adolescent doué pour l'écriture que n’intimident pas les personnalités

     

     

    6 LD boy-scout 12 ans.jpg« Études primaires et secondaires inférieures à Bouillon. »

     


    P
    our l’enfance et la prime adolescence de la plupart d’entre nous, il n’y a en effet rien d’autre à signaler que la présence sur les bancs de l’école. Mais est-ce bien le cas de Léon Degrelle ? Non, bien évidemment ! Car le jeune scout de douze ans eut, par exemple, l’occasion, un mois à peine après la signature de l’Armistice du 11 novembre 1918, de rencontrer de manière privilégiée le héros de Verdun, le maréchal Philippe Pétain (voir ce blog au 30 avril 2016).

     

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  • Eddy De Bruyne a encore frappé: une Encyclopédie à prendre avec de longues pincettes !

    1 Encyclo Couverture.jpgAvec son Encyclopédie de l’Occupation, de la Collaboration et de l’Ordre Nouveau en Belgique francophone (1940-1945), c’est un pavé d’un bon deux kilos que l’« historien » aux menteries politiquement correctes vient jeter dans le jardin déjà fort encombré des degrelliens. Ce lourd pavé est d’ailleurs fort peu maniable de par son format grand A4 et sa couverture rigide : il ne peut se lire qu’à plat sur le bureau ou posé sur un lutrin ! On se demande d’ailleurs pourquoi De Bruyne a adopté de telles dimensions encombrantes puisque l’ouvrage ne comporte pas la moindre illustration ni photo, pourtant indispensables à l’achèvement de pareille ambition encyclopédique…

     

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  • Février 1944 : percée de Tcherkassy

     

     

     

    L’Europe à Tcherkassy

     

     

    LD Ms Europe Tcherkassy.jpgVoilà trente ans, nous luttions tous au coude à coude à Tcherkassy, camarades allemands, camarades des Pays-Bas, camarades flamands, camarades du Danemark, camarades de Norvège, camarades des pays baltes et nous aussi, camarades wallons.

    Germains de langue française, nous offrions notre sang ; des milliers des nôtres donnaient leur vie au service d’une œuvre grandiose. Nous étions, nous, dans ces combats farouches, la véritable Europe, l’Europe du sang le plus pur, l’Europe de deux mille ans de civilisation, arcboutés dans les neiges de Tcherkassy pour défendre un merveilleux passé et pour construire l’avenir !

    Notre sacrifice et nos morts n’ont pas, dans l’immédiat, remporté la victoire. Mais n’empêche, notre Europe était la bonne Europe, la vraie Europe, non celle des calculateurs sordides d’intérêts matériels à mettre en commun, non celle des combinaisons égoïstes de petits politiciens accrochés à des ambitions étroites ! Notre Europe était l’Europe de l’idéal commun, de la foi commune, de la force commune !

    On ne meurt pas pour quelque chose de médiocre. On offre sa jeunesse, sa vie, pour réaliser une grande œuvre. Notre Europe l’était, une Europe commandée par un vrai chef, une Europe ordonnées, ouverte à tout ce qui était grand, soutenue, du bout des steppes jusqu’à l’Atlantique, par une force énorme et saine, notre force à nous, Waffen SS, garçons de vingt-huit pays européens, soudés les uns aux autres, à un million, par la discipline et par l’idéal, décidés à réaliser tous ensemble, à travers tout, la même œuvre !

    LD février 1991.jpgCette Europe-là avait une âme, elle avait un sens, elle possédait la seule vraie unité : celle d’une croyance commune. Et elle s’appuyait, puissamment, sur du réel : nos bras, nos armes, nos idées, notre volonté de fer qui eussent assuré à jamais sa stabilité.

    Tôt ou tard, cette Europe-là, l’Europe des idéalistes forts, submergera l’Europe des politiciens-boutiquiers d’aujourd’hui ! Ce jour-là viendra, tôt ou tard, camarades ! Et on verra qu’à Tcherkassy, comme tout au long de cette grande épopée du Front de l’Est, nous avons gagné quand même !

    Heil !

     

    Léon Degrelle, 17 février 1974.

     

  • In memoriam Jordi Mota

     

    Nous avons appris le décès de notre ami Jordi Mota, emporté par la maladie quelques jours avant la fête de Noël 2016.

     

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  • Pol Vandromme : chantre du non-idéal petit-bourgeois et antidegrellien rabique !

    Voici quelque temps, un professeur de rhétorique retraité d’un de nos collèges des bons pères jésuites (dont, selon l’évêque de Namur, la famille Degrelle faisait partie « de père en fils » !) nous avait fait parvenir un commentaire sur le méchant livre que Pol Vandromme commit, en 1978, sur Léon Degrelle (Le Loup au cou de chien, voir ce blog en date du 14 avril 2016). Notre ami doit être un tant soit peu masochiste car il continue à lire les anciens pamphlets politiques de l’éditorialiste regretté (?) du quotidien catholique de Charleroi Le Rappel. Celui qui lui est tombé sous les yeux, Wallonie irréelle (éditions Didier Hatier, 1986), a l’avantage d’être abondamment illustré par Alidor (le Jam de Rex) (1) et, une nouvelle fois, d’évoquer Léon Degrelle avec le même souverain mépris que six ans plus tôt : il ne citera même pas son nom (2). C’est avec plaisir que nous lui laissons à nouveau la parole.

     

    ***

     

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