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la carlina

  • Un festival de malveillance, de ragots et de mensonges…

    « Les Enfants de la Collaboration »

    L’Histoire vue par la télévision belge et le CEGESOMA

     

    Capture.JPGC’était une soirée attendue, le 25 novembre dernier, où la télévision belge francophone –reprenant l’idée d’un programme de la télévision flamande (comptant, quant à lui, sept épisodes: près de six heures d'antenne !)– avait prévu de diffuser un documentaire d’une heure et demie sur « Les Enfants de la Collaboration ». De quoi alimenter, sans doute et sans avoir l'air d'y toucher, le fantasme que la « Collaboration » ne serait qu'un épiphénomène sans grande importance dans la partie francophone du pays et ne concernerait surtout que la Flandre...

    La déception fut bien entendu à la hauteur des espérances. Mais pouvait-on attendre autre chose d’une chaîne de service politiquement correct au public et de la caste d’historiens triés sur le volet de la doxa officielle ?...

     

    L’émission prétendait, à travers les témoignages et souvenirs d’enfants de «collaborateurs» de l’Allemagne nationale-socialiste, dire « avec précision ce qui a motivé leurs parents et les conséquences de leurs actes ».

     

    Inutile de dire qu’on fut loin du compte et que les « historiens » univoques du CEGESOMA se chargèrent bien d’orienter et de biaiser soigneusement les propos des six seuls et uniques témoins ramenés devant la caméra. Pour un témoignage de première main, brut de décoffrage et exempt de toute intervention « épuratrice », on se reportera au récit de la famille Lambert, sur ce blog au 18 février 2020.

     

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  • Le « Leo Belgicus » degrellien.

    Des cartes anciennes semblables à celles de Léon Degrelle

    aux enchères à Bruxelles

     

     

    Ce 13 octobre 2018, la prestigieuse maison de vente publique de livres et estampes Arenberg Auctions de Bruxelles a mis aux enchères un magnifique lot de cartes géographiques anciennes de Petrus Kaerius, Abraham Ortelius, Willem Blaeu, Nicolas Visscher, etc.

     

    1 Leo Belgicus Catalogue.jpegOn sait que Léon Degrelle était un collectionneur passionné de ces cartes évocatrices du passé glorieux de sa patrie aujourd’hui étriquée aux proportions d’une Belgique semi-éclatée, mais alors, au temps de Philippe le Bon, de Charles le Téméraire et de Charles-Quint, rayonnant sous le nom de Pays-Bas Bourguignons, de Cercle de Bourgogne, de Germania inferior ou de XVII Provinces…

     

    Il nous en livre une édifiante description dans Degrelle m’a dit, de Louise Narvaez, Duchesse de Valence :

    « Ce repliement [dû à l’inaction politique des premiers temps de l’Occupation] avait, par contre, apporté à Degrelle de grandes joies personnelles. Il naviguait, tranquille, dans la longue maison blanche, harmonieusement décorée de vieux tableaux, de vieilles gravures, de tapisseries des Flandres et surtout de cartes anciennes qui chantaient la gloire des “Grands Pays-Bas” de jadis. Sa collection d’atlas merveilleux du XVIe et du XVIIe siècle, coloriés à l’époque, était unique en Belgique. Il l’avait, depuis l’Université, rassemblée avec autant de soin que d’amour. Il possédait l’œuvre entière d’Ortelius, de Mercator, de Kaerius, de Blaue, de vingt autres géographes fameux des anciennes “Dix-Sept Provinces”. L’ensemble représentait dix mille cartes anciennes environ [...]. » (p. 356)

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