Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Dernier Carré "Léon Degrelle" - Page 21

  • L’Encyclopédie de De Bruyne : mensonges et perfidie (3)

     

    L’étudiant Léon Degrelle : de bonnes études universitaires

     

    « Humanités au Collège Notre-Dame de Namur où il découvre la pensée de Ch. MAURRAS et l’Action Française. »

    10 Cahiers JC 25 03 05 Maurras couv.jpgLéon Degrelle a bien effectué ses « humanités classiques » à Namur, au Collège Notre-Dame de la Paix (dénomination complète car il existe aussi un Institut des Sœurs de Notre-Dame qui n’a rien à voir avec l’établissement des jésuites namurois) où, grâce à ses professeurs, il se familiarisa avec la pensée de Charles Maurras. Mais c’est après ses « gréco-latines », aux Facultés universitaires Notre-Dame de la Paix où il est entré en première année du « Grade de candidat en Philosophie et Lettres, Examen préparatoire au Droit », que le maurrassisme de Léon Degrelle provoqua, bien malgré lui, la mise à l’index vaticane du chef de l’Action française et de son mouvement: événement sensationnel qui ne mérite manifestement pas un mot de la part de De Bruyne !

     

    Lire la suite

  • L’Encyclopédie de De Bruyne : mensonges et perfidie (2)

     Léon Degrelle, un adolescent doué pour l'écriture que n’intimident pas les personnalités

     

     

    6 LD boy-scout 12 ans.jpg« Études primaires et secondaires inférieures à Bouillon. »

     


    P
    our l’enfance et la prime adolescence de la plupart d’entre nous, il n’y a en effet rien d’autre à signaler que la présence sur les bancs de l’école. Mais est-ce bien le cas de Léon Degrelle ? Non, bien évidemment ! Car le jeune scout de douze ans eut, par exemple, l’occasion, un mois à peine après la signature de l’Armistice du 11 novembre 1918, de rencontrer de manière privilégiée le héros de Verdun, le maréchal Philippe Pétain (voir ce blog au 30 avril 2016).

     

    Lire la suite

  • Eddy De Bruyne a encore frappé: une Encyclopédie à prendre avec de longues pincettes !

    1 Encyclo Couverture.jpgAvec son Encyclopédie de l’Occupation, de la Collaboration et de l’Ordre Nouveau en Belgique francophone (1940-1945), c’est un pavé d’un bon deux kilos que l’« historien » aux menteries politiquement correctes vient jeter dans le jardin déjà fort encombré des degrelliens. Ce lourd pavé est d’ailleurs fort peu maniable de par son format grand A4 et sa couverture rigide : il ne peut se lire qu’à plat sur le bureau ou posé sur un lutrin ! On se demande d’ailleurs pourquoi De Bruyne a adopté de telles dimensions encombrantes puisque l’ouvrage ne comporte pas la moindre illustration ni photo, pourtant indispensables à l’achèvement de pareille ambition encyclopédique…

     

    Lire la suite

  • Février 1944 : percée de Tcherkassy

     

     

     

    L’Europe à Tcherkassy

     

     

    LD Ms Europe Tcherkassy.jpgVoilà trente ans, nous luttions tous au coude à coude à Tcherkassy, camarades allemands, camarades des Pays-Bas, camarades flamands, camarades du Danemark, camarades de Norvège, camarades des pays baltes et nous aussi, camarades wallons.

    Germains de langue française, nous offrions notre sang ; des milliers des nôtres donnaient leur vie au service d’une œuvre grandiose. Nous étions, nous, dans ces combats farouches, la véritable Europe, l’Europe du sang le plus pur, l’Europe de deux mille ans de civilisation, arcboutés dans les neiges de Tcherkassy pour défendre un merveilleux passé et pour construire l’avenir !

    Notre sacrifice et nos morts n’ont pas, dans l’immédiat, remporté la victoire. Mais n’empêche, notre Europe était la bonne Europe, la vraie Europe, non celle des calculateurs sordides d’intérêts matériels à mettre en commun, non celle des combinaisons égoïstes de petits politiciens accrochés à des ambitions étroites ! Notre Europe était l’Europe de l’idéal commun, de la foi commune, de la force commune !

    On ne meurt pas pour quelque chose de médiocre. On offre sa jeunesse, sa vie, pour réaliser une grande œuvre. Notre Europe l’était, une Europe commandée par un vrai chef, une Europe ordonnées, ouverte à tout ce qui était grand, soutenue, du bout des steppes jusqu’à l’Atlantique, par une force énorme et saine, notre force à nous, Waffen SS, garçons de vingt-huit pays européens, soudés les uns aux autres, à un million, par la discipline et par l’idéal, décidés à réaliser tous ensemble, à travers tout, la même œuvre !

    LD février 1991.jpgCette Europe-là avait une âme, elle avait un sens, elle possédait la seule vraie unité : celle d’une croyance commune. Et elle s’appuyait, puissamment, sur du réel : nos bras, nos armes, nos idées, notre volonté de fer qui eussent assuré à jamais sa stabilité.

    Tôt ou tard, cette Europe-là, l’Europe des idéalistes forts, submergera l’Europe des politiciens-boutiquiers d’aujourd’hui ! Ce jour-là viendra, tôt ou tard, camarades ! Et on verra qu’à Tcherkassy, comme tout au long de cette grande épopée du Front de l’Est, nous avons gagné quand même !

    Heil !

     

    Léon Degrelle, 17 février 1974.

     

  • In memoriam Jordi Mota

     

    Nous avons appris le décès de notre ami Jordi Mota, emporté par la maladie quelques jours avant la fête de Noël 2016.

     

    Lire la suite

  • Pol Vandromme : chantre du non-idéal petit-bourgeois et antidegrellien rabique !

    Voici quelque temps, un professeur de rhétorique retraité d’un de nos collèges des bons pères jésuites (dont, selon l’évêque de Namur, la famille Degrelle faisait partie « de père en fils » !) nous avait fait parvenir un commentaire sur le méchant livre que Pol Vandromme commit, en 1978, sur Léon Degrelle (Le Loup au cou de chien, voir ce blog en date du 14 avril 2016). Notre ami doit être un tant soit peu masochiste car il continue à lire les anciens pamphlets politiques de l’éditorialiste regretté (?) du quotidien catholique de Charleroi Le Rappel. Celui qui lui est tombé sous les yeux, Wallonie irréelle (éditions Didier Hatier, 1986), a l’avantage d’être abondamment illustré par Alidor (le Jam de Rex) (1) et, une nouvelle fois, d’évoquer Léon Degrelle avec le même souverain mépris que six ans plus tôt : il ne citera même pas son nom (2). C’est avec plaisir que nous lui laissons à nouveau la parole.

     

    ***

     

    Lire la suite

  • In memoriam Barka Vanbesien

    C’est avec une infinie tristesse que nous avons appris le décès inopiné de notre chère Barka Vanbesien, épouse de notre ami Marc Vanbesien, détenteur des droits d’auteur de Léon Degrelle.


    Barka était pour nous l’incarnation de la gentillesse et de la disponibilité, de la générosité et de l’abnégation. Toujours, elle sut aider, soutenir et encourager son époux dans toutes ses entreprises, professionnelles ou politiques, notamment et surtout dans la défense et l’illustration de la geste héroïque des Volontaires du Front de l’Est et de leur Chef Léon Degrelle, au service de l’idéal européen d’Ordre nouveau. Elle était la bonté même.

    À l’occasion des funérailles de son épouse célébrées dans l’intimité du cercle des proches, Marc a souhaité lire un texte de Léon Degrelle qui semble écrit tout exprès pour elle. Léon Degrelle la connaissait d’ailleurs, lui ayant dédicacé quelques-uns de ses premiers livres, dont Les Âmes qui brûlent, reconnaissant en elle la meilleure des mères et la plus aimante des épouses.

    Le texte lu pendant les obsèques en est d’ailleurs issu : il s’agit du chapitre intitulé Bonté.

    Un mot parfois, un geste affectueux, un regard plein d'amitié sincère peuvent sauver un homme au bord des abîmes.

    Par l'affection et par l'exemple on peut tout.

    Crier, tempêter conduit rarement au fond des problèmes.

    Il faut être bon, deviner ce qui se passe parmi le brouillard de chaque cœur, tempérer le reproche nécessaire par une boutade amicale qui rend de l’espérance, toujours se mettre dans la peau de l'autre, dans l'âme de l'autre, penser à sa réaction personnelle si on recevait l'observation, l'encouragement, la réprimande, au lieu de l'adresser à autrui.

    La plupart des hommes sont de grands enfants, assez vicieux mais restés sensibles, tendus vers l'affection.

    Il n'y a pas trente-six routes pour les guider, il n'y en a qu'une : celle du cœur.

    Les autres routes paraissent parfois plus faciles à emprunter mais finalement elles ne conduisent nulle part.


    Nous ne passerons pas sous silence l’incident scandaleux provoqué la veille même de la cérémonie par le « Centre d’action laïque » local.

    Après avoir proposé ses services, la préposée « laïque » conseilla un service funèbre où, parmi quelques « fonds musicaux » passe-partout serait évoquée la personnalité de la défunte et fournis quelques témoignages de proches.

    Marc suggéra alors la lecture du texte Bonté. Et la préposée « laïque » de s’extasier devant la beauté et la noblesse de ces remarques introspectives, demandant à l’époux s’il en était l’auteur. Marc répondit honnêtement qu’elles étaient extraites de ce livre de Léon Degrelle. « C’est un nom qui me dit quelque chose. Vous permettez que je le feuillette ?... Ah ! Quels beaux textes ! Quelle élévation spirituelle ! »

    Avant de se quitter, les deux interlocuteurs rivalisèrent encore d’arguments pour stigmatiser l’obscurantisme et exalter la liberté de pensée et d’expression…

    Mais après s’être probablement enquise de l’identité de l’auteur-qui-lui-disait-quelque-chose, la préposée « laïque » changea son attitude du tout au tout. « Ce texte n’est pas compatible avec les idéaux de la laïcité : nous ne pouvons participer à cet enterrement ! »

    – Mais vous le trouviez si beau et maintenant il n’est plus comme il faut ? Pourtant, il n’a pas changé… Et vous me laissez tomber maintenant ? dans des circonstances aussi pénibles ?

    – Vous devez comprendre que nous ne pouvons pas nous compromettre avec de tels personnages.

    – Finalement, vous n’êtes pas différente des obscurantistes et des sectaires que vous dénonciez lors de votre visite chez moi !

    – Vous ne pouvez pas dire ça, Monsieur, ça n’a rien à voir !


    Non, ça n’a rien à voir : la soi-disant « Libre-pensée » se limite désormais au slogan « Pas de liberté pour les ennemis de la liberté ! » Et pour être sûr de son coup, on décide soi-même qui est ennemi de la liberté !!!

    Voilà la dictature « démocratique » où nous sommes obligés de vivre, cadenassée par des lois protégeant le mensonge, condamnant les « lanceurs d’alerte » qui dénoncent la corruption, organisant la décervellisation de ses propres enfants, asservissant les peuples à l’usure cosmopolite…

    Mais c’est heureusement ainsi qu’il fut épargné à notre chère Barka d’être accompagnée par d’hypocrites étrangers pour son dernier voyage. Seuls sa famille et ses amis s’en occupèrent, l’entourant affectueusement au cours d’une émouvante et sobre cérémonie et portant eux-mêmes le cercueil qu’ils mirent également en terre au cimetière.

    Nous ne nous souhaitons pas d’autres funérailles.

     

    Dédicace Léon Barka.jpg

     

  • "We will not go to Tuapse", le livre de Fernand Kaisergruber, vu par ses lecteurs anglo-américains

    L9781910777244.JPGL’édition en anglais du livre de Fernand Kaisergruber Nous n’irons pas à Touapse, dont l’original en français fut édité à compte d’auteur au début des années nonante, en est déjà à son second tirage. C’est dire qu’on se l’arrache dans les boutiques en ligne et les sites spécialisés de l’internet anglophone. En témoignent les innombrables commentaires laissés par les lecteurs sur leurs sites d’achat, ce qui constitue une habitude typiquement anglo-saxonne, à en juger par l’absence de toute réaction sur les sites francophones ! Nous vous en présentons un bref florilège, suivi d’une réaction du principal intéressé, car certaines critiques sont parfois surprenantes et témoignent bien de la vacuité de notre société du spectacle où comptent surtout vaines pétarades et allures matamoresques…

    Petit détail cocasse : la maison qui a édité We will not go to Tuapse, Helion & Company, est celle qui édita aussi le controversé For Rex and Belgium d’Eddy De Bruyne, apparemment désormais indisponible chez l’éditeur, ce dont nous ne nous plaindrons pas !

     

    卐卐卐卐卐

    Lire la suite

  • Les Vœux pour 2017 de Léon Degrelle.

     

    Que souhaiter à nos contemporains pour l’annus horribilis qui s’annonce inexorablement ?
    Simplement reprendre à notre compte ce texte de Léon Degrelle, écrit dans les années trente déjà, qui n’a rien perdu de sa pertinence : de quoi lire, méditer et... agir !

    dc5e65d8-a6f2-4bf1-b644-50686c82b817 (1).Jpeg

     

    L’Europe devient folle. Folle de scandales. Folle d’égoïsmes. Folle de révolte contre le Ciel. Folle de sang.

    On aura tout vu : la ruée sauvage de millions d’hommes rendus à la barbarie… Cet égorgement bestial n’est qu’un point de départ.

    L’après-guerre n’a été qu’un délire.

    Délire de l’orgueil, des sens, des drogues, des sports. Retour à un paganisme insensé, à la tyrannie de l’or, des trusts, à la débauche, à la richesse déchaînée, à l’esclavage économique, bancaire et industriel.

    Les catastrophes ont eu beau s’abattre sur les hommes pour leur rappeler l’insanité de leur orgueil, la vanité de leurs forces exaspérées…

    Il sera dit que notre siècle est resté sourd devant les menaces et devant les lumineux appels. Il se sera suicidé lourdement, après avoir titubé comme un homme ivre.

    La folie des hommes atteint l’épanouissement qui va les foudroyer comme un soleil trop fort. Nous sommes à la merci des anéantissements ultimes. Les bêtes, bientôt, vont s’égorger dans leurs derniers duels sociaux, économiques et internationaux.

    Pourrie dans ses mœurs, avilie dans sa foi, exaspérée d’individualisme, de fanatisme et d’orgueil, ayant perdu la charité, l’amour de Dieu et des hommes, exsangue, l’Europe moderne attend le dernier choc, les derniers soubresauts, les derniers cadavres.

    L’heure vient où tout se paiera.

    L’heure vient aussi où, pour sauver le monde, il faudra la poignée de Héros et de Saints qui feront la Reconquête !

     

    Léon Degrelle
    Révolution des âmes

    Affiche Défilé.jpg