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  • « Léon Degrelle était bien Tintin ! » L’intuition première de Jean Mabire.


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    près Degrelle-Hergé même combat, publié dans le numéro de mai-juin 2014 de Synthèse nationale, établissant non seulement que Degrelle fut bien le modèle ayant inspiré Tintin, mais démontrant aussi la fidélité absolue et pérenne de Hergé à ses idéaux de jeunesse, Armand Gérard verse aujourd’hui un nouvel élément au dossier de la filiation irréfutable unissant Tintin – le héros des jeunes de 7 à 77 ans – à Léon Degrelle – le héros du Front de l’Est.

    Retrouvé dans le fonds d’archives de Léon Degrelle appartenant à Marc Vanbesien, il s’agit de l’article Léon Degrelle fut-il Tintin?,sans doute rédigé peu après 1983 –année du décès de Hergé– par Jean Mabire, l’écrivain-historien bien connu de la Seconde Guerre mondiale.

    Dans cet article, Jean Mabire se manifeste comme le tout premier à chroniquer le lien intime entre Degrelle et Tintin et à établir un parallèle judicieux entre les deux héros au point de vue du caractère, du profil psychologique et des valeurs guidant leur vie.

    Etablissant la pertinence des intuitions de Jean Mabire, Armand Gérard, documents à l’appui, confirme la permanence des relations amicales entre Léon Degrelle et Hergé bien après la guerre, de même qu’il révèle la réelle opinion sur la relation Degrelle-Tintin du biographe officiel de Hergé. Un Pierre Assouline qui n’hésite pas à présenter son livre comme une démonstration par l’absurde, en détruisant explicitement, dans sa dédicace à la veuve de Léon Degrelle, la thèse officielle qu’il a été obligé de défendre et en la désignant comme seule habilitée à trouver dans sa biographie « la trace et l’ombre » de qui elle sait être le vrai Tintin !

    L’auteur conjecture également à raison que c’est probablement la démarche de Jean Mabire soumettant son article à Léon Degrelle qui est à l’origine de sa décision de faire toute la lumière sur sa relation à Hergé dans Tintin mon copain.


    Magazine des Amis de Jean Mabire n° 45, Solstice d’été 2015.

    Association des Amis de Jean Mabire,
    15, route de Breuilles
    F-17330 Bernay-Saint-Martin.
    Abonnement annuel (20 euros) sur www.jean-mabire.com

  • Léon Degrelle: de Rex à Hitler.

     

    De nombreux manuscrits de Léon Degrelle attendent encore leur publication, dont la suite de la passionnante chronique du Siècle de Hitler (six volumes sur une vingtaine publiés à ce jour).

    Aujourd’hui, les Editions de l’Homme Libre – qui jouissent de l’exclusivité de la publication des œuvres de Léon Degrelle– ont choisi de publier De Rex à Hitler qui « dormait, oublié, au fond d’un carton des archives de Léon Degrelle. Ecrit dans les années soixante, il n’avait jamais été publié, malgré son réel intérêt historique. » L’Homme Libre dédie également cette publication « à Madame Jeanne Brevet, épouse de Léon Degrelle, décédée à Malaga le 15 décembre 2014, à l’âge de 92 ans. »

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    ans un Avertissement, l’éditeur suppute que la non-publication de ce livre vient sans doute de « l’histoire de la Seconde Guerre Mondiale telle qu’elle se développe depuis le procès de Nuremberg et qui n’a pas manqué d’influencer inconsciemment certains points de vue, descriptions, jugements contenus dans ce livre ». En cause, « certains passages (essentiellement des portraits et descriptions) » relevant de « contingences personnelles », mais surtout l’Holocauste, « concept qui occultera progressivement toute l’histoire de la Deuxième Guerre Mondiale au point d’en devenir la cause et le but, le conflit planétaire n’ayant en définitive existé que par la volonté perverse et monomaniaque d’Adolf Hitler d’exterminer tous les juifs au moyen de chambres à gaz situées dans certains camps de concentration. »C’est en effet en tenant compte du progressif et systématique lavage des cerveaux enclenché par Nuremberg qu’il faut sans doute prendre en compte, par exemple, le portrait que Léon Degrelle trace, d’une manière qu’on sent embarrassée, du Reichsführer-SS Heinrich Himmler.

    Ayant bien connu et fréquenté Himmler, Léon Degrelle ne peut qu’écrire (p. 223) :
    « On l’a représenté comme un homme barbare et cruel. C’est inexact. Il pouvait, au contraire, être un homme délicat, attentif à faire plaisir. »

    Mais il se sent contraint de nuancer ce portrait positif du Reichsführer et de tenter de trouver une explication rationnelle – un fanatisme politique absolu (?) – à cette manière dont « on l’a représenté » et qu’il ne songe pas un instant à mettre en doute, tout en utilisant une métaphore euphémique pour exprimer son embarras:

    « Mais tout en lui convergeait vers la cause. Je suis certain qu’il n’a pas fait mourir un seul être humain par haine. Il considérait les inassimilables comme des insectes à éliminer au D.T.T. Il ne les détestait pas plus qu’on ne déteste les mouches qu’on asphyxie. Mais la suite a montré qu’il y allait plutôt fort lorsqu’il asphyxiait, avec son vaporisateur de policier, les moustiques humains qui l’encombraient ! »

    Cependant, comment expliquer que personne n’ait semblé avoir été, à cette époque, au courant de semblable génocide, que personne n’en ait jamais parlé (ou entendu parler) jusque dans les plus hautes sphères du pouvoir (que lui-même, Léon Degrelle, avait également pu approcher) ?

    Même si l’argument est pauvre et peu convaincant, la manie du secret et du cloisonnement pratiquée par Himmler est tout ce que peut trouver Léon Degrelle comme explication un tant soit peu plausible :
    «Il parlait peu, ne s’entretenant, avec chacun, que de son secteur. Il sériait le travail, gardait ses secrets. C’est ainsi que son invention des camps de concentration et de liquidation put, jusqu’à la fin de la guerre, rester inconnue de l’immense majorité de ses collaborateurs. Il est presque incroyable que ce secret ait été ainsi tenu : c’est néanmoins la stricte vérité. »
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    L’incongruité de cette explication trouble cependant Léon Degrelle qui se voit dès lors obligé de postuler chez Himmler ou un culot relevant de l’inconscience ou une totale absence de moralité, puisque, à la toute fin du Reich, en mai 1945, malgré l’ampleur supposée de ses crimes, le chef du système concentrationnaire se croyait naïvement l’interlocuteur incontournable des vainqueurs pour négocier une issue honorable au conflit:
    « Il ne dut pas aller plus loin dans l’analyse psychologique de ses actions, ni l’estimer jamais répréhensible. Sinon, comment eût-il pu se mettre dans la tête, en avril 1945, que lui – lui, à part des autres ! – pourrait encore arriver à un arrangement à l’amiable avec l’Amérique et le Royaume-Uni ? 

    Plus tard, lorsque seront divulgués et répandus les travaux de ceux que l’on appellera les
    « révisionnistes » (c’est le 29 décembre 1978 que le quotidien Le Monde publiera le retentissant article du Professeur Robert Faurisson sur Le problème des chambres à gaz ou « la rumeur d’Auschwitz »), – travaux jamais scientifiquement remis en cause mais rejetés purement et simplement par la seule grâce d’arsenaux judiciaires et législatifs fixant l’histoire officielle à l’instar d’une religion –, Léon Degrelle, estimant son idéal solaire souillé par une imposture, se fera désormais, plus que jamais et avec une totale détermination, le défenseur d’Adolf Hitler, tel qu’il fut et tel que lui-même put le connaître, ainsi que de la doctrine nationale-socialiste, telle qu’en elle-même, débarrassée de toutes les calomnies et anathèmes des systèmes matérialistes qui s’étaient ligués pour son anéantissement.

    Tout cela le mènera, notamment, au procès spectaculaire que lui intentera, en 1985, une ancienne déportée juive suite à une interview dans l’hebdomadaire espagnol Tiempo où il mettait en doute le génocide des juifs par les Nationaux-Socialistes : évitant de se prononcer sur le fond, le tribunal constitutionnel de Madrid finira par condamner Léon Degrelle en 1991 pour « atteinte au droit à l’honneur » de la plaignante.léon degrelle,adolf hitler,heinrich himmler,éditions de l'homme libre

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    our en savoir plus sur ce que Léon Degrelle pense de cette question d’histoire, on se reportera utilement à sa Lettre au Pape à propos d’Auschwitz (Les éditions de l’Europe Réelle, 1979), aux « Interviews recueillies pour la télévision française par Jean-Michel Charlier » publiées sous le titre Léon Degrelle: persiste et signe (Editions Jean Picollec, 1985), au roboratif Le fascinant Hitler ! (édition française à compte d’auteur, 1991; édition espagnole – El Dr. Leuchter y el fascinante Hitler–, édition Libreria Europa, Barcelone, 1991) et surtout à ses ultimes considérations contenues dans le livre-testament Tintin mon copain (Pélican d’Or, 2000).

    Dans ce dernier livre, il fait d’ailleurs le point sur ce qu’il est désormais permis de penser (p. 93) :
    « Lorsque l’immense tapage monté après la guerre sur ce problème aura fini par s’apaiser, on verra ce que concluront les historiens, redevenus sérieux. De grandes surprises seront alors, sans doute, réservées aux accusateurs hâtifs, aux attrape-nigauds et aux menteurs cyniques de nos temps passionnés. Entre-temps, tout débat à ce sujet étant judiciairement interdit, chacun ne peut que se taire. Je le fais moi-même aujourd’hui, le bec cousu et la plume sèche, sans d’ailleurs en penser moins derrière les jupons omnipotents des magistrats brandissant leurs nouveaux codes. »

    Mais même si De Rex à Hitler est resté dans les archives de Léon Degrelle car sa publication eût nécessité une refonte totale, sa lecture est d’une importance toute particulière car, ainsi que le souligne l’éditeur, c’est la première fois que « Léon Degrelle développe clairement […] ses conceptions politiques, notamment sur le National-Socialisme, la convergence de destin des peuples européens, le rôle particulier assigné par l’Histoire au peuple d’entre-deux que forment les héritiers de la Germania Inferior, des XVII Provinces et du Cercle de Bourgogne de Charles-Quint, ainsi que – ce qui lui fut reproché comme une vilenie – la réalité historique, culturelle et raciale du caractère germain des Wallons. »

     

    Léon Degrelle, De Rex à Hitler
    édition reliée toile, limitée à 1000 exemplaires numérotés, 544 pages. 35€, à commander via http://editons-hommelibre.fr.

    Éditions de l’Homme Libre, 26 rue des Rigoles, F-75020 Paris. Tél. : +33.1.46.36.07.10. Courriel : contact@editions-hommelibre.com

     

    Sont disponibles aux Editions de l’Homme Libre les ouvrages suivants de Léon Degrelle : Lettre à mon Cardinal (25€), Appel aux jeunes Européens (5€), Mon Chemin de Saint-Jacques (15€), Les âmes qui brûlent (15€), Feldpost (12€), Hitler pour 1000 ans (15€) ainsi que les volumes 4-5 et 6 du « Siècle de Hitler », Hitler démocrate I et II et Hitler unificateur (30€ chacun).

     

  • Léon Degrelle-Hergé, même combat!

    Toujours dans le cadre du vingtième anniversaire de la disparition de Léon Degrelle, Synthèse nationale a publié, dans son numéro 36, un article décisif sur les relations inaltérables qui ont existé depuis leur première rencontre entre Hergé, le créateur de Tintin, et celui qui en fut l’inspirateur, Léon Degrelle.


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    orsqu’en 2000 parut le livre posthume de Léon Degrelle Tintin mon copain, ouvrage autobiographique centré sur son amitié privilégiée avec Georges Remi, tous les médias hurlèrent à l’imposture et au mensonge, certains affirmant même que ces mémoires étaient purement et simplement apocryphes. L’authenticité de l’ouvrage, attestée par la relecture du grand collectionneur hergéen Stéphane Steeman auprès de Léon Degrelle lui-même, ne faisant aucun doute, restait à confirmer la réalité des faits essentiels avancés par « Degrelle-Tintin », à savoir que Hergé s’inspira de lui non seulement pour les principaux traits physiques (la houppette et les culottes de golf – auxquelles nous ajouterions également l’ovale parfait du visage), mais surtout pour les traits moraux et spirituels, hérités du scoutisme et sublimés par l’Ordre nouveau: fidélité en amitié allant jusqu’au don de soi, lutte contre tout ce qui avilit l’homme, engagement pour une société de justice et de responsabilité…

    À l’appui de sa démonstration, l’auteur, Armand Gérard, rétablit la chronologie de l’impression décisive laissée par Léon Degrelle sur Hergé dès leur première rencontre au quotidien catholique Le Vingtième Siècle, –notamment par son engagement pour les Cristeros mexicains, bien antérieur au départ de Tintin pour régler leur compte aux Soviets–, passe en revue pour les démonter les différents « mensonges » reprochés à Degrelle –y compris Milou inspiré par le chien du Hitler de la Première Guerre mondiale– et tord le cou aux légendes selon lesquelles Hergé aurait rompu avec Degrelle en 1932 déjà, aurait manifesté son antinazisme dès Le Sceptre d’Ottokar et, après-guerre, aurait regretté ses quelques dessins « antisémites »…

    Bien plus, il s’attache à éclairer la fidélité absolue du Maître de la Ligne claire à l’idéal solaire de sa jeunesse en offrant une aide matérielle et morale constante à tous les artistes et intellectuels d’Ordre nouveau persécutés par l’aveugle « épuration » de vainqueurs haineux, en gardant le contact avec Léon Degrelle en exil via son épouse Germaine Kieckens et son ami Paul Jamin –et n’hésitant pas à célébrer son héroïsme dans la presse belge– et surtout en continuant à lancer de discrets clins d’œil à ses frères d’idéal dans tous ses albums d’après-guerre : jurons céliniens du capitaine Haddock, nouvelles caricatures antisémites subliminales, présentation du professeur Tournesol en authentique savant national-socialiste,… 

    En conclusion, Armand Gérard explique comment, dans son dernier album, Tintin et les Picaros, Hergé restreint l’ambition de son héros, passant du combat pour la justice sociale du modèle Léon Degrelle vers le repli sur le cercle familier, unique cellule où peut encore se pérenniser la petite flamme de la vérité, de la justice et de la solidarité…

    Hergé ne se remit en effet jamais de l’effondrement du monde nouveau à la construction duquel il participa avec ses amis, purs patriotes, du Soir prétendument « volé » et des organisations d’Ordre nouveau : il les vit tous lourdement condamnés, souvent à mort et exécutés, tel son ami d’enfance Victor Meulenijzer, rédacteur en chef de l’hebdomadaire rexiste Voilà dont il fit la couverture en 1942.

    Dans son ultime interview, peu avant son décès, Hergé ne put s’empêcher de revenir sur l’horreur de la « libération »: « ça a été une expérience de l’intolérance absolue. C’était affreux, affreux ! »

    Synthèse nationale n° 36, à commander en ligne (synthesenationale.hautetfort.com) ou par versement au compte IBAN: FR20 0410 0001 5363 804C 0206 8 (15 €, frais de port compris).

     

  • Léon Degrelle. Documents et témoignages.

    L’hommage le plus substantiel à Léon Degrelle pour le vingtième anniversaire de sa disparition a, sans conteste, été rendu à l’initiative de l’Association des Amis de Léon Degrelle (Dijon). Son président Christophe Georgy conçut le projet d’un livre-hommage qui a ainsi inauguré une nouvelle collection de la revue Synthèse Nationale, « Les Cahiers d’Histoire du Nationalisme ».

    Nous y avons été impliqués, notamment par une interview remarquable de Fernand Kaisergruber intitulée L’Honneur et la Fidélité.

    C’est assez dire que Fernand ne renie en rien l’idéal qui enflamma se jeunesse, participant aux campagnes contre les banksters et aux luttes pour l’élection des candidats rexistes et s’engageant finalement dans « l’épopée inoubliable » de « l’exaltante croisade contre le bolchevisme menée aux côtés de nos camarades européens et qui nous conduisit jusqu’aux portes de Stalingrad. »

    C’est dire aussi que la prétendue épuration des inciviques, qui ne fut qu’un règlement de comptes impunément haineux, ne changea en rien sa conception du monde : « Malgré la répression terrible, rien ne pouvait remettre en cause les raisons profondes de nos engagements. C’était là notre force, c’était aussi une vraie victoire sur la médiocrité. »

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  • Enfin, une plaque commémorative pour le Chef !

    Nous pouvons rendre ici publique l’importante initiative que de fervents degrelliens ont prise pour rendre hommage à celui qui restera pour toujours un véritable guide spirituel.

    Le 15 juin 2014, jour anniversaire de Léon Degrelle, une plaque commémorative pour le vingtième anniversaire de sa disparition a été placée au sommet du Kehlstein, à Berchtesgaden, l’endroit où ses cendres ont été dispersées le 17 juin 1995, pour rendre justice à sa fidélité absolue au Führer et à sa conception du monde nationale-socialiste.

    Une plaque commémorative identique a également été placée au Tombeau du Géant, lieu mythique de la forêt ardennaise où Léon voulait reposer et où une partie des cendres fut également enfouie, le 15 août 2006, année de son centenaire et fête patronale de sa maman.

    Désormais, le Kehlstein se dresse comme le Denkmal non seulement d’Adolf Hitler, mais aussi du fils qu’il se fût choisi, Léon Degrelle.

    Désormais, le "Tombeau du Géant" constitue également le Mémorial de Léon Degrelle.

  • Léon Degrelle: vingt ans déjà...

    C’est le 31 mars 1994 que disparaissait Léon Degrelle, le dernier « Conducteur de Peuple » et dernier grand témoin du monstrueux et tragique cataclysme qui précipita la ruine de l’Europe et dépouilla ses peuples de leur rôle prééminent dans l’histoire du monde.
    Un anniversaire qui fut commémoré de multiples façons à travers toute l’Europe.


    Fidèlement depuis vingt ans, Jeanne Degrelle et ses proches font célébrer tous les 31 mars une messe de Requiem dans la cathédrale de Malaga. Cette année, une messe d’anniversaire fut également célébrée à Paris, en l’église Saint-Nicolas du Chardonnet.

    Comme chaque année également, le Centre Historique de Recherche et d’Investigation (Lille) a publié une plaquette-souvenir, au tirage limité à 150 exemplaires. Intitulée « Au-delà de l’éternité – Léon Degrelle – 20e Mémorial », elle est illustrée d’un magnifique portrait en couleur de Léon Degrelle, réalisé à l’occasion de la remise des Feuilles de Chêne, le 25 août 1944, par Walter Frentz, assistant de Leni Riefestahl pour le tournage des Dieux du Stade en 1936 et photographe officiel au Wolfsschanze, le quartier-général d’Adolf Hitler, à Rastenburg.

    Outre un hommage fervent à la personne et à l’action du plus grand politique jamais né en Belgique, cette plaquette comporte un texte écrit par Léon Degrelle en 1943, se terminant par une ferme profession de foi en l’avenir, qui, pour n’avoir pu se concrétiser alors, devrait toujours nous inspirer : « Nous forgerons pour notre Patrie et pour notre peuple un bonheur qui sera l’honneur de nos vies ».

    46138094b1b336311460c731ea2d5e5d-1396345833.jpgCette année aussi, le Fonds Européen Léon Degrelle décida de célébrer cet anniversaire par une action digne des « Grandes farces de Louvain », en publiant un in memoriam dans la rubrique nécrologique du Soir (quotidien acquis, durant les années de guerre, aux thèses du nouvel ordre européen et pour lequel Hergé dessina ses meilleures Aventures de Tintin) et L’Avenir (pour le nom rappelant le chant patriotique ponctuant les meetings rexistes). Composée de huit lignes seulement et rédigée de manière à tromper la vigilance des ignares de la censure démocratique, cette publication provoqua un véritable tsunami médiatique, preuve s’il en fallait de l’actualité toujours brûlante de celui qui suscita jusque par-delà la mort lois d’exception et arrêtés royaux de persécution !

    31 mars 2014 : Vingtième anniversaire de la disparition de

    l’écrivain et poète

    Jean DOUTRELIGNE

    1906-1994

    Auteur de « Prière à Notre-Dame de la Sagesse », « Révolution des âmes »,

    « La Chanson ardennaise », « La Grande Bagarre »…

    Sa famille, ses amis, ses disciples ne l’oublient pas.

    C’est, comme de juste, le dénonciateur professionnel de supposés néo-nazis, Manuel Abramowicz, qui530026lagrandebagarre.jpg leva le lièvre (en le qualifiant élogieusement de « coup de maître médiatique » !) sur son site RésistanceS. Ce faisant, il dut encore expliquer aux héritiers incultes du « Soir (prétendument) volé », qui étaient Jean Doutreligne et Léon Degrelle : « Jean Doutreligne [auteur de La Grande Bagarre, Flammarion, 1951] est le pseudonyme de Léon Degrelle. » « Il s’agit d’un des personnages les plus sulfureux de l’histoire politique du Royaume de Belgique. Dirigeant de Rex, Léon Degrelle est devenu “général” de la SS wallonne, puis l’icône des nationalistes européens ultras. » « Cette aura s’explique par le fait qu’il réunit sur sa personne à la fois les thèmes de l’extrême droite et ceux de l’intégrisme catholique. On pourrait presque dire qu’il incarne une sorte de “Che Guevara de l’extrême droite” parce qu’il allie le fait d’être un leader politique, de passer pour un intellectuel de par ses activités d’écrivain et de journaliste et, enfin, d’être un homme d’action qui a endossé l’uniforme pour défendre ses idées et qui, même s’il a beaucoup exagéré son rôle, a combattu avec âpreté et courage sur le Front de l’Est, à Tcherkassy notamment. »

    RTL-TVI et la RTBF ont consacré à l’événement de longues minutes dans leurs journaux parlés et télévisés, de même que l’ensemble de la presse écrite (y compris néerlandophone) y fit largement écho, rendant ainsi, elle aussi involontairement, un fameux hommage à celui qu’elle se charge normalement de flétrir…

     

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  • Charlie-Hebdo: et les Combattants du Front de l'Est?

    Que ce torchon impropre même à servir de PQ soit maintenant intronisé « symbole de la liberté d’expression » est par trop consternant: issue de la gauche la plus sectaire, cette gazette en perdition n’a jamais eu d’autre but que de conchier la France, les Français et leurs valeurs, qu’elles soient familiales, morales, religieuses, politiques, militaires,… mais épargnant toujours les tenants du mondialisme, du multiculturalisme, de l’immigration ainsi que les falsificateurs de l’histoire qui ont confisqué nos sociétés au nom de leur mensonge. Alors si rien ne peut justifier le massacre de leur rédaction (pourtant « sous protection », dixit le calamiteux Hollande), on ne peut s’empêcher de constater que le Système a pu transformer cette tragédie en formidable « coup de pub » (huit millions d’exemplaires du nouveau numéro ! soit l’équivalent de plus de cinq années de vente en un seul coup !) et hypnotiser par un discours lénifiant le bon peuple de « veaux » français qui eût pu se réveiller (et se rassembler en un Pegida français ?). Car, face à la menace inéluctablement croissante de l’Islam, quelle est la réaction des dirigeants politiques et de leurs relais médiatiques ?

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  • In Memoriam Jeanne Degrelle (1922-2014)

    Il y a un peu plus d’une année, le 15 décembre, s’éteignait parmi les siens à son domicile de Malaga, Jeanne Degrelle, la compagne dévouée de notre Chef.

    Nièce du fondateur de la Milice française, Joseph Darnand, Jeanne Degrelle, née Brevet, était la fille d’Alexandre Brevet, un grand antiquaire de Bourg-en-Bresse.


    Jeanne Brevet épousa en premières noces Henry Charbonneau, proche ami de son oncle, combattant de la Phalange africaine en Tunisie, avant de devenir le rédacteur en chef de Combats, l’organe de la Milice, puis, après la guerre, journaliste à L’Aurore et à Valeurs actuelles. Il publia également Les Mémoires de Porthos, indispensable histoire des nationalistes français entre 1920 et 1946, ainsi que L’Aventure est finie pour eux, portraits de quelques grandes figures contemporaines, parmi lesquelles Léon Degrelle.

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  • In memoriam Stéphane Steeman (1932-2015), collectionneur de Hergé et de… Léon Degrelle.

    C’est le vendredi 23 janvier 2015 que l’humoriste Stéphane Steeman (82 ans) est décédé à l’hôpital de Fréjus où il avait été admis trois semaines auparavant pour des problèmes cardiaques.

    Tout le monde connaît suffisamment sa brillante carrière de comédien-imitateur (rappelée d’ailleurs en long et en large par tous les médias) pour que nous n’y revenions pas.

    Pour nous, Stéphane Steeman fut surtout celui qui accepta l’invitation de Léon Degrelle, désireux de lui faire relire son manuscrit « Tintin mon copain » et qui se rendit à Malaga en octobre 1991.

    Nous pouvons dire aujourd’hui que Steeman en eut bien du mérite car il éprouvait une terrible aversion physique pour l’avion: malgré ses comprimés de Valium, il effectua un vol effroyable, recroquevillé dans son fauteuil et tremblant de tous ses membres. Mais l’envie de rencontrer et connaître personnellement une figure historique telle que Léon Degrelle, qui plus est intimement liée à son idole Hergé, lui permit de tout supporter.

    Et la rencontre fut mémorable, Léon Degrelle venant ouvrir lui-même la porte de son appartement et donnant spontanément une vigoureuse et amicale accolade à son visiteur intimidé, avant de lui faire les honneurs de sa demeure: les dix glorieux drapeaux de la Légion Wallonie ramenés des combats du Front de l’Est, la croix de Chevalier de la Croix de Fer et les Feuilles de Chêne gagnées lors de la percée victorieuse de Tcherkassy et dans les formidables combats d’Estonie, le portrait dédicacé du Führer, les portes mauresques ouvrant sur le bureau de travail entouré par une impressionnante bibliothèque d’ouvrages historiques et artistiques, la magnifique collection de plats andalous anciens, les précieux azulejos, les bois polychromes médiévaux, les tableaux religieux et mythologiques de la Renaissance, le primitif flamand, la terrasse ombragée décorée de marbres romains et, enfin, les rafraîchissements –Xérès, whisky on the rocks– qui attendaient les futurs amis…

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