Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Charlie-Hebdo: et les Combattants du Front de l'Est?

Que ce torchon impropre même à servir de PQ soit maintenant intronisé « symbole de la liberté d’expression » est par trop consternant: issue de la gauche la plus sectaire, cette gazette en perdition n’a jamais eu d’autre but que de conchier la France, les Français et leurs valeurs, qu’elles soient familiales, morales, religieuses, politiques, militaires,… mais épargnant toujours les tenants du mondialisme, du multiculturalisme, de l’immigration ainsi que les falsificateurs de l’histoire qui ont confisqué nos sociétés au nom de leur mensonge. Alors si rien ne peut justifier le massacre de leur rédaction (pourtant « sous protection », dixit le calamiteux Hollande), on ne peut s’empêcher de constater que le Système a pu transformer cette tragédie en formidable « coup de pub » (huit millions d’exemplaires du nouveau numéro ! soit l’équivalent de plus de cinq années de vente en un seul coup !) et hypnotiser par un discours lénifiant le bon peuple de « veaux » français qui eût pu se réveiller (et se rassembler en un Pegida français ?). Car, face à la menace inéluctablement croissante de l’Islam, quelle est la réaction des dirigeants politiques et de leurs relais médiatiques ?

1. « Surtout pas d’amalgame ! »


Telle fut la réaction immédiate des responsables de tous les partis (y compris le FN), trop empressés d’affirmer que les terroristes ne représentaient pas le véritable Islam. « Les vraies victimes, ce sont les musulmans » a même martelé le toujours calamiteux Hollande… Pendant que d’innombrables musulmans français se félicitaient de l’attentat sur tous les réseaux sociaux, les élèves arabes de nos écoles justifiaient la vengeance du Prophète face à leurs professeurs paralysés et des millions de musulmans à travers le monde, de Gaza au Pakistan et de Tchétchénie à l’Algérie en passant par la Turquie et l’Egypte, brûlaient le drapeau français, saccageaient les biens français et appelaient leurs coreligionnaires immigrés à se lancer dans le Jihad à travers tous les pays européens…

La distinction entre « islam acclimaté » et fondamentalistes isolés semble bien ne relever que de la rhétorique politiquement correcte au moment où non seulement des pays entiers (Afghanistan, Libye, Syrie, Irak, Yémen, Mali,…) sont ruinés au nom d’Allah, mais des chefs d’états prétendument « fréquentables » appuient ouvertement un Islam sans compromission, tels le roi du Maroc et le président turc interdisant à leurs ressortissants de s’assimiler aux populations européennes, le Qatar finançant le « califat » de l’Etat islamique ou l’Arabie saoudite appliquant la charia criminelle à coups de lapidations, décapitations, mutilations et flagellations…

Comment ne pas s’inquiéter dès lors de voir des populations européennes entières se faire progressivement remplacer dans leurs quartiers par des masses immigrées refusant toute intégration ? Comment ne pas craindre qu’elles fonctionnent comme une véritable « cinquième colonne » puisqu’elles approvisionnent déjà les contingents de jeunes djihadistes belges, français, allemands, britanniques, etc. ? Est-ce céder à une improbable « théorie du complot », comme le dénonce Marine Le Pen, que de faire le rapprochement avec la menace claire de Kadhafi dans son interview au Figaro (19 décembre 2006): « Sans épée, sans fusil, sans conquêtes, les 50 millions de musulmans en Europe la transformeront bientôt en continent musulman ! », ne faisant qu’actualiser l’agressive bravade de Boumediene dans son discours à l’Onu (10 avril 1974): « Un jour, des millions d’hommes quitteront l’hémisphère sud pour aller dans l’hémisphère nord. Et ils n’iront pas là-bas en tant qu’amis. Parce qu’ils iront là-bas pour le conquérir. Et ils le conquerront avec leurs fils. Le ventre de nos femmes nous donnera la victoire » ?...

2. Défendre la liberté d’expression (« cela ne se négociera jamais »,
selon le définitivement calamiteux Hollande)


Au même moment, Dieudonné se retrouve en garde à vue pour une plaisanterie plus soft que les défécations de Wolinski et consorts, les manifs de Pegida Vlaanderen sont interdites chez nous –tout comme les conférences d’Éric Zemmour– et la banderole des supporters du Standard –pourtant si bien en phase avec l’actualité– vaut au club des Rouches de sévères menaces financières tandis que les gouvernements européens, incapables de comprendre que le terrorisme qui frappe nos pays est directement issu de leur aveuglement sur l’immigration incontrôlée, ne trouvent rien de mieux que d’affirmer leur volonté de renforcer… la traque de l’islamophobie et de l’antisémitisme !

Leur « liberté d’expression » affirme aller jusqu’au « droit au blasphème », mais sans remettre en cause l’ultime sacrilège, car il existe bien un dogme intouchable, un tabou inviolable et il ne s’agit même pas d’un postulat religieux, mais d’un point d’histoire, sacralisé par des lois qui envoient en prison les historiens qui auraient l’inconscience de faire leur boulot… C’est sur ce diktat que se fonde ce Système de l’imposture d’une liberté d’expression ne protégeant que le discours totalitaire du pouvoir: ce que pense ou dit son adversaire n’est pas une opinion, mais un délit passible des foudres judiciaires.

Ce crime reçoit alors pour noms: négation de l’Holocauste, racisme, antisémitisme, incitation à la haine raciale, apologie du terrorisme ou même, si rien de ce qui précède ne fonctionne, trouble à l’ordre public (1)

3. Quid des « djihadistes » ?


Sans donner d’estimation précise sur le nombre de « candidats » au Djihad cherchant le moyen de rejoindre « Daesh », Europol évaluait, en janvier 2015, à quelque 5000 le nombre d’européens –pour la plupart de jeunes taulards fanatisés dans nos prisons– partis combattre pour l’Etat islamique, exaltant la barbarie la plus abjecte au nom de sa superstition mahométane qui n’est qu’imposture obscurantiste.

Face au danger extrême d’une situation qui dépasse évidemment le cadre des frontières nationales, il n’y a aucune mesure commune d’urgence prise à l’échelle européenne. On peut cependant identifier deux préoccupations majeures de la plupart de nos gouvernements:

- empêcher les djihadistes de partir
- encadrer les djihadistes de retour « au pays »

Deux préoccupations relevant évidemment de l’angélisme le plus imbécile puisqu’elles ne peuvent qu’engloutir des fortunes colossales pour engorger nos prisons surencombrées de « fous d’Allah » endoctrinant leurs codétenus ou pour subventionner de prétendus professeurs d’éducation islamique rectifiée et censée prévenir ou neutraliser la « radicalisation »…

Que ne laisse-t-on partir toutes ces bêtes fauves dans le califat de leurs rêves ? Avec expédition automatique de tous leurs proches au nom du « regroupement familial » dont nous sommes les champions ? Et déchéance tout aussi automatique d’une nationalité européenne dont ils n’ont que faire ? Et interdiction évidemment de jamais revenir dans nos pays impies dont ils méprisent les peuples et les coutumes ? Irréaliste ? Cela contreviendrait au droit international selon qui « nul ne peut être arbitrairement privé du droit d’entrée dans son propre pays » ? Mais où serait l’arbitraire face à des gens –allochtones rejetant toute intégration– qui se mettent en guerre contre les autochtones de leur terre d’accueil ? Cela contreviendrait aux lois sur la protection de la jeunesse de moins de 18 ans ?

Et si on faisait un bref rappel historique ?...

Et les combattants du Front de l’Est ?


AdH-10-P-Aumonier-légion-wallon.jpegReportons-nous à 1945 et à l’anéantissement de l’Allemagne nationale-socialiste. Sans nous appesantir sur la sacralisation contemporaine de la « Résistance » (sans uniforme), ses origines partisanes, ses actions terroristes et ses effets d’escalade dans la violence et de provocation à la guerre civile, examinons plutôt le sort réservé aux jeunes soldats volontaires du Front de l’Est et, plus particulièrement, à la jeunesse en uniforme de la Légion « Wallonie », partie avec la bénédiction des autorités religieuses d’alors « en croisade contre le bolchevisme ».

Remarquons qu’il ne s’agissait pas d’étrangers immigrés, mais de Belges, fiers d’arborer l’écusson de leur patrie sur leur uniforme. Et ils ne se battaient pas contre la Belgique et ses intérêts, mais au contraire, se revendiquant explicitement de leur patriotisme, luttaient pour assurer à la Belgique toute sa place au sein de l’Europe nouvelle. Ils ne se battaient pas non plus contre la civilisation, la culture, les valeurs européennes, mais au contraire pour les défendre face à une idéologie matérialiste et apatride –le communisme– qui les menaçait et les corrompait.

Vaincus, furent-ils traités et respectés selon le code d’honneur militaire ?
 
Emprisonnés dans des cellules insalubres et surpeuplées, ils furent systématiquement déchus de leurs droits civils et politiques quand ils n’étaient pas envoyés par dizaines au peloton d’exécution, et ce, qu’ils aient ou non atteint l’âge de 18 ans. Et leurs parents furent de même persécutés, embastillés, ruinés pour le seul crime d’avoir été le papa, la maman, l’épouse, la fiancée, le frère, la sœur, le fils ou la fille d’un Légionnaire. Jamais ils ne bénéficièrent de la moindre amnistie et jamais aucun juge ne s’interrogea sur la justice de leur sort. Et quand, tel Léon Degrelle, ils échappaient à leur vengeance aveugle, ils durent supporter des délais de prescription allongés sur mesure et se virent déchus de leur nationalité…

Rappelons que si la peine de mort figurait dans le code pénal belge, elle fut quasi systématiquement commuée en détention à perpétuité. C’est ainsi qu’entre 1830 et 1863, il y eut 54 exécutions et qu’il fallut attendre les quatre années de la Première Guerre mondiale pour que 21 Belges fussent encore exécutés, essentiellement des soldats pour « manquement au devoir », « mutinerie » ou « désertion »… mais aucun « traître » –pas même l’emblématique nationaliste flamand August Borms– ne le fut après l’Armistice du 11 novembre 1918. Donc, dans toute l’histoire belge, en 114 ans, il n’y eut en tout et pour tout que 76 refus de grâce.

Mais à l’issue de la Deuxième Guerre, la Belgique ivre de haine battit tous ses records avec, en 6 ans seulement, 1202 condamnations à mort et 242 exécutions (dont quatre femmes, et le septuagénaire August Borms), soit plus de trois fois le nombre total de suppliciés de toute notre Histoire ! Et ce, pour avoir choisi le nouvel ordre européen et avoir pris les armes pour défendre l’Europe contre le monstre soviétique, son ennemi mortel (2)…

Les raisons de la « collaboration »

 
Sans doute est-il aujourd’hui plus que temps de refuser de faire semblant de croire que cet engagement pour une société de justice sociale relevait du crime absolu. Et de répondre, par exemple, clairement à l’hystérique Laurette Onkelinx sommant le ministre de l’Intérieur de s’expliquer sur « les raisons » que certains eurent de collaborer3 !

En effet, ces raisons, c’est le président de son propre parti socialiste, Henri De Man –un intellectuel de haut vol, lui !–, qui, dès après la défaite, le 28 juin 1940, les a données on ne peut plus explicitement dans son Manifeste aux membres du Parti:

« Ne croyez pas qu’il faille résister à l’occupant; acceptez le fait de sa victoire et essayez plutôt d’en tirer les leçons pour en faire le point de départ d’un nouveau progrès social. La guerre a amené la débâcle du régime parlementaire et de la ploutocratie capitaliste dans les soi-disant démocraties. Pour les classes laborieuses et pour le socialisme, cet effondrement d'un monde décrépit, loin d'être un désastre, est une délivrance. […] la voie est libre pour les deux causes qui résument les aspirations du peuple: la paix européenne et la justice sociale. La paix n’a pas pu sortir de la libre entente des nations souveraines et des impérialismes rivaux: elle pourra sortir d’une Europe unifiée par les armes, où les frontières économiques auront été nivelées. La justice sociale n’a pas pu sortir d’un régime se disant démocratique, mais où, en réalité, régnaient les puissances d’argent et les politiciens professionnels […].

Pendant des années, le bourrage de crâne des bellicistes vous a caché que ce régime [national-socialiste] avait réduit les différences de classes bien plus efficacement que les prétendues démocraties, où le capital continuait à faire la loi […]. Dans ce monde [national-socialiste], l’esprit de communauté prévaudra sur l’égoïsme de classe et le travail sera la seule source de la dignité et du pouvoir. L’ordre socialiste s’y réalisera, non point comme la chose d’une classe ou d’un parti, mais comme le bien de tous, sous le signe d’une solidarité nationale qui sera bientôt continentale, sinon mondiale. […] Préparez-vous à entrer dans les cadres d’un mouvement de résurrection nationale, qui englobera toutes les forces vives de la nation, de sa jeunesse, de ses anciens combattants, dans un parti unique, celui du peuple belge, uni par sa fidélité à son Roi et par sa volonté de réaliser la Souveraineté du Travail. »

Voilà les raisons qui ont poussé les plus purs patriotes et les meilleurs socialistes à embrasser la cause de l’Ordre Nouveau dont les réalisations économiques et sociales étaient bien visibles en Allemagne nationale-socialiste.

Quant aux raisons de l’engagement militaire aux côtés de l’Allemagne contre le communisme, c’est Léon Degrelle, le plus pur patriote et le meilleur socialiste, qui en a expliqué la logique:

« En 1940, nous étions des vaincus, notre roi était un roi prisonnier.
En 1941, soudainement [avec la guerre contre les Soviets], l’occasion nous était offerte de devenir les compagnons et les égaux des vainqueurs. Tout dépendrait de notre courage. Nous avions enfin la possibilité de conquérir la position de prestige qui permettrait, au jour de la réorganisation de l’Europe, de parler, la tête haute, au nom de nos héros, au nom de nos morts, au nom du peuple qui avait offert ce sang. En courant au combat dans les steppes de l’Est, nous avons voulu faire notre devoir d’Européens et de chrétiens. Mais, nous le disons ouvertement, nous l’avons proclamé haut et clair dès le premier jour, nous avons fait, avant tout, ce don de notre jeunesse, pour garantir l’avenir de notre peuple au sein de l’Europe sauvée. C’est pour lui, d’abord, que plusieurs milliers de nos camarades sont tombés. C’est pour lui que des milliers d’hommes ont lutté, lutté pendant quatre ans, souffert pendant quatre ans, soutenus par cette espérance, poussés par cette volonté, fortifiés par la certitude qu’ils allaient arriver au but. » (La Campagne de Russie, p. 14)

Parallélisme 1945-2015 ?

 
Est-il possible d’établir un rapport entre la folie de la répression de 1945 et l’attitude des dirigeants européens actuels ?
Sans aucun doute, car c’est la même idéologie égalitaire qui inspira la « justice » française et belge ou le « Tribunal militaire international » (4) de Nuremberg dans leur vengeance contre ceux qui voulurent rassembler les nations européennes en un ensemble organique libéré de la tyrannie de l’or et de la spéculation. C’est cette idéologie qui a voulu faire, de l’individu épanoui par et pour sa communauté, l’homme matérialiste soviétique subordonné aux impératifs économiques ou l’homme matérialiste capitaliste esclave de la société de consommation.tumblr_mjq6u12Iep1rmi22po1_1280.jpg

Aujourd’hui, même si le communisme version URSS s’est effondré, cette idéologie triomphe plus que jamais dans sa version American Way of Life, transformant les personnes en consommateurs-citoyens du monde parfaitement indifférenciés et interchangeables: voilà pourquoi nous sommes priés de croire, affirmer et répéter, entre autres inepties, d’une part, que le IIIe Reich représente le mal absolu (avec les conséquences que nous évoquions plus haut et que la loi interdit désormais de détailler) et, d’autre part en corollaire, que l’immigration est une chance pour l’Europe, que tous les hommes sont égaux et qu’au nom de cette égalité, il n’y a pas de races, pas de patrie, pas de sexe (ou de « genres »), etc.

Cette idéologie qui lobotomise les cerveaux en même temps qu’elle supprime les frontières et paralyse toute velléité d’autodéfense est l’arme principale qui a installé le pouvoir de la superpuissance américaine: n’évoquons que l’exemple emblématique de l’Allemagne qui, quasiment invincible sur les champs de bataille, héroïque sous les bombardements de terreur et capable d’endurer les plus effroyables privations, a succombé en un rien de temps à sa propagande délétère.

Au point d’être devenue le paillasson des Etats-Unis (cf. son attitude –contre ses intérêts et ceux de l’Europe– vis-à-vis de la Russie dans la crise ukrainienne) ainsi que le porte-monnaie endémique de leur allié du Moyen-Orient.

Aussi quand on voit défiler à travers la France la ribambelle de chefs d’Etats (y compris l’émir du Qatar ! y compris le massacreur de Gaza !...) et les millions de charlots pour honorer la plus obscène des publications qu’aucun n’oserait jamais montrer à ses enfants, on se prend à penser que tout est foutu… et à espérer avec Léon Degrelle que, de l’écroulement de l’URSS, surgisse bientôt « un jeune Bonaparte pour galvaniser la plus grande nation blanche qui soit encore décidée à agir sur l’histoire » !

***


(1) Voici la liste des auteurs révisionnistes que nous savons toujours emprisonnés en février 2015: Wolfgang Fröhlich (63 ans) incarcéré en Autriche depuis août 2007 pour 8 ans; Gerd Ittner (56 ans) incarcéré en Allemagne depuis septembre 2012 pour 2 ans et 9 mois, mais toujours en détention préventive en attente d’un nouveau procès prévu en février 2015; Horst Mahler (78 ans) incarcéré en Allemagne depuis février 2009 pour 12 ans et 11 mois; Axel Möller (49 ans) incarcéré en Allemagne depuis décembre 2011 pour 3 ans et 6 mois. À l’heure où nous écrivons ces lignes, nous ne savons pas encore si nous devons également comptabiliser Vincent Reynouard (46 ans) parmi les incarcérés car, condamné le 11 février dernier à deux ans de prison ferme par le tribunal correctionnel de Coutances (France), il a interjeté appel. Comme vous pouvez le constater, contrairement à ce qui est prévu pour les criminels de sang, il ne semble pas exister de remise de peine pour les révisionnistes.

(2) Contre les légionnaires, le principal chef d’accusation fut « Avoir porté les armes contre la Belgique et ses Alliés ». En fait, jamais il ne leur vint à l’idée de « porter les armes contre la Belgique » et le seul « allié » contre lequel ils s’engagèrent fut l’Armée rouge bolchevique et ses partisans camouflés. Jusque-là, l’URSS, alliée de l’Allemagne, s’était, tout autant qu’elle, rendue coupable d’agression contre la Pologne dont elle annexa la moitié du territoire en 1939 (et la totalité en 1945 !): Britanniques et Français, déclenchant le conflit mondial pour « sauver » les Polonais, n’adressèrent pourtant leur déclaration de guerre qu’au seul Reich. Cherchez l’erreur…

(3) En exécutant ce numéro de justicière névrosée, Mme Onkelinx n’hésite ainsi pas à cracher sur la mémoire de sa propre grand-mère Simone qui, à en croire Ubu-Pan du 18 décembre 2014, tenait à Ougrée un café acquis à l’Ordre nouveau et aurait été tondue à la « Libération » !

(4) Voici comment le Professeur Robert Faurisson présente ce « tribunal »:
« […] le Tribunal militaire international de Nuremberg (trois mensonges en trois mots). Renseignez-vous sur la gredinerie de ce tribunal: 1) qui était juge et partie; 2) qui, dans les articles 19 et 21 de son statut, spécifiait qu'il ne serait pas lié par les règles techniques relatives à l'administration des preuves et qu'il n'exigerait pas que soit rapportée la preuve de faits de notoriété publique mais les tiendrait pour acquis; 3) qui refusait aux condamnés toute possibilité d'appel; 4) qui instituait le principe de responsabilité collective et celui de culpabilité d'office; 5) qui a considéré comme preuves authentiques tant de documents et rapports qui, par la suite, se sont révélés faux comme cela s'est trouvé être le cas pour les quatre millions d'Auschwitz, pour les chambres à vapeur de Treblinka, pour les six millions attribués par le tribunal lui-même à Eichmann, pour le crime de Katyn attribué aux Allemands (non mentionné dans le jugement); 6) qui n'était en rien "international" mais "interallié"; 7) qui n'avait de militaire que les deux juges soviétiques dont l'un, Nikitchenko, avait été procureur aux abominables "procès de Moscou"; 8) qui n'était que "la continuation de l'effort de guerre des Alliés" (procureur Jackson, organisateur, dixit), etc., etc., etc. » (réaction à la condamnation de Vincent Reynouard, le 12 février 2015).

Les commentaires sont fermés.