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  • In Memoriam Léon-Marie Degrelle. Il y a 58 ans, le 22 février 1958, Léon Degrelle perdait son seul fils.

     

    C’est le 22 février 1958, voilà 58 ans, que Léon Degrelle perdait son seul fils, Léon-Marie, né le 4 mai 1939, décédé à Séville, dans un accident de la route. Nous reproduisons l’article du journal Le Peuple Réel de mars 1958.

     

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  • "Rodéo à Tcherkassy" par Georges Thonon.

     

    Novo-Buda est orienté nord-sud.

    Il avait été pris par les Russes lors de l'encerclement de Tcherkassy en février 1944. Pour dégager la sortie, il fallait reprendre Novo-Buda.

    La localité fut reprise de nuit et les premières lignes prises à l'arme blanche par le 103e régiment de la 72e Division d'infanterie. La vague d'assaut pénétra rapidement au cœur du village où le restant des troupes russes surprises en pleine nuit se défendit en un combat âpre mais désordonné. Nous devions assurer la relève des troupes de Kastner qui avaient pris le village. Une période de dégel brusque avait transformé le sol en marécage avec 30 centimètres de boue sur fond de sol gelé et glissant. Nous sommes montés de nuit en pataugeant vers ce charmant Eden, dans l'obscurité du treize février naissant. La Sturmbrigade était réduite à un très maigre bataillon, à l'armement et aux munitions réduites par les combats précédents qui s'étaient succédé sans interruption.

    Le cercle s'était réduit autour de nous, la situation semblait sans issue et l'endroit sentait furieusement la mort. Les soldats que nous relevions étaient nerveux et pressés de partir comme s'ils pressentaient la tornade. Vers le sud, en direction de Morency, on entendait un grondement de moteurs qui allait grandissant... 

     

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  • Bergeron n’a pas raison : Tintin-Degrelle, c’est pas du bidon !

    Le 8 octobre 2015, l’hebdomadaire Rivarol publiait une interview de Francis Bergeron par Robert Spieler sous le titre « La géopolitique de Tintin, de son père Hergé, de leur confesseur [sic], l’abbé Wallez, passée au crible », à propos de son nouvel essai Hergé, le voyageur immobile. Dans cette interview, l’auteur, spécialiste du « politiquement correct », remettait à nouveau en question la réalité du rôle de modèle physique, moral et politique joué par Léon Degrelle dans la conception par Hergé de son héros Tintin.

    Une réponse relativement brève a été immédiatement envoyée à Rivarol.

    Sans réaction de sa part après tant de semaines, nous supposons bien que la rédaction ne compte y donner aucune suite, estimant peut-être le sujet sans grande importance. Nous le regrettons d’autant plus que, ce faisant, l’hebdomadaire de l’opposition nationale et européenne pourrait donner à penser qu’il n’agit pas autrement que tous ceux qu’à bon droit, il dénonce pour leur peu de cas manifesté pour la vérité historique.

    Nous n’avons donc d’autre possibilité pour rectifier l’affront fait à Léon Degrelle, mais aussi à Hergé qui toujours se montra fidèle –même dans la discrétion– à ses engagements idéologiques, que de publier cette réponse circonstanciée par la voie d’Internet.

    Se réclamant des « tintinophiles nationalistes » (Rivarol, 8 octobre 2015, p. 11), Francis Bergeron compte parmi les rares spécialistes de Hergé n’appartenant pas à la mouvance de la dictatoriale Fondation Hergé. Il n’empêche qu’à propos des origines de Tintin, il se rapproche curieusement des thèses « négationnistes » de celle-ci à propos de l’influence –pourtant déterminante– de Léon Degrelle sur le créateur du futur héros des « jeunes de 7 à 77 ans ».

    Aussi, si dans notre titre, nous pastichons le fameux slogan célébrant le Professeur Robert Faurisson, c’est qu’il est des évidences qui ont bien des difficultés à se faire admettre, même parmi ceux qui devraient se réjouir de la bonne nouvelle de la constance idéologique de Hergé à travers tous les aléas de sa vie et de son absolue fidélité en amitié, toutes deux abondamment illustrées par sa relation à Léon Degrelle [1].

    Contrairement aux « révisionnistes » qui, s’en tenant scrupuleusement aux faits vérifiables et vérifiés et analysant rigoureusement les textes et témoignages, ont débarrassé de leurs mythes et affabulations l’histoire écrite par les vainqueurs de 1945, obligeant ceux-ci à concevoir des lois liberticides pour les protéger, l’auteur du Dictionnaire commenté de livres politiquement incorrects, par sa lecture entachée de partis pris, n’aboutit qu’à un résultat devant réjouir les biographes politiquement corrects d’un Hergé incolore, inodore et insipide.

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