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frédéric chatillon

  • « Degrelle nous a donné envie de nous battre » titre le quotidien flamand De Standaard

    Dans sa série d’articles censés éclairer les prochaines élections présidentielles françaises, De Standaard évoquait à nouveau, ce 12 avril,… Léon Degrelle !

    Las… c’était pour mieux étriller « Les néo-nazis autour de Le Pen ».

     

    Standaard 12 avril.jpgDans cet article, il n’est question que de Frédéric Chatillon et Axel Lousteau, deux amis proches de la présidente du Front National, Marine Le Pen, mais qui ont le tort de s’épancher sur les réseaux sociaux à coups de lourdes blagues sur les juifs, de commentaires émus sur l’anniversaire du Führer ou de photos osées de réalisations culinaires, telle cette assiette de riz disposé en croix gammée… Il ne s’agit là aucunement d’humour, même mal placé, mais bien d’authentiques crimes contre l’humanité ! De quoi les précipiter sans autre forme de procès dans les bûchers inquisitoriaux du politiquement correct !

     

    Alors, si en plus, ces deux malencontreux loustics ont eu le malheur de rencontrer Léon Degrelle en personne, voilà qui ne peut qu’aggraver leur cas si faire se peut, et valoir à Marine Le Pen l’ostracisme universel !

    Nous ne vous avons traduit que ce court (et unique) passage où le correspondant du Standaard à Paris, un certain Ruud Goossens (rudement gaucho !), évoque Léon Degrelle.


    « En 2009, la RTBF diffusait un documentaire fascinant sur Léon Degrelle. Le fasciste wallon qui enregistra, en 1936, un grand succès électoral avec son parti Rex, s’engagea plus tard dans la Waffen-SS et demeura jusqu’à sa mort en 1994 un ardent défenseur d’Adolf Hitler. Dans le reportage apparaissent des images d’une visite que quelques étudiants français effectuèrent en 1992 chez Degrelle, dans sa terre d’exil de Malaga. Un de ces jeunes, Axel Lousteau, demande à un certain moment à Degrelle de lui signer un livre : “Mon Général, c’est un très grand honneur”. Un autre visiteur présent est disposé, dix-sept ans plus tard, à partager ses souvenirs. “Tout le monde, dans nos milieux, voulait rencontrer Degrelle”, raconte Frédéric Chatillon en 2009. “Il nous a donné l’envie de nous battre, de lutter pour nos idées”»

     

    On le voit : ces gens ne méritent pas de vivre ! Ni surtout Marine Le Pen qui les tolère toujours dans son entourage sous prétexte qu’elle peut « toujours compter sur eux, face au monde entier s'il le fallait » !

     

    Nous, tout ce qu’on lui souhaite, c’est de faire comme Léon Degrelle en 1936 et d’engranger un formidable succès électoral le 23 avril prochain. Et mieux encore, en devenant la première femme présidente de la République, le 7 mai suivant !

     

    Alors, peut-être la France pourra-t-elle se libérer du vivrensemble suicidaire et de la paralysie du padamalgame, et renouer avec son histoire pour reprendre son destin en main… respirer enfin !