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In Memoriam - Page 3

  • Cercle des Amis de Léon Degrelle

    Hommage à Fernand Kaisergruber

     

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    C’est avec émotion que nous avons reçu la 29e Correspondance privée du Cercle des Amis de Léon Degrelle « dédiée à notre Ami Fernand Kaisergruber qui nous a quittés en mars dernier ». En effet, comme souligné dans l’In Memoriam qui lui est consacré, « Fernand Kaisergruber nous avait aidés à créer notre Cercle et en était un des membres d’Honneur. »

     

    Comme d’habitude, le Cercle passe en revue toutes les publications concernant, de près ou de loin, Léon Degrelle. Et, comme d’habitude, il force notre admiration par l’incroyable richesse de ses informations.

     

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    C’est ainsi qu’il ne manque pas de signaler la diffusion par France 3, en avril dernier, du documentaire Dans la tête des SS au cours duquel notre cher Fernand avait encore pu être interviewé :

    « Dans la tête des SS, film documentaire de Serge de Sampigny a été donné par France 3, le 4 avril 2018, en première partie de soirée. Composé d’images d’archives parfois rares, dont des vidéos amateurs, le film retrace l’histoire de l’organisation, conçue en 1925, au départ pour assurer la protection de Hitler, tout en donnant la parole aux anciens – une vingtaine !– qui, pour beaucoup, ne regrettent et ne renient rien. Parmi les anciens, on retrouve Fernand Kaisergruber et Herbert von Mildenburg, vétéran de la 6. SS-Gebirgs-Division “Nord” qui, face à la caméra, n’hésite pas à évoquer Adolf Hitler en le désignant comme “l’homme de sa vie”, et considère Heinrich Himmler comme “un homme propre qui voulait le meilleur pour le peuple allemand”. » (Ce film peut toujours se visionner sur YouTube ou Dailymotion).

     

    LD Grec 1.jpgA propos de Heinrich Himmler justement, le Cercle nous apprend la parution aux Editions du Lore de la traduction française d’un de ses principaux écrits, Die Schutzstaffel als antibolschewistische Kampforganisation, publié en 1936 à Munich par le Zentralverlag de la NSDAP, sous le titre La SS, organisation de combat antibolchevique (12 € franco de port, disponible à l’adresse du Cercle des Amis de Léon Degrelle).

     
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    Enfin, nous ne pouvons passer sous silence l’annonce de la publication, en grec, de La Campagne de Russie (Εκστρατεία προς Ανατολάς, 21€ + frais de port, consulter : https://neageneabooks.gr/product/leon-degrelle-ekstrateia-pros-anatolas/) et de Hitler pour 1000 ans (Χίτλερ για χίλια χρόνια, 14,40€ + frais de port, consulter : https://www.skroutz.gr/books/14390806.chitler-gia-1000-chronia.html), ainsi que, en tchèque, de celle des Âmes qui brûlent (Planoucí duše, 8€ + frais de port, consulter : https://www.protiprudu.org/produkt/planouci-duse/).

     

    L’adhésion au Cercle (24 euros) et l’achat de nombreux « Degrelliana » ainsi que d’ouvrages souvent introuvables ailleurs se font sur www.boutique-nationaliste.com.

     

  • 112e Anniversaire de Léon Degrelle

    15 juin 1906 – 15 juin 2018

     

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    Plus le temps passe et plus les historiens de cour se croient autorisés à raconter n’importe quoi sur ceux qui n’appartinrent pas au « bon » camp à l’issue de la Deuxième Guerre mondiale. Intoxiquant d’ailleurs au passage (mais n’est-ce pas le but ?) les « amateurs » incapables de critique historique et se contentant des seules sources officielles qui leur sont facilement accessibles…

     

    Aussi notre blog « Dernier Carré » de défense de l’honneur et de l’action des Anciens de la Légion « Wallonie » et de leur Chef Léon Degrelle ne manque-t-il pas d’ouvrage pour remettre les pendules à l’heure, se profilant ainsi progressivement sinon comme la seule, en tout cas comme la meilleure source d’informations fiables sur tout ce qui concerne leur véritable destin !

     

    Aujourd’hui qu’il est de bon ton de railler l’amitié et la considération dont jouissait Léon Degrelle auprès du Führer ainsi que de ses camarades allemands, il nous a semblé opportun de donner la parole à un jeune volontaire allemand de la Waffen-SS, Franz Schönhuber, engagé en 1942, à 19 ans, dans la prestigieuse Leibstandarte Adolf Hitler.

     

    Franz Schönhuber nous est surtout connu par son parcours politique d’après-guerre. Longtemps journaliste tant pour des journaux et magazines munichois que pour la radio bavaroise ainsi que président de la fédération des journalistes de Bavière, Franz Schönhuber est en effet un des fondateurs du parti nationaliste Die Republikaner qu’il présida avec succès jusqu’en 1990. Elu député européen, il devint vice-président du Groupe technique des droites européennes, se liant d’une profonde amitié avec Jean-Marie Le Pen.

     

    Quelques mois avant son décès, le 27 novembre 2005, il organisa encore une formidable manifestation de la Droite nationale à Dresde pour commémorer le soixantième anniversaire du bombardement criminel de la ville par les escadres terroristes anglo-américaines exterminant quelque 305.000 civils, –habitants et réfugiés (chiffre de la Croix-Rouge).

     

    léon degrelleDénonçant la haine de soi allemande, Franz Schönhuber est l’auteur d’un livre de souvenirs Ich war dabei (« J’y étais », 1982) où il évoque avec pertinence qui fut Léon Degrelle aux côtés des Allemands, n’hésitant pas à lui consacrer également deux pages de photographies.

     

    « C’est en rencontrant cette jeune Flamande que, pour la première fois, j’ai pu en apprendre davantage sur le chef des Waffen-SS wallons, le légendaire Léon Degrelle. A l’époque, en Belgique, Wallons et Flamands se regardaient en chiens de faïence (c’est d’ailleurs actuellement de nouveau le cas). Pourtant, cette belle Flamande tranquille admirait et, je le pense bien, aimait en secret le dieu de la guerre wallon. Mais il faut que je dise quelques mots à propos de Degrelle.

     

    C’est littéralement de combat en combat qu’il gagna ses galons, de simple soldat jusqu’à Commandeur de division. Blessé six fois, il obtint les plus hautes décorations de tous les volontaires européens. Hitler a dit de lui que, s’il avait un fils, il devrait être comme Degrelle.

     

    Ce Degrelle, chef du mouvement catholique rexiste, qui eut temporairement une grande influence avant la guerre, n’était pas seulement brave, il était aussi profondément croyant. Il allait même à la messe dans les villages de Russie, au Front de l’Est. L’ancien chef de l’association des étudiants catholiques de Louvain se trouvait là, comme un frère dans le Christ, parmi les “Untermenschen” du pays…

     

    léon degrelle

     

    J’ai pu voir Degrelle par la suite à Wildflecken quand j’étais instructeur chez les Français de la “Charlemagne” : un homme de grande séduction, pourvu de talents d’orateur fascinants. » (p. 97)

     

    « Un jour, le prototype même du soldat chrétien à la Waffen-SS, Léon Degrelle, vint à Wildflecken. On aurait dit le dieu de la guerre en personne : un orateur flamboyant, couvert de décorations, dans une attitude de dignité rayonnante de jeunesse. Je compris alors l’enthousiasme romantique de mon infirmière flamande de Velden am Wörtersee. Elle n’était sûrement pas la seule dans ce cas. De nombreux volontaires de la “Charlemagne” furent pris d’un tel enthousiasme pour le Chef des Wallons qu’ils disparurent de Wildflecken pour s’engager dans les rangs de la Division “Wallonie”. Certains réussirent, d’autres furent repris et sévèrement punis. » (p. 131)

     

    « Mon chapitre “Charlemagne” se refermera par cette évocation d’un voyage dans le passé que je fis récemment en me rendant à Wildflecken. […] A Bad Brückenau, seuls de rares passants d’un certain âge se rappelaient encore les Français. Certains d’entre eux, confondaient d’ailleurs les membres de la “Charlemagne” avec les Wallons. Le seul nom qu’un habitant connaissait encore était celui de Léon Degrelle… » (p. 333)

      

    léon degrelle« Dans les derniers jours de l’effondrement du Reich, il parvint à atteindre la Norvège et put utiliser l’avion mis par les Allemands à la disposition de Quisling. Celui-ci refusa de s’en aller et il fut exécuté par la suite, comme chacun sait.

     

    Le pilote de l’avion réussit la traversée aventureuse de la moitié de l’Europe. C’est littéralement avec ses dernières gouttes d’essence qu’il atteignit l’Espagne en faisant un atterrissage forcé sur la plage de San Sébastian. Degrelle parvint à s’extraire des débris de l’avion, avec de multiples fractures aux jambes. Il se rendit aux autorités espagnoles. Il s’en était encore tiré !

     

    Condamné à mort par contumace en Belgique, il ne fut cependant pas extradé. [...] Parfois, il revêt son ancien uniforme avec toutes ses décorations. Et il reçoit des jeunes gens venus de Belgique par vols charter pour le voir. Pour des jeunes Belges assez nombreux, il reste le “héros de la guerre”.

     

    léon degrelle

     

    Que le lecteur veille excuser cette digression, mais Degrelle est un personnage-clef des volontaires de la Waffen-SS. » (p. 98)

     

    « Dans son livre Hitler pour 1000 ans, Léon Degrelle décrit comme suit, rétrospectivement, l’espoir qui animait les volontaires étrangers :

    C’est plein de méfiance et bourrés de complexes qu’ils s’engagèrent pour le front russe. Les Allemands avaient envahi notre pays. Nous n’avions donc aucune raison de les aimer tendrement. Certains Allemands, à Berlin et dans les pays occupés, nous irritaient par leurs airs de maîtres hautains et arrogants. L’Europe que nous voulions ne pouvait pas être réalisée comme eux, ils le voulaient, c’est-à-dire au garde-à-vous, avec le doigt sur la couture du pantalon, devant un quelconque Generaloberst ou Gauleiter. Elle ne pouvait être réalisée que dans l’égalité, sans qu’un pays trop puissant impose une discipline de cour de caserne à des étrangers de deuxième classe. L’Europe dans l’égalité, sinon pas d’Europe !”

    Il avait bien observé la situation. » (p. 100)

     

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  • Hommage à Fernand Kaisergruber

     

    La Famille vous remercie

     

     

     

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    A tous ceux qui ont rendu hommage à Fernand Kaisergruber, qui nous ont écrit, à ceux dont nous n'avions pas les adresses ou que nous aurions pu oublier : la famille tient à vous remercier pour toutes les marques de sympathie et les mots de soutien que vous lui avez adressés.

     

    Le malheur de l'avoir perdu ne doit pas faire oublier le bonheur de l'avoir connu.

     

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  • 31 mars 1994 – 31 mars 2018 : 24e Anniversaire de la disparition de Léon Degrelle

     

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    Le Jeudi Saint 31 mars 1994, à 23h15, à l’Hôpital Parque San Antonio, de Malaga, s’éteignait Don León José de Ramirez y Reina, permettant à Léon Degrelle de vivre dans l’éternité.

     

    Qu’était la mort pour Léon Degrelle qui, toujours, fut animé de l’insatiable joie de vivre propre à la jeunesse ?

     

    « La jeunesse veut vivre. Mais mourir, c’est aussi vivre quand on meurt noblement, quand on projette sa vie en la donnant. Tandis que vivre mochement, c’est mourir, mourir chaque jour, mourir dès le premier jour. »

     

    En ce jour d’hommage à celui qu’Adolf Hitler se plut à reconnaître comme son fils, qu’il tint à décorer personnellement des plus hautes distinctions militaires, qu’il reconnut comme Volksführer des territoires belges libérés et désigna comme premier Chancelier de la nouvelle Bourgogne, intéressons-nous au sens qu’il voulut donner à sa vie, à ce qu’il reconnaissait comme le moteur d’une vie méritant d’être vécue : le service des autres pouvant aller jusqu’au sacrifice, l’apostolat pour élever l’homme vers le bien et le beau, la révolution des âmes pour libérer les hommes du matérialisme et les élever jusqu’aux joies d’une vie embrasée par la foi.

     

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  • Honneur et Fidélité : Adieu à Fernand Kaisergruber

    C'est sous un crachin au diapason de notre désolation qu'ont été célébrées, ce jeudi 22 mars, au cimetière d'Uccle, les funérailles de Fernand Kaisergruber.

    Quelque cent cinquante personnes étaient présentes pour accompagner la famille et lui rendre un peu de l'amitié que nous prodigua sans jamais compter Fernand.

     

    Des témoignages lus avec émotion par sa fille cadette et ses petits-enfants, nous retiendrons surtout la bienveillance et la compréhension qui caractérisaient son amour pour chacun des siens, de même que son souci de les encourager toujours à épanouir leur véritable personnalité dans le souci du bien et du beau. Pour une vie accomplie dans l'honneur parce que vécue dans la fidélité aux vraies valeurs.

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  • Fernand Kaisergruber raconte...

     

    Mon honneur s'appelle fidélité

     

    Voilà déjà quatre jours que Fernand nous a quittés. Ses sobres funérailles seront célébrées demain midi. Sans l'apparat de l'institution catholique (qu'il avait définitivement associée à la plus vile hypocrisie), mais avec le cérémonial –drapeaux et chants– qu'il avait souhaité pour rappeler son indéfectible fidélité à l'idéal de grandeur et de justice qu'il avait choisi de servir dans l'honneur.

    Cet idéal solaire se fracassa face à la brutalité des forces matérielles des coalisés capitalistes et communistes qui surent briser les hommes en anéantissant leurs patries en même temps que leurs familles. Mais cet idéal se maintint toujours dans le cœur des survivants et de tous ceux qui purent les connaître et les apprécier, en recherche de vérité historique comme de justice sociale.

    Voici comment Fernand Kaisergruber raconta les derniers moments de sa vie militaire, qui, à l'époque comme aujourd'hui, a été et est toujours considérée sans appel possible comme un crime inexpiable...

     

    9 FKBaibusy.jpgDans une clairière, nous découvrons une maison de garde-barrière en bordure d'une petite voie ferrée et décidons d'y passer la nuit. Elle est habitée et déjà une bonne demi-douzaine d'autres soldats y ont trouvé refuge aussi.

     

    L'habitant des lieux est un homme âgé, commis à la garde des voies. Ancien combattant de 14-18, il y a perdu une jambe. Nous avons pris place parmi les autres soldats et cassons la croûte, assis à même le sol, en attendant la nuit. Pendant ce temps-là, l'hôte nous parle de la guerre, de celle-ci mais aussi de l'autre, lorsque la radio lance un communiqué.

     

    C'est l'annonce de la mort d'Hitler, la capitulation de Berlin et, je crois me souvenir, aussi le message très digne du Grand-Amiral Dönitz, successeur d'Hitler.

     

    Les larmes qui coulent doucement sur le visage ridé de notre hôte et le contenu du message nous bouleversent autant les uns que les autres ! L'homme a éteint le poste et s'est assis parmi nous. Il s'efforce de contenir discrètement les sanglots qui le secouent. Tout le monde s'est tu, personne n'a le goût de parler. Le silence est lourd. [...]

     

    Tant d'années d'efforts, de peines, de sang... Un bilan impossible, car ce ne peut être simplement un assemblage de colonnes de chiffres, des statistiques avec autant de morts, de disparus, de blessés et infirmes ! On ne peut chiffrer toutes les souffrances individuelles, jour après jour et heure par heure.

     

    Je songe à tant de blessés qui n'ont pu être secourus et sont morts tout seuls. Ce sont toutes ces souffrances et détresses vécues dans la solitude souvent qu'il y a lieu de multiplier par autant de millions. Il y a ceux qui ont été blessés deux fois, trois fois ou davantage, ce qui implique qu'à chaque fois, ils sont retournés au front. Il faut faire la somme de toutes les souffrances de chaque individu en particulier pour comprendre l'ampleur des sacrifices de toute une jeunesse, mais aussi des plus vieux dans les derniers mois de la guerre, car tous furent mis à contribution à ce moment-là. Et c'est vrai de part et d'autre, car pas plus chez l'adversaire, ce ne sont pas ceux qui font les guerres qui les déclarent.

     

    Et je ne dis pas cela pour moi, pour nous qui étions volontaires et qui l'assumions en toute connaissance de cause, non pour le plaisir de faire la guerre, qui me répugne comme à tout le monde, mais parce que nous avions estimé qu'en étant arrivé là, il n'était pas possible d'attendre paisiblement la fin, plus ou moins à l'abri, sans avoir le courage d'aller défendre là où il y avait lieu, les valeurs qui étaient les nôtres et nous étaient précieuses.

     

    Nous n'irons pas à Touapse. Du Donetz au Caucase. De Tcherkassy à l'Oder, p. 288 (édition à compte d'auteur, 1991. Cette édition est épuisée : une réédition est prévue. Une édition en anglais est disponible aux Editions Helion & Company).

     

  • In Memoriam Fernand Kaisergruber: 18 janvier 1923 – 16 mars 2018

    0b Fernand.jpgDepuis ce matin du 16 mars, toute notre grande famille du Dernier Carré est sous le choc du décès de son président Fernand Kaisergruber, emporté, à 95 ans, par les suites d'une pneumonie diagnostiquée dans la nuit du 4 au 5 mars dernier.

     

    C'est après la disparition de son chef Léon Degrelle, le 31 mars 1994, que Fernand, soucieux de la transmission auprès des jeunes générations de l'idéal qui enflamma toute la jeunesse européenne, décida de relancer une association de soutien aux anciens Volontaires du Front de l'Est : le « Dernier Carré ». Rassemblant la communauté des Anciens, de leur famille et de leurs amis dans le but d'aider matériellement et moralement les Anciens et leurs veuves, le Dernier Carré s'est également donné pour mission, sous l'impulsion opiniâtre de Fernand, d'entretenir les lieux de souvenir de nos héros (ainsi du monument aux Morts de la Légion érigé en Estonie) et de défendre bec et ongles la mémoire du dernier Commandeur de la Brigade Wallonie, Léon Degrelle, par ses publications et ses « blogs » sur Internet.

     

     

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  • In Memoriam André Van Hecke

    André Van Hecke

    Veuf de Jeanine Colson,

    né le 6 octobre 1923, à Assebroek et

    décédé à Dworp, le 21 décembre 2017.

     

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     C’est avec émotion que nous vous annonçons que notre cher Camarade flamand André Van Hecke a rejoint la lumière de son idéal solaire en ce Solstice d’Hiver 2017, promesse de renouveau et réveil des énergies.

     

     Par sa totale imperméabilité au découragement et au fatalisme, la vie d’André Van Hecke fut une parfaite illustration de la devise de Guillaume d’Orange-Nassau, dit le Taciturne, père des Pays-Bas modernes libérés de l’obscurantisme religieux espagnol ayant ruiné l’héritage bourguignon de Charles-Quint, «Il n’est pas besoin d’espérer pour entreprendre ni de réussir pour persévérer».

     

     Membre fondateur du Sint-Maartensfonds, puis de l’association Hertog Jan van Brabant, destinés à venir en aide aux anciens combattants du Front de l’Est, André Van Hecke, lui-même ancien volontaire de la croisade antibolchevique condamné par les tribunaux de l’ «épuration démocratique», fut également l’éditeur de la revue bimestrielle Periodiek Contact qui, de 1984 à 2003, avec l’aide précieuse de son épouse Jeanine Colson, fut un important vecteur de la «Nouvelle Droite» en Flandre, tout en maintenant intact l’esprit «frontiste».

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     andré van heckeInterviewé par le magazine pour téléspectateurs Humo en 2004, André Van Hecke stupéfia ses interrogateurs en ne reniant rien de ses engagements, à l’instar d’ailleurs de Léon Degrelle avec qui il entretint une correspondance suivie et qu’il aida financièrement pour quelques-unes de ses publications. La proximité d'André Van Hecke avec celui qui eût été le premier Chancelier de la nouvelle Bourgogne ressuscitant et agrandissant les Pays-Bas bourguignons de Charles-Quint se mesure au tutoiement que -fait rarissime- Léon Degrelle utilisait avec lui. 

     

     Quelques extraits de cette interview pour saluer sa mémoire :

    «Je suis heureux de m’être engagé dans la Waffen-SS à l’âge de 18 ans. Cela m’a ouvert à de nouvelles idées : j’ai appris à prendre ma propre vie en mains. Je ne regrette absolument pas mes choix d’alors. Je ne regrette qu’une seule chose, c’est que nous ayons perdu la guerre. Bien sûr que nous fêtons le 20 avril ! Nous pensons toujours à Adolf Hitler. Il fut notre chef, notre commandant suprême, le premier concepteur de l’idée nationale-socialiste

     

    andré van hecke

    andré van hecke

  • 8 août 1941 – 8 août 2017: 76e anniversaire de la création de la Légion Wallonie par Léon Degrelle

    Le Message du Chef : « Que soient balayées les forces de mort qui ont failli tuer la Patrie et qui ricanent, sans doute, devant votre immolation ! Notre Pays sera aux hommes à l'âme rude qui auront, face à la mort, fait la preuve de la grandeur de leur idéal. »

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    Voilà aujourd'hui 76 ans que Léon Degrelle inaugura solennellement au Palais des Beaux-Arts de Bruxelles la Légion Wallonie par une harangue exaltant les plus hautes valeurs morales justifiant la nécessité réfléchie du sacrifice même de sa propre vie.

    Seul fondateur, car seul initiateur de cette démarche historique, Léon Degrelle est –comme nous l'avons montré (voir ce blog aux 9 et 16 juillet 2017)– le seul vrai père de la Légion Wallonie, contrairement aux fariboles du soi-disant encyclopédiste De Bruyne prétendant au mépris de toute vraisemblance que le lieutenant général des Formations de Combat, Fernand Rouleau, aurait mis Léon Degrelle et tout l'état-major de Rex devant le fait accompli, obligeant son chef à sauter dans le train en marche de la collaboration militaire pour ne pas perdre la face !

    Nous reproduisons ci-après le discours fondateur de la Légion Wallonie, tel que Léon Degrelle le prononça au Palais des Beaux-Arts à destination des Légionnaires sacrifiant vie familiale et professionnelle pour répondre à l'appel de leur idéal et engager leur destin dans les combats du Front de l'Est qu'ils savaient titanesques et cruels, mais décisifs.

    Tout le monde pourra vérifier qu'il ne s'agit plus ici, contrairement aux élucubrations insanes de De Bruyne, de forfanterie, d'ambition personnelle ou de lutte partisane pour quelque prébende ou préséance, mais bien du don total de sa vie pour une cause qui la dépasse, la mérite et l'exige : la croisade contre le communisme menaçant d'anéantissement l'Europe et sa civilisation !

    Ce discours de vérité rappelant clairement à chacun les enjeux et les risques librement encourus fut publié dans Le Pays réel du 9 août 1941. Le lendemain, le quotidien rexiste publia un émouvant éditorial de l'épouse de Léon Degrelle, Marie-Paule Lemay, destiné « A celles qui restent... », d'une même élévation spirituelle, manifestant une totale communion d'âme et ne permettant pas de douter un seul instant de la qualité insigne de l'engagement sacrificiel consenti par tous les Volontaires de cette Croisade antibolchevique ainsi que par leurs proches.

     

     

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