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In Memoriam - Page 5

  • In Memoriam Léon-Marie Degrelle. Il y a 58 ans, le 22 février 1958, Léon Degrelle perdait son seul fils.

     

    C’est le 22 février 1958, voilà 58 ans, que Léon Degrelle perdait son seul fils, Léon-Marie, né le 4 mai 1939, décédé à Séville, dans un accident de la route. Nous reproduisons l’article du journal Le Peuple Réel de mars 1958.

     

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  • Léon Degrelle-Hergé, même combat!

    Toujours dans le cadre du vingtième anniversaire de la disparition de Léon Degrelle, Synthèse nationale a publié, dans son numéro 36, un article décisif sur les relations inaltérables qui ont existé depuis leur première rencontre entre Hergé, le créateur de Tintin, et celui qui en fut l’inspirateur, Léon Degrelle.


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    orsqu’en 2000 parut le livre posthume de Léon Degrelle Tintin mon copain, ouvrage autobiographique centré sur son amitié privilégiée avec Georges Remi, tous les médias hurlèrent à l’imposture et au mensonge, certains affirmant même que ces mémoires étaient purement et simplement apocryphes. L’authenticité de l’ouvrage, attestée par la relecture du grand collectionneur hergéen Stéphane Steeman auprès de Léon Degrelle lui-même, ne faisant aucun doute, restait à confirmer la réalité des faits essentiels avancés par « Degrelle-Tintin », à savoir que Hergé s’inspira de lui non seulement pour les principaux traits physiques (la houppette et les culottes de golf – auxquelles nous ajouterions également l’ovale parfait du visage), mais surtout pour les traits moraux et spirituels, hérités du scoutisme et sublimés par l’Ordre nouveau: fidélité en amitié allant jusqu’au don de soi, lutte contre tout ce qui avilit l’homme, engagement pour une société de justice et de responsabilité…

    À l’appui de sa démonstration, l’auteur, Armand Gérard, rétablit la chronologie de l’impression décisive laissée par Léon Degrelle sur Hergé dès leur première rencontre au quotidien catholique Le Vingtième Siècle, –notamment par son engagement pour les Cristeros mexicains, bien antérieur au départ de Tintin pour régler leur compte aux Soviets–, passe en revue pour les démonter les différents « mensonges » reprochés à Degrelle –y compris Milou inspiré par le chien du Hitler de la Première Guerre mondiale– et tord le cou aux légendes selon lesquelles Hergé aurait rompu avec Degrelle en 1932 déjà, aurait manifesté son antinazisme dès Le Sceptre d’Ottokar et, après-guerre, aurait regretté ses quelques dessins « antisémites »…

    Bien plus, il s’attache à éclairer la fidélité absolue du Maître de la Ligne claire à l’idéal solaire de sa jeunesse en offrant une aide matérielle et morale constante à tous les artistes et intellectuels d’Ordre nouveau persécutés par l’aveugle « épuration » de vainqueurs haineux, en gardant le contact avec Léon Degrelle en exil via son épouse Germaine Kieckens et son ami Paul Jamin –et n’hésitant pas à célébrer son héroïsme dans la presse belge– et surtout en continuant à lancer de discrets clins d’œil à ses frères d’idéal dans tous ses albums d’après-guerre : jurons céliniens du capitaine Haddock, nouvelles caricatures antisémites subliminales, présentation du professeur Tournesol en authentique savant national-socialiste,… 

    En conclusion, Armand Gérard explique comment, dans son dernier album, Tintin et les Picaros, Hergé restreint l’ambition de son héros, passant du combat pour la justice sociale du modèle Léon Degrelle vers le repli sur le cercle familier, unique cellule où peut encore se pérenniser la petite flamme de la vérité, de la justice et de la solidarité…

    Hergé ne se remit en effet jamais de l’effondrement du monde nouveau à la construction duquel il participa avec ses amis, purs patriotes, du Soir prétendument « volé » et des organisations d’Ordre nouveau : il les vit tous lourdement condamnés, souvent à mort et exécutés, tel son ami d’enfance Victor Meulenijzer, rédacteur en chef de l’hebdomadaire rexiste Voilà dont il fit la couverture en 1942.

    Dans son ultime interview, peu avant son décès, Hergé ne put s’empêcher de revenir sur l’horreur de la « libération »: « ça a été une expérience de l’intolérance absolue. C’était affreux, affreux ! »

    Synthèse nationale n° 36, à commander en ligne (synthesenationale.hautetfort.com) ou par versement au compte IBAN: FR20 0410 0001 5363 804C 0206 8 (15 €, frais de port compris).

     

  • Léon Degrelle. Documents et témoignages.

    L’hommage le plus substantiel à Léon Degrelle pour le vingtième anniversaire de sa disparition a, sans conteste, été rendu à l’initiative de l’Association des Amis de Léon Degrelle (Dijon). Son président Christophe Georgy conçut le projet d’un livre-hommage qui a ainsi inauguré une nouvelle collection de la revue Synthèse Nationale, « Les Cahiers d’Histoire du Nationalisme ».

    Nous y avons été impliqués, notamment par une interview remarquable de Fernand Kaisergruber intitulée L’Honneur et la Fidélité.

    C’est assez dire que Fernand ne renie en rien l’idéal qui enflamma se jeunesse, participant aux campagnes contre les banksters et aux luttes pour l’élection des candidats rexistes et s’engageant finalement dans « l’épopée inoubliable » de « l’exaltante croisade contre le bolchevisme menée aux côtés de nos camarades européens et qui nous conduisit jusqu’aux portes de Stalingrad. »

    C’est dire aussi que la prétendue épuration des inciviques, qui ne fut qu’un règlement de comptes impunément haineux, ne changea en rien sa conception du monde : « Malgré la répression terrible, rien ne pouvait remettre en cause les raisons profondes de nos engagements. C’était là notre force, c’était aussi une vraie victoire sur la médiocrité. »

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  • Enfin, une plaque commémorative pour le Chef !

    Nous pouvons rendre ici publique l’importante initiative que de fervents degrelliens ont prise pour rendre hommage à celui qui restera pour toujours un véritable guide spirituel.

    Le 15 juin 2014, jour anniversaire de Léon Degrelle, une plaque commémorative pour le vingtième anniversaire de sa disparition a été placée au sommet du Kehlstein, à Berchtesgaden, l’endroit où ses cendres ont été dispersées le 17 juin 1995, pour rendre justice à sa fidélité absolue au Führer et à sa conception du monde nationale-socialiste.

    Une plaque commémorative identique a également été placée au Tombeau du Géant, lieu mythique de la forêt ardennaise où Léon voulait reposer et où une partie des cendres fut également enfouie, le 15 août 2006, année de son centenaire et fête patronale de sa maman.

    Désormais, le Kehlstein se dresse comme le Denkmal non seulement d’Adolf Hitler, mais aussi du fils qu’il se fût choisi, Léon Degrelle.

    Désormais, le "Tombeau du Géant" constitue également le Mémorial de Léon Degrelle.

  • Léon Degrelle: vingt ans déjà...

    C’est le 31 mars 1994 que disparaissait Léon Degrelle, le dernier « Conducteur de Peuple » et dernier grand témoin du monstrueux et tragique cataclysme qui précipita la ruine de l’Europe et dépouilla ses peuples de leur rôle prééminent dans l’histoire du monde.
    Un anniversaire qui fut commémoré de multiples façons à travers toute l’Europe.


    Fidèlement depuis vingt ans, Jeanne Degrelle et ses proches font célébrer tous les 31 mars une messe de Requiem dans la cathédrale de Malaga. Cette année, une messe d’anniversaire fut également célébrée à Paris, en l’église Saint-Nicolas du Chardonnet.

    Comme chaque année également, le Centre Historique de Recherche et d’Investigation (Lille) a publié une plaquette-souvenir, au tirage limité à 150 exemplaires. Intitulée « Au-delà de l’éternité – Léon Degrelle – 20e Mémorial », elle est illustrée d’un magnifique portrait en couleur de Léon Degrelle, réalisé à l’occasion de la remise des Feuilles de Chêne, le 25 août 1944, par Walter Frentz, assistant de Leni Riefestahl pour le tournage des Dieux du Stade en 1936 et photographe officiel au Wolfsschanze, le quartier-général d’Adolf Hitler, à Rastenburg.

    Outre un hommage fervent à la personne et à l’action du plus grand politique jamais né en Belgique, cette plaquette comporte un texte écrit par Léon Degrelle en 1943, se terminant par une ferme profession de foi en l’avenir, qui, pour n’avoir pu se concrétiser alors, devrait toujours nous inspirer : « Nous forgerons pour notre Patrie et pour notre peuple un bonheur qui sera l’honneur de nos vies ».

    46138094b1b336311460c731ea2d5e5d-1396345833.jpgCette année aussi, le Fonds Européen Léon Degrelle décida de célébrer cet anniversaire par une action digne des « Grandes farces de Louvain », en publiant un in memoriam dans la rubrique nécrologique du Soir (quotidien acquis, durant les années de guerre, aux thèses du nouvel ordre européen et pour lequel Hergé dessina ses meilleures Aventures de Tintin) et L’Avenir (pour le nom rappelant le chant patriotique ponctuant les meetings rexistes). Composée de huit lignes seulement et rédigée de manière à tromper la vigilance des ignares de la censure démocratique, cette publication provoqua un véritable tsunami médiatique, preuve s’il en fallait de l’actualité toujours brûlante de celui qui suscita jusque par-delà la mort lois d’exception et arrêtés royaux de persécution !

    31 mars 2014 : Vingtième anniversaire de la disparition de

    l’écrivain et poète

    Jean DOUTRELIGNE

    1906-1994

    Auteur de « Prière à Notre-Dame de la Sagesse », « Révolution des âmes »,

    « La Chanson ardennaise », « La Grande Bagarre »…

    Sa famille, ses amis, ses disciples ne l’oublient pas.

    C’est, comme de juste, le dénonciateur professionnel de supposés néo-nazis, Manuel Abramowicz, qui530026lagrandebagarre.jpg leva le lièvre (en le qualifiant élogieusement de « coup de maître médiatique » !) sur son site RésistanceS. Ce faisant, il dut encore expliquer aux héritiers incultes du « Soir (prétendument) volé », qui étaient Jean Doutreligne et Léon Degrelle : « Jean Doutreligne [auteur de La Grande Bagarre, Flammarion, 1951] est le pseudonyme de Léon Degrelle. » « Il s’agit d’un des personnages les plus sulfureux de l’histoire politique du Royaume de Belgique. Dirigeant de Rex, Léon Degrelle est devenu “général” de la SS wallonne, puis l’icône des nationalistes européens ultras. » « Cette aura s’explique par le fait qu’il réunit sur sa personne à la fois les thèmes de l’extrême droite et ceux de l’intégrisme catholique. On pourrait presque dire qu’il incarne une sorte de “Che Guevara de l’extrême droite” parce qu’il allie le fait d’être un leader politique, de passer pour un intellectuel de par ses activités d’écrivain et de journaliste et, enfin, d’être un homme d’action qui a endossé l’uniforme pour défendre ses idées et qui, même s’il a beaucoup exagéré son rôle, a combattu avec âpreté et courage sur le Front de l’Est, à Tcherkassy notamment. »

    RTL-TVI et la RTBF ont consacré à l’événement de longues minutes dans leurs journaux parlés et télévisés, de même que l’ensemble de la presse écrite (y compris néerlandophone) y fit largement écho, rendant ainsi, elle aussi involontairement, un fameux hommage à celui qu’elle se charge normalement de flétrir…

     

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  • In Memoriam Jeanne Degrelle (1922-2014)

    Il y a un peu plus d’une année, le 15 décembre, s’éteignait parmi les siens à son domicile de Malaga, Jeanne Degrelle, la compagne dévouée de notre Chef.

    Nièce du fondateur de la Milice française, Joseph Darnand, Jeanne Degrelle, née Brevet, était la fille d’Alexandre Brevet, un grand antiquaire de Bourg-en-Bresse.


    Jeanne Brevet épousa en premières noces Henry Charbonneau, proche ami de son oncle, combattant de la Phalange africaine en Tunisie, avant de devenir le rédacteur en chef de Combats, l’organe de la Milice, puis, après la guerre, journaliste à L’Aurore et à Valeurs actuelles. Il publia également Les Mémoires de Porthos, indispensable histoire des nationalistes français entre 1920 et 1946, ainsi que L’Aventure est finie pour eux, portraits de quelques grandes figures contemporaines, parmi lesquelles Léon Degrelle.

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  • In memoriam Stéphane Steeman (1932-2015), collectionneur de Hergé et de… Léon Degrelle.

    C’est le vendredi 23 janvier 2015 que l’humoriste Stéphane Steeman (82 ans) est décédé à l’hôpital de Fréjus où il avait été admis trois semaines auparavant pour des problèmes cardiaques.

    Tout le monde connaît suffisamment sa brillante carrière de comédien-imitateur (rappelée d’ailleurs en long et en large par tous les médias) pour que nous n’y revenions pas.

    Pour nous, Stéphane Steeman fut surtout celui qui accepta l’invitation de Léon Degrelle, désireux de lui faire relire son manuscrit « Tintin mon copain » et qui se rendit à Malaga en octobre 1991.

    Nous pouvons dire aujourd’hui que Steeman en eut bien du mérite car il éprouvait une terrible aversion physique pour l’avion: malgré ses comprimés de Valium, il effectua un vol effroyable, recroquevillé dans son fauteuil et tremblant de tous ses membres. Mais l’envie de rencontrer et connaître personnellement une figure historique telle que Léon Degrelle, qui plus est intimement liée à son idole Hergé, lui permit de tout supporter.

    Et la rencontre fut mémorable, Léon Degrelle venant ouvrir lui-même la porte de son appartement et donnant spontanément une vigoureuse et amicale accolade à son visiteur intimidé, avant de lui faire les honneurs de sa demeure: les dix glorieux drapeaux de la Légion Wallonie ramenés des combats du Front de l’Est, la croix de Chevalier de la Croix de Fer et les Feuilles de Chêne gagnées lors de la percée victorieuse de Tcherkassy et dans les formidables combats d’Estonie, le portrait dédicacé du Führer, les portes mauresques ouvrant sur le bureau de travail entouré par une impressionnante bibliothèque d’ouvrages historiques et artistiques, la magnifique collection de plats andalous anciens, les précieux azulejos, les bois polychromes médiévaux, les tableaux religieux et mythologiques de la Renaissance, le primitif flamand, la terrasse ombragée décorée de marbres romains et, enfin, les rafraîchissements –Xérès, whisky on the rocks– qui attendaient les futurs amis…

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