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Presse - Page 6

  • « Damnatio memoriae »

    Haro sur Léon Degrelle !

     

    Dans la Rome antique, la damnatio memoriae (damnation mémorielle) vouait à l’oubli éternel, par un vote du Sénat, le condamné (essentiellement des empereurs tels Néron, Caligula, Héliogabale,…), en brisant ses statues et en effaçant son nom de tous les documents officiels.

     

    Aujourd’hui, cette peine extrême semble naturellement destinée aux vaincus de la Seconde Guerre mondiale.

     

    Voici l’information dont nous venons de prendre connaissance via des dépêches d’agence.

     

    Deux survivants de l’Holocauste et un ancien résistant polonais ont intenté un procès, avec constitution de partie civile, à une maison d’édition de Gdansk ayant publié certains ouvrages de Léon Degrelle, « officier SS ayant été décoré par Hitler » : les deux premiers volumes du Siècle de Hitler ainsi que Hitler démocrate. Tous livres publiés en France, en 1986 et 1987 pour les premiers, Le Traquenard de Sarajevo et La Pseudo-Guerre du Droit: 1914-1918 (éditions Art et Histoire d'Europe), en 2002 pour Hitler démocrate (en deux tomes toujours disponibles aux Editions de l'Homme Libre, 30€/vol. sur https://editions-hommelibre.fr/).

     

    Arrestation LD.jpgPour l’avocat des plaignants qui tiennent à garder l’anonymat, « La promotion du nazisme et la négation de l’Holocauste sont un délit en Pologne et sont passibles, en théorie, de poursuites pénales qui aboutissent rarement, mais la plainte avec constitution de partie civile devrait empêcher les tribunaux de ne pas la traiter. »

     

    Selon ce juriste du cabinet Dentons, le plus important cabinet international d’avocats au monde, précisant intervenir bénévolement dans cette affaire, ses clients se sentent « blessés dans leur dignité de personnes ayant souffert sous l’occupation allemande nazie en Pologne ». Pour eux, « les livres de Degrelle sont de la propagande nazie et non des documents historiques ». En effet, «  ils ne contiennent pas d’introduction qui en préciserait le contexte. »

     

    Les plaignants réclament « l’arrêt de la distribution des livres de Degrelle, la publication d’excuses dans les médias polonais et le versement de 9500 euros à des œuvres de charité ».

     

    Affaire –exemplaire du souci pour les libertés de presse, de pensée et d’expression caractérisant nos sociétés– à suivre, comme on dit…

     

  • Cercle des Amis de Léon Degrelle. La 26e correspondance privée est sortie

     

    La mine de renseignements relatifs à l’univers degrellien que constitue toujours le courrier du Cercle des Amis de Léon Degrelle est disponible pour les adhérents dans sa vingt-sixième correspondance (voir ce blog aux 26 juin 2016 et 13 avril 2017).

     

    Leon Hedwige 2.jpeg

    La page de couverture affiche un saisissant portrait de Léon Degrelle exécuté d’après le reportage photographique réalisé par Walter Frentz au Quartier Général « Wolfschanze » d’Adolf Hitler à Rastenburg, à la frontière est de l’actuelle Pologne, alors Prusse orientale (la photo originale illustrait la couverture de la 22e correspondance privée de janvier 2016).

     

    Il est l’œuvre de notre amie Edwige Thibaut qui confirme brillamment ses exceptionnels talents de peintre, ajoutés à ses qualités insignes de spécialiste de l’âme nationale-socialiste (rappelons qu’elle est l’auteur de l’indispensable L’Ordre SS. Ethique et Idéologie, aux éditions Avalon, 1991, et du tout récent Heinrich Himmler. Esquisses d’une vie : voir ce blog au 18 avril 2017).

     

    Le sauveur de Tcherkassy est représenté en uniforme de Sturmbannführer de la Waffen-SS coiffé du calot et arborant ses principales décorations : Croix de Fer de Deuxième Classe (le plan rapproché ne permet pas de voir la Croix de Fer de Première Classe, placée sur la poche gauche), l’Insigne en Or des Combats rapprochés et la Croix de Chevalier de la Croix de Fer avec Feuilles de Chêne). Présenté de trois quarts profil droit, Léon Degrelle offre un visage aux traits sculpturalement accentués dessinant l’expression déterminée du soldat ayant accompli son devoir avec cran et fermeté, mais aussi le regard introspectif du chef de peuple préservant le feu de son idéal pour le communiquer, flamboyant, à ses hommes. L’artiste a pu saisir –mieux encore que le cliché photographique car elle parvient à capter l’au-delà des apparences– cet instant de grâce où le poète-soldat, venant de ressourcer ses certitudes nationales-socialistes et l’évidence du combat antibolchevique auprès du Führer qui l’a expressément reconnu comme son fils spirituel, sait –et assume fièrement– que l’honneur de son destin s’identifie pleinement à la fidélité à son engagement solaire.

     

    Au sommaire de ce numéro, nous citerons tout d’abord un article de Léon Degrelle (datant de juin 1934) saluant la nouvelle « Place de la jeune fille dans notre temps » : « Les jeunes filles ont compris non pas la liberté, mais une liberté claire et joyeuse qui a tué l’hypocrisie, le fagotage, l’engoncement physique, moral et spirituel. […] La femme est notre compagne et non point la vestale qui brûle des parfums devant notre vanité largement épanouie. […] Ayant à enchanter des êtres qui ne s’en laissent plus conter, nous allons devoir conquérir ces cœurs en étant délicats et sensibles. Le temps du règne des mufles est passé. »

     

    À noter également l’article original sur « Céline à Montréal » de Rémy Tremblay levant le voile sur le vrai sens du déplacement outre-Atlantique de « l’auteur qui vient de publier Bagatelles pour un massacre » : il s’agissait de rencontrer le chef du fascisme canadien, Adrien Arcand et ses Chemises bleues du Parti National Social Chrétien (une rare photo illustre la réalité de cette réunion). Les vives impressions de Céline –d’une lucidité à laquelle l’histoire a donné raison– furent publiées dans le mensuel du Parti (juin 1938) : « Quand on voit une pareille manifestation de discipline, d’esprit de corps, d’idéal hautement tendu et de patriotisme, on peut dire qu’il y a un bon espoir d’éviter au Canada ce qui s’est passé en Espagne, mais ne vous faites pas d’illusion ; comme la France, toute l’Amérique du Nord est gravement saturée du mauvais levain et gravement menacée ; vous ne serez jamais trop bien préparés, vous n’arriverez jamais trop vite ; les mêmes forces qui ont déchiré et ensanglanté l’Espagne travaillent à rythme redoublé sur ce continent et sont apparemment plus avancées qu’elles ne l’étaient en Espagne il y a deux ans. »

     

    Parmi les autres importantes contributions, citons l’histoire emblématique du Lieutenant Luis Garcia Valdajos, engagé comme simple soldat dans la Division Azul où sa bravoure lui valut le grade d’Obersturmführer, avant de rejoindre la Division SS Wallonie, puis de figurer parmi les derniers défenseurs de la Chancellerie à Berlin, ainsi que la seconde partie de l’entretien avec le Ritterkreuzträger Henri Fenet donnant son avis sur les affaires on ne peut plus sensibles (comme vient encore de le montrer leur instrumentalisation politique par E. Macron lors des dernières élections présidentielles) d’Oradour et Tulle, de même que sur l’Holocauste.

     

    Outre l’hommage indispensable aux héros qui sacrifièrent tout à la défense de notre civilisation et qui nous quittent inexorablement tout en nous remettant le précieux exemple de leur vie à suivre, ce 26e courrier fournit, comme à son habitude, toutes les informations possibles sur les livres, articles de revues ou même objets concernant (de près ou de loin) Léon Degrelle. Nous nous permettrons quand même de regretter que rien ne soit dit de notre blog et son inlassable travail de critique historique et de documentation objective s'efforçant de démonter lieux communs mensongers et bobards calomniateurs dans ce qui continue à se publier chaque jour sur celui qui incarnera à jamais la perfection de notre idéal.

     

    Cercle des Amis de LD – BP 92733 – 21027 Dijon Cedex (France). lesamisdeleon.degrelle@gmail.com

    Adhésion : 22€ (France), 29€ (hors de France)

     

  • Cercle des Amis de Léon Degrelle De précieuses informations !

    1442_001.jpgLe second numéro pour 2017 de la correspondance privée du Cercle des Amis de Léon Degrelle va bientôt sortir de presse : ne manquez pas d’adhérer à cette association qui vous permet de connaître, chaque quadrimestre, pratiquement toute l’actualité degrellienne.

     

    Au sommaire de sa 25e édition (janvier-avril 2017), un message original de Chantal Degrelle, deuxième fille de Léon Degrelle, ainsi que le fameux éditorial du Pays réel du 1er janvier 1941 où Léon Degrelle identifie le rexisme au national-socialisme et salue « le plus grand bâtisseur politique et social des temps modernes » de l’historique Heil Hitler !

    À lire également, l’article « Brasillach a-t-il vraiment choisi Hitler ? », une fort intéressante notice sur Pio Filippani Ronconi (1920-2010), spécialiste des langues et cultures orientales, qui s’engagea dans les Waffen-SS et termina la guerre comme Obersturmführer, avant de retrouver une chaire de philosophie indienne et d’enseigner le sanscrit à l’université de Naples, et la première partie d’un entretien passionnant avec le Hauptsturmführer Henri Fenet, Ritterkreuzträger, commandant le Bataillon Charlemagne parmi les derniers défenseurs du bunker du Führer en mai 1945.

    La richesse de cette correspondance se trouve aussi dans la présentation de tout ce qui s’édite dans l’orbe national-socialiste contemporain ainsi que dans la recension de toutes les publications concernant Léon Degrelle.

     

    Cercle des Amis de LDBP 92733 – 21027 Dijon Cedex (France).

    lesamisdeleon.degrelle@gmail.com

    Adhésion : 22€ (France), 29€ (hors de France)

  • « Degrelle nous a donné envie de nous battre » titre le quotidien flamand De Standaard

    Dans sa série d’articles censés éclairer les prochaines élections présidentielles françaises, De Standaard évoquait à nouveau, ce 12 avril,… Léon Degrelle !

    Las… c’était pour mieux étriller « Les néo-nazis autour de Le Pen ».

     

    Standaard 12 avril.jpgDans cet article, il n’est question que de Frédéric Chatillon et Axel Lousteau, deux amis proches de la présidente du Front National, Marine Le Pen, mais qui ont le tort de s’épancher sur les réseaux sociaux à coups de lourdes blagues sur les juifs, de commentaires émus sur l’anniversaire du Führer ou de photos osées de réalisations culinaires, telle cette assiette de riz disposé en croix gammée… Il ne s’agit là aucunement d’humour, même mal placé, mais bien d’authentiques crimes contre l’humanité ! De quoi les précipiter sans autre forme de procès dans les bûchers inquisitoriaux du politiquement correct !

     

    Alors, si en plus, ces deux malencontreux loustics ont eu le malheur de rencontrer Léon Degrelle en personne, voilà qui ne peut qu’aggraver leur cas si faire se peut, et valoir à Marine Le Pen l’ostracisme universel !

    Nous ne vous avons traduit que ce court (et unique) passage où le correspondant du Standaard à Paris, un certain Ruud Goossens (rudement gaucho !), évoque Léon Degrelle.


    « En 2009, la RTBF diffusait un documentaire fascinant sur Léon Degrelle. Le fasciste wallon qui enregistra, en 1936, un grand succès électoral avec son parti Rex, s’engagea plus tard dans la Waffen-SS et demeura jusqu’à sa mort en 1994 un ardent défenseur d’Adolf Hitler. Dans le reportage apparaissent des images d’une visite que quelques étudiants français effectuèrent en 1992 chez Degrelle, dans sa terre d’exil de Malaga. Un de ces jeunes, Axel Lousteau, demande à un certain moment à Degrelle de lui signer un livre : “Mon Général, c’est un très grand honneur”. Un autre visiteur présent est disposé, dix-sept ans plus tard, à partager ses souvenirs. “Tout le monde, dans nos milieux, voulait rencontrer Degrelle”, raconte Frédéric Chatillon en 2009. “Il nous a donné l’envie de nous battre, de lutter pour nos idées”»

     

    On le voit : ces gens ne méritent pas de vivre ! Ni surtout Marine Le Pen qui les tolère toujours dans son entourage sous prétexte qu’elle peut « toujours compter sur eux, face au monde entier s'il le fallait » !

     

    Nous, tout ce qu’on lui souhaite, c’est de faire comme Léon Degrelle en 1936 et d’engranger un formidable succès électoral le 23 avril prochain. Et mieux encore, en devenant la première femme présidente de la République, le 7 mai suivant !

     

    Alors, peut-être la France pourra-t-elle se libérer du vivrensemble suicidaire et de la paralysie du padamalgame, et renouer avec son histoire pour reprendre son destin en main… respirer enfin !