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  • Cercle des Amis de Léon Degrelle. La 26e correspondance privée est sortie

     

    La mine de renseignements relatifs à l’univers degrellien que constitue toujours le courrier du Cercle des Amis de Léon Degrelle est disponible pour les adhérents dans sa vingt-sixième correspondance (voir ce blog aux 26 juin 2016 et 13 avril 2017).

     

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    La page de couverture affiche un saisissant portrait de Léon Degrelle exécuté d’après le reportage photographique réalisé par Walter Frentz au Quartier Général « Wolfschanze » d’Adolf Hitler à Rastenburg, à la frontière est de l’actuelle Pologne, alors Prusse orientale (la photo originale illustrait la couverture de la 22e correspondance privée de janvier 2016).

     

    Il est l’œuvre de notre amie Edwige Thibaut qui confirme brillamment ses exceptionnels talents de peintre, ajoutés à ses qualités insignes de spécialiste de l’âme nationale-socialiste (rappelons qu’elle est l’auteur de l’indispensable L’Ordre SS. Ethique et Idéologie, aux éditions Avalon, 1991, et du tout récent Heinrich Himmler. Esquisses d’une vie : voir ce blog au 18 avril 2017).

     

    Le sauveur de Tcherkassy est représenté en uniforme de Sturmbannführer de la Waffen-SS coiffé du calot et arborant ses principales décorations : Croix de Fer de Deuxième Classe (le plan rapproché ne permet pas de voir la Croix de Fer de Première Classe, placée sur la poche gauche), l’Insigne en Or des Combats rapprochés et la Croix de Chevalier de la Croix de Fer avec Feuilles de Chêne). Présenté de trois quarts profil droit, Léon Degrelle offre un visage aux traits sculpturalement accentués dessinant l’expression déterminée du soldat ayant accompli son devoir avec cran et fermeté, mais aussi le regard introspectif du chef de peuple préservant le feu de son idéal pour le communiquer, flamboyant, à ses hommes. L’artiste a pu saisir –mieux encore que le cliché photographique car elle parvient à capter l’au-delà des apparences– cet instant de grâce où le poète-soldat, venant de ressourcer ses certitudes nationales-socialistes et l’évidence du combat antibolchevique auprès du Führer qui l’a expressément reconnu comme son fils spirituel, sait –et assume fièrement– que l’honneur de son destin s’identifie pleinement à la fidélité à son engagement solaire.

     

    Au sommaire de ce numéro, nous citerons tout d’abord un article de Léon Degrelle (datant de juin 1934) saluant la nouvelle « Place de la jeune fille dans notre temps » : « Les jeunes filles ont compris non pas la liberté, mais une liberté claire et joyeuse qui a tué l’hypocrisie, le fagotage, l’engoncement physique, moral et spirituel. […] La femme est notre compagne et non point la vestale qui brûle des parfums devant notre vanité largement épanouie. […] Ayant à enchanter des êtres qui ne s’en laissent plus conter, nous allons devoir conquérir ces cœurs en étant délicats et sensibles. Le temps du règne des mufles est passé. »

     

    À noter également l’article original sur « Céline à Montréal » de Rémy Tremblay levant le voile sur le vrai sens du déplacement outre-Atlantique de « l’auteur qui vient de publier Bagatelles pour un massacre » : il s’agissait de rencontrer le chef du fascisme canadien, Adrien Arcand et ses Chemises bleues du Parti National Social Chrétien (une rare photo illustre la réalité de cette réunion). Les vives impressions de Céline –d’une lucidité à laquelle l’histoire a donné raison– furent publiées dans le mensuel du Parti (juin 1938) : « Quand on voit une pareille manifestation de discipline, d’esprit de corps, d’idéal hautement tendu et de patriotisme, on peut dire qu’il y a un bon espoir d’éviter au Canada ce qui s’est passé en Espagne, mais ne vous faites pas d’illusion ; comme la France, toute l’Amérique du Nord est gravement saturée du mauvais levain et gravement menacée ; vous ne serez jamais trop bien préparés, vous n’arriverez jamais trop vite ; les mêmes forces qui ont déchiré et ensanglanté l’Espagne travaillent à rythme redoublé sur ce continent et sont apparemment plus avancées qu’elles ne l’étaient en Espagne il y a deux ans. »

     

    Parmi les autres importantes contributions, citons l’histoire emblématique du Lieutenant Luis Garcia Valdajos, engagé comme simple soldat dans la Division Azul où sa bravoure lui valut le grade d’Obersturmführer, avant de rejoindre la Division SS Wallonie, puis de figurer parmi les derniers défenseurs de la Chancellerie à Berlin, ainsi que la seconde partie de l’entretien avec le Ritterkreuzträger Henri Fenet donnant son avis sur les affaires on ne peut plus sensibles (comme vient encore de le montrer leur instrumentalisation politique par E. Macron lors des dernières élections présidentielles) d’Oradour et Tulle, de même que sur l’Holocauste.

     

    Outre l’hommage indispensable aux héros qui sacrifièrent tout à la défense de notre civilisation et qui nous quittent inexorablement tout en nous remettant le précieux exemple de leur vie à suivre, ce 26e courrier fournit, comme à son habitude, toutes les informations possibles sur les livres, articles de revues ou même objets concernant (de près ou de loin) Léon Degrelle. Nous nous permettrons quand même de regretter que rien ne soit dit de notre blog et son inlassable travail de critique historique et de documentation objective s'efforçant de démonter lieux communs mensongers et bobards calomniateurs dans ce qui continue à se publier chaque jour sur celui qui incarnera à jamais la perfection de notre idéal.

     

    Cercle des Amis de LD – BP 92733 – 21027 Dijon Cedex (France). lesamisdeleon.degrelle@gmail.com

    Adhésion : 22€ (France), 29€ (hors de France)

     

  • L’Encyclopédie de De Bruyne : mensonges et perfidie (10)

     

    La « collaboration » selon Léon Degrelle

     

    « Débouté dans ses tentatives [de jouer un rôle politique de premier plan], la Collaboration lui semble la seule issue possible pour arriver à ses fins. Il s’y résout lors d’un meeting à Liège (05.01.1941 – suite à l’éditorial du Pays Réel du 1er janvier 1941, ponctué par le salut hitlérien) au cours duquel il lance de nouveau un vibrant Heil Hitler (alors qu’en octobre 1939 il avait formellement interdit le salut hitlérien). »

     

    Le goût de l’ellipse confine à la dissimulation et au mensonge par omission chez un De Bruyne que son empressement à établir ses contre-vérités brouille avec la grammaire la plus élémentaire (ignorance des règles régissant l’épithète détachée) et même avec le vocabulaire (seul l’électeur a « débouté » –tout provisoirement– Léon Degrelle de ses prétentions politiques en 1937 ; par contre, en 1940, Léon Degrelle eût certes apprécié avoir affaire à la vraie justice avant d’être arrêté, mis au secret, déporté et torturé !)…

     

     48 P.E. Janson 1937.jpgÀ sa libération des prisons françaises, Léon Degrelle n’a pas imaginé un seul instant « jouer un rôle politique de premier plan » hors de la « Collaboration », c’est-à-dire de la mise en œuvre de l’ordre nouveau national-socialiste rejoignant l’idéal rexiste. Avant même de rentrer à Bruxelles, il rencontre à Paris son ami, l’ambassadeur Otto Abetz (avec d’ailleurs les encouragements écrits de Paul-Emile Janson, le ministre de la Justice responsable de ses avanies !) pour évoquer l’avenir de la Belgique bourguignonne dans le nouvel ordre européen. Il retournera encore à Paris en août pour poursuivre ses discussions, cette fois en compagnie d’Henri De Man.

     

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  • « Dictionnaire amoureux de Tintin » : par Albert Algoud, tintinolâtre douteux, menteur et grossier

    D'un dictionnaire relatif à Tintin, on attendrait un recueil de renseignements sur l'univers du « héros des jeunes de 7 à 77 ans », un état des connaissances le concernant, bref un répertoire d'informations exactes, croisées, vérifiées, passées au crible de la critique historique. D'un dictionnaire « amoureux », on accepte avec joie l'a priori favorable, on pardonne volontiers l'excès hagiographique et on se réjouit d'avance de parcourir un inventaire original et divertissant de l’œuvre immortelle de Hergé.

     

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     Hélas, déformation « amoureuse » ou scrupule historique oblige, nous avons immédiatement voulu vérifier si une occurrence « Degrelle » y figurait. Eh oui ! Elle existe bien ! Mais, face à tant de flagornerie politiquement correcte, face à un tel aplatissement bien-pensant, face à cette trimballée de mensonges rituels récités tel un catéchisme des lieux communs antidegrelliens, tout plaisir de lire nous a quitté, tout ensemble que l'estime que nous aurions pu avoir pour l'humoriste présumé, chroniqueur de France-Inter, connu pour sa prétendue tintinolâtrie féconde, mais dont nous avouons que ce « dictionnaire » est le premier pensum à nous être tombé entre les mains (cadeau d'anniversaire providentiel d'un Philippulus bienveillant).

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  • L’Encyclopédie de De Bruyne : mensonges et perfidie (9)

     3. Conditions de voyage de la déportation en France de Léon Degrelle

    « dans un convoi comportant 73 personnes, accompagnées de 25 gendarmes et de M. DELIERNEUX, directeur au département de la Justice »

    Avec un tel énoncé, De Bruyne laisse entendre que la déportation de Léon Degrelle s’est réalisée dans les meilleures conditions sous la protection de la gendarmerie et d’un haut fonctionnaire de la Justice !... Comme nous venons de le voir, il n’en est évidemment rien.

    Sans ergoter sur le nombre de gendarmes formant l’escorte des prisonniers (mais aucun chiffre avancé par De Bruyne ne semble correct !), nous nous intéresserons plus particulièrement au nombre des déportés qui risquaient tout de même leur vie dans cette aventure.

     

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