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lettre aux français

  • Cercle des Amis de Léon Degrelle


    35e Correspondance privée – Décembre 2020

     

    Annoncé pour juin dernier, nous l’attendions avec impatience, ce magazine que le Cercle des Amis de Léon Degrelle publie régulièrement en France. C’est que, particulièrement au courant de tout ce qui se publie sur Léon Degrelle, la publication du Cercle fonctionne véritablement –avons-nous dit un jour– comme un Degreller Beobachter et ses informations inédites nous sont toujours précieuses.

    Capture.JPGNous rappelons ce mot car un ami nous a transmis jouissivement la copie qu’il a découverte du « tweet » d’un quidam –un certain Maxime, faisant preuve, en l’occurrence de la maximale imbécillité–, qui est un jour tombé sur notre blog et a voulu partager son indignation sans doute « citoyenne » : « L’association, qui s'appelle "Dernier carré" produit également une lettre confidentielle pour ses membres qui s'intitule le "Degreller Beobachter". Pour mémoire le journal du NSDAP s’appelait le "Völkischer Beobachter". La référence est évidente » !...

    Mais rendons à César ce qui lui appartient et au Cercle sa Correspondance privée et empressons-nous de la présenter !

    Comme le plus souvent, la couverture s’orne d’un portrait original de Léon Degrelle. Il s’agit cette fois de la célèbre encre de Chine de Korbo (mais ce n’est pas mentionné : voir ce blog au 1er décembre 2020) reproduit sur bois découpé à la forme du visage et artistement accompagné de l’emblème de Rex. C’est Vincent Florian qui en est l’auteur et ses réalisations sont visibles sur Instagram (Auboisdecheznous) où l’on peut également lui proposer la réalisation de projets personnels.

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  • Pol Vandromme : chantre du non-idéal petit-bourgeois et antidegrellien rabique !

    Voici quelque temps, un professeur de rhétorique retraité d’un de nos collèges des bons pères jésuites (dont, selon l’évêque de Namur, la famille Degrelle faisait partie « de père en fils » !) nous avait fait parvenir un commentaire sur le méchant livre que Pol Vandromme commit, en 1978, sur Léon Degrelle (Le Loup au cou de chien, voir ce blog en date du 14 avril 2016). Notre ami doit être un tant soit peu masochiste car il continue à lire les anciens pamphlets politiques de l’éditorialiste regretté (?) du quotidien catholique de Charleroi Le Rappel. Celui qui lui est tombé sous les yeux, Wallonie irréelle (éditions Didier Hatier, 1986), a l’avantage d’être abondamment illustré par Alidor (le Jam de Rex) (1) et, une nouvelle fois, d’évoquer Léon Degrelle avec le même souverain mépris que six ans plus tôt : il ne citera même pas son nom (2). C’est avec plaisir que nous lui laissons à nouveau la parole.

     

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