Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

  • Quand Léon Degrelle explose les ventes...

    Estimés 6.600 euros, des Degrelliana

    rapportent 14.000 euros (+ 30% de frais) !

     

    D'habitude, les ventes des livres de Léon Degrelle ne suscitent aucune polémique et, même dédicacés, n'attirent guère les foules dans les salles de vente car les œuvres du héros de Tcherkassy sont assez couramment disponibles chez les meilleurs bouquinistes.

     

    Mais ce dernier samedi de juin était spécial car, pour la première fois, un manuscrit quasi complet d'un livre de Léon Degrelle allait être proposé aux enchères par la prestigieuse maison Arenberg Auctions. En même temps que trois disques 78 tours comportant l'enregistrement du discours historique du Chef de Rex, au Palais des Beaux-Arts de Bruxelles, saluant le départ des 850 premiers Volontaires wallons au Front de l'Est, le 8 août 1941.

     

    De quoi alerter les gardiens de l'orthodoxie du politiquement correct qui se firent un devoir, par Le Soir interposé, de tirer la sonnette d'alarme de la moralité outragée et du devoir de mémoire sélectif.

     

    arenberg auctions,le soir,jean-claude vantroyen

     

    Mais ces cris d'orfraie eurent surtout l'effet contre-productif d'assurer on ne peut plus efficacement la publicité de la vente : sans eux, nous n'aurions même pas été au courant de cette exceptionnelle mise aux enchères ! Ce sont d'ailleurs nos amis du Cercle des Amis de Léon Degrelle qui, véritables bénédictins de l'information degrellienne, nous ont alertés.

     

    Confié au vieux pisse-copie du quotidien vespéral Jean-Claude Vantroyen, l'exercice de bienpensance dérape dès les premières lignes, mélangeant allègrement faits réels et souhaits personnels, accumulant imprécisions et contre-vérités. Il est vrai que sa bio dans Le Soir en ligne nous prévient « Il aime particulièrement lire de la science-fiction en écoutant du jazz » !... Et en s'autorisant sans doute aussi quelques fumettes...

     

    C'est ainsi que nous apprendrons que « Léon Degrelle est un personnage banni de la vie et de l'histoire belges » ! Car c'est bien entendu le journal de la cancel culture qui décide de qui appartient ou non à l'histoire de Belgique !

     

    Qu' « il a levé la Légion Wallonie pour combattre avec les Allemands à l'Est » et non pour combattre le communisme menaçant l'Europe et rendre à la Belgique une place honorable dans le nouveau concert des nations (ce blog, par exemple, au 18 janvier 2016).

     

    Ou que Léon Degrelle « a vécu dans l'Espagne franquiste sans être dérangé ». Car échapper à une douzaine de tentatives d'enlèvement ou d'assassinat (ce blog au 3 janvier 2023) fait sans doute partie des activités récréatives organisées par le paradis des vacances qu'est l'Espagne...

     

    Même les faits les plus connus ou les plus immédiatement vérifiables sont entachés d'erreurs traduisant le manque le plus total de professionnalisme : Léon Degrelle « voulait intituler son bouquin Nous les fascistes », alors que la reproduction du manuscrit de la table des matières (voir photo ci-dessus) indique « Souvenirs d'un fasciste ». Mais, nous assure Vantroyen, « L'éditeur a préféré un titre moins violent » Et ce titre, Hitler pour 1000 ans, –autrement plus violent quand même !–, le journaleux n'est même pas capable de le recopier correctement, le transformant en « Mille ans pour Hitler » !

     

    arenberg auctions,le soir,jean-claude vantroyen

    « Pendant vingt ans, le bolchevisme a pesé de son poids monstrueux sur le monde. Il a tyrannisé des centaines de millions d'hommes, dépensé des milliards pour étendre sa lèpre sur l'univers.

    L'Europe entière s'est dressée pour sauver sa vie et anéantir le bolchevisme. Nous partons parce que l’Europe est pour nous un bien sacré, la fleur de la civilisation, le pays des conducteurs de peuples.

    Nous partons parce que notre pays est en cause, comme tous les pays de l'Europe, et que se refuser à la lutte commune, c'est trahir son peuple et déserter.

    Nous partons pour que notre Patrie puisse à nouveau manifester sa présence, rappeler à ceux qui la croyaient jetée au sol, que les plus hautes vertus animent toujours le glorieux LEO BELGICUS de Charlemagne et de Philippe le Bon, du Téméraire et de Charles-Quint, de Philippe II et de Marie-Thérèse, de Léopold II et d'Albert Ier.

    La Belgique à cette heure écarte son suaire. Elle se dresse, face à l'avenir. La voici, voici ses fils, calmes et résolus, au rendez-vous de l'Histoire. C'est pour elle, pour cette Patrie chérie dont l'amour frémit dans chaque pulsation de notre sang, c'est pour réveiller son nom, enrichir son honneur que nous nous avançons. »

     

    (Discours de Léon Degrelle (extraits) au Palais des Beaux-Arts de Bruxelles, le 8 août 1941 : voir ce blog au 8 août 2017).

     

     

    Une telle constance dans le dénigrement gratuit finit par faire consensus chez tout le monde. Même le propriétaire de la maison de ventes se croit obligé d'en rajouter : « Un texte écrit par un fan explicite de Hitler ne devrait-il pas tout simplement être détruit ? » Rassurons-nous, ce ne sera pas le cas car même si le marchand affirme qu' « il ne s'agit pas d'argent », il n'est pas non plus tout à fait désintéressé : « je ne vois pas pourquoi je refuserais de le vendre » ! En effet, selon lui, « Ce n'est pas à nous de l'enterrer. Cette tâche incombe aux historiens » !!!

     

    Vous avez bien lu : la tâche des historiens est désormais de faire disparaître les documents qui embêtent l'histoire officielle. Comme le suggère Vantroyen, « Apparemment, faire commerce de produits nazis ou collaborationnistes n'est pas interdit. [...] Pas interdit, mais moral ? »

     

    C'est avec de pareils raisonnements dont les sophismes ruinent la démocratie que sont contestées les victoires électorales du Vlaams Belang ou du Rassemblement national et que sont justifiées émeutes et violences qui les saluent...

     

    arenberg auctions,le soir,jean-claude vantroyen

     

    En attendant, le manuscrit partiel de Hitler pour 1000 ans estimé à 5.000 euros est parti à 10.500 euros !

     

    Les trois 78 tours du discours de Léon Degrelle au Palais des Beaux-Arts de Bruxelles saluant le départ du premier contingent de la Légion Wallonie au Front de l'Est, le 8 août 1941, a atteint le double de son estimation de 400 euros.

     

    Quant aux « +/- 25 publications par, sur ou contre Léon Degrelle et Rex », estimées une centaine d'euros, elles ont été adjugées à... 700 euros. Les affiches de la Légion, elles, ont plus que doublé leur estimation de 500 euros...

     

    En ajoutant les frais de 28 % (en salle) ou 30 % (par Internet), on arrive à un beau total de quelque 19.000 euros pour les six « Degrelliana » !...

     

  • Le Tombeau du Géant Léon Degrelle

     

    Quelques précisions

     

    Tombeau original recto.png

     

    Il existe deux versions de la carte postale « Le Tombeau du Géant Léon Degrelle » (ce blog au 15 juin 2024).

     

    La première reprend la photo originale du lieu-dit, prise à l'été 2014, avec, dans le bord supérieur gauche, superposés au ciel blanchi par la chaleur estivale, deux portraits emblématiques du tribun de la révolution des âmes : à gauche, le chef de Rex en 1936 ; à droite, en 1991, le fils qu'Adolf Hitler se fût choisi, exilé en Espagne et demeuré fidèle à ses engagements éthiques.

     

    La deuxième version s'est voulue plus artistique en offrant au sarcophage sylvestre un ciel bleu traversé de nuages, sur lequel se détachent les deux portraits ajourés et colorisés.

     

    Ces cartes sont la propriété du Cercle des Amis de Léon Degrelle et accompagneront gratuitement tout achat effectué à la Boutique nationaliste.

     

    Il est néanmoins également possible d'acquérir ces vues du Tombeau du Géant Léon Degrelle au prix de 6 euros les cinq exemplaires.

     

    Tombeau art. recto.png

     

    Tombeau original verso.png

  • Le Tombeau du Géant Léon Degrelle

     

    Le mémorial prédestiné !

     

    Il y a quasiment cent vingt ans que naissait Léon Degrelle. Précisément cent dix-huit ans aujourd'hui. Et exactement trente ans qu'il nous quitta (ce blog au 31 mars 2024).

     

    Largement temps, pensons-nous, pour rendre l'hommage qui revient de droit au meilleur des fils de Bouillon, avec son prestigieux prédécesseur, Godefroid, le chef de la Première Croisade qui libéra la route vers le Tombeau du Christ et dont le destin impressionna vivement le jeune Léon (ce blog au 15 juin 2023).

     

    Léon Degrelle fut, lui, le chef des Croisés wallons au Front de l'Est pour libérer l'Europe de la menace bolchevique. Tous deux furent animés par une foi ardente et par la volonté de permettre à leurs contemporains d'élever leur âme par-dessus les contingences matérielles afin de vivre une authentique vie d'homme transcendant sa condition.

     

    Brochure Légion 1941.png

    Dès leur engagement, les Volontaires pour le Front de l'Est se sont assimilés aux Croisés de Godefroid de Bouillon. La photo ci-avant montre les jeunes rexistes en partance pour leur camp d'instruction défilant devant la statue de l'Avoué du Saint-Sépulcre, place Royale, à Bruxelles : elle est extraite de la brochure célébrant, à l'automne 1941, le départ de la Légion Wallonie (p. 11). Ci-dessous, la photo de Léon Degrelle marchant en tête de colonne, devant le premier Croisé, publiée dans le supplément Magazine, du Pays réel, les 23 et 24 août 1941. Elle sera également reprise dans la brochure Légion Wallonie (p. 5).

    PR Magazine 1941.08.24 Légion Godefroid.png

     

     

    Ce fut le combat de Léon Degrelle, inlassable et salutaire, mais tant calomnié car ingrat, pour la Révolution des Âmes :

     

    « Ce ne sont pas les traités économiques, pas même les réformes structuelles des hommes d'Etat qui rendront à l'univers la vigueur et la richesse. Cela n'est rien sans le reste. Le reste, ce sont les vertus élémentaires, le courage, la générosité, l'abnégation, le don de soi-même.

    Ceux qui sauveront le monde pourri d'égoisme et de cupidité sont ceux-là seuls qui ne comptent pas leurs sacrifices, qui sont prêts, simplement, tous les jours, au fond de leurs coeurs, à ces gestes d'immolation qui devraient être normaux. [...]

    La déformation des consciences, qui scandalise et même effraie aujourd'hui, n'est que la conclusion d'une longue déchéance des vertus humaines et spirituelles ; c'est la passion de l'or, la volonté d'être riches n'importe comment, c'est la frénésie et l'affreux matérialisme de notre temps, l'appétit immédiat du sensible et du palpable, l'égoïsme monstrueux de la lutte pour soi seul, qui ont corrompu les hommes et, à travers eux, les institutions. [...]

    C'est parce que les âmes sont vides que les hommes se battent. C'est parce qu'ils ne croient plus qu'aux biens terrestres qu'ils se les disputent avec cette sauvage âpreté.

    Tant que les âmes n'auront pas été guéries, la cupidité, la haine quelles engendrent se déchaîneront de plus en plus.

    Ou la révolution des âmes, ou l'abjection de plus en plus sanglante de l'univers.... »

     

    Nous avons récemment diffusé le communiqué du Dernier Carré annonçant l'arrêt de ses activités (ce blog au 15 mars 2024). La « Communauté des Anciens du Front de l'Est » dont il était le porte-parole et le soutien est effectivement l'inexorable victime du temps qui passe. Cela ne veut évidemment pas dire que l'idéal solaire que nous ont transmis ces héros magnifiques puisse disparaître : le Dernier Carré a transmis au Cercle des Amis de Léon Degrelle, en même temps que tout son appui matériel, son soutien actif pour la diffusion la plus large auprès de la jeunesse des impératifs de la révolution des âmes.

     

    Aussi, en ultime hommage à Léon Degrelle, qui demeure l'inspirateur de la ligne de conduite de nos vies, le Dernier Carré a élucidé le lieu-dit Tombeau du Géant à Bouillon, sa ville natale : ce patronyme prédestiné se devait d'être complété par le nom même de Léon Degrelle. Et, pour l'officialiser, il a encouragé l'édition d'une carte postale touristique exaltant Léon Degrelle en son ultime demeure, le Tombeau du Géant Léon Degrelle.

     

    Deux petits portraits se détachent du ciel nuageux : le premier, colorisé, du jeune tribun pourfendeur des banksters affairistes, à l'instar du Christ-Roi chassant les marchands du Temple (à propos de cette photo, voir ce blog aux 3 mai 2021 et 11 novembre 2023) ; l'autre (repris de notre blog au 15 juin 2019), de l'exilé demeuré fidèle à son serment le liant à l'homme qui le considéra comme son fils et qui fut le dernier rempart de l'Européen face au nihilisme bolchevique.

     

    LD Retiro.jpg

     

    Les deux profils en miroir dominent le sarcophage naturel dessiné par l'élégant méandre de la Semois dans le hameau bouillonnais de Botassart que, depuis la victoire des Romains sur les Trévires en 57 avant Jésus-Christ, la tradition a appelé « Le Tombeau du Géant ». C'est en cet endroit, au bocage majestueusement cloisonné par la coulée argentée de la rivière, que Léon Degrelle voulut que ses restes reposent. Permettant de donner enfin un nom au Géant ! (Un fidèle degrellien publia d'ailleurs, en 2010 déjà, de belles images de la célèbre presqu'île sous le titre « Léon Degrelle. Ici repose un Géant »).

     

    Nous avons évoqué longuement la saga qui aboutit à la dispersion des cendres du dernier Commandeur de la Légion Wallonie, à la fois au sommet du mont Kehlstein, dans les Alpes bavaroises, et au cœur du lieu-dit « Tombeau du Géant » dans les forêts ardennaises autour de Bouillon (ce blog au 31 mars 2019).

     

    Anne (Degrelle) Lemay eût certes pu et dû expliquer les tenants et aboutissants de cette affaire aussi sensible que lourde de conséquences dans ses souvenirs effilochés, Degrelle, el hombre que cambió mi destino (« Degrelle, l'homme qui changea mon destin », ce blog à partir du 23 octobre 2022). Mais elle a étrangement préféré n'en dire mot...

     

    Rappelons donc qu'à l'issue de la crémation du défunt, c'est le Hauptsturmführer Jean Vermeire qui, au petit matin du 2 avril 1994, emporta les cendres dans sa propriété espagnole des Îles Baléares. Voulant alors à toute force être seul dépositaire des étendards de la Légion, il exerça auprès de Jeanne Degrelle, la veuve de son Chef, le chantage odieux des cendres contre les drapeaux ! Excipant d'un testament périmé désignant Berchtesgaden comme lieu de dispersion, il parvint à entraîner à sa suite Anne Lemay ne décolérant, quant à elle, pas car, dans ses dernières volontés manuscrites, son père avait désigné comme légataire universelle celle qu'il aima éperdument, son épouse Jeanne. Elle fut en effet l'Unique pour qui il eût « voulu vivre cent ans pour la combler de tendresse » ; mais, pour Anne, elle ne fut jamais qu'une marâtre usurpatrice (ce blog aux 17 janvier 2016 et 13 mars 2023)...

     

    Vermeire Jeanne 05.04.94.jpeg

    Trois jours après avoir emporté les cendres du Commandeur de la Sturmbrigade Wallonien, le SS-Hauptsturmführer Vermeire (pourtant détenteur de la dague portant la devise « Mon honneur s'appelle fidélité » !) écrivait à Jeanne Degrelle, la veuve de son Chef, cette lettre pour la rassurer sur la fidèle exécution des dispositions testamentaires de Léon Degrelle. Il les connaît donc parfaitement et s'engage formellement à les accomplir. Il n'en fera rien et sera une nouvelle fois parjure (il avait déjà menti sur son grade dans la déclaration sur l'honneur qu'il prononça et signa au moment de son engagement à la Légion, passant ainsi frauduleusement du rang de troufion [soldat-milicien] à celui d'officier [lieutenant]).

     

     

    Fournissant alors une caution familiale à l'accomplissement de la forfaiture de Vermeire, Anne l'accompagna un an plus tard en Allemagne. Et donc, contre la volonté expresse de son père et de son héritière, la vindicative vida l'urne cinéraire au sommet du Kehlstein, sur le versant dominant le Königsee (c'est-à-dire juste à l'opposé du Berghof d'Adolf Hitler). Elle prit soin aussi de photographier les cendres parmi les roches affleurant le sol de la montagne, en guise de carte funéraire pour sa sœur Chantal (ce blog au 2 septembre 2023), tellement attristée par cette querelle familiale que le soi-disant « bras droit » de son père n'eut de cesse d'envenimer.

     

    LD Kehlstein.jpeg

     

    C'est cette photo qui permit, par l'identification des bâtiments visibles en contrebas, puis de celle des rochers aux formes uniques, de retrouver rapidement la trace des cendres sur la terre typiquement noire des Alpes.

     

    Une partie en fut ramenée afin de satisfaire aux ultimes volontés de Léon Degrelle de retrouver son terroir et sa patrie. Cinq ans passèrent encore pour que l'événement pût coïncider avec le centenaire de sa naissance et, le 15 août 2006, fête patronale de sa Maman, ses cendres furent enfin enfouies au Tombeau du Géant, au cœur de la forêt de Bouillon (ce blog au 31 mars 2019).

     

    Notre blog avait alors publié quelques-uns de ces détails ainsi que les données de géolocalisation. Aujourd'hui, les auteurs de cette carte-vue destinée à la plus large diffusion populaire rendent enfin et fièrement justice au meilleur des fils de Bouillon en traçant ces quelques lignes biographiques au verso réservé à la correspondance  :

    « Né à Bouillon le 15 juin 1906, Léon Degrelle crée le mouvement Rex de révolution des âmes et participe à la Croisade contre le communisme (1941-1945). Alors qu’il combat au Front de l’Est, un tribunal le condamne à mort. Il se réfugie en Espagne jusqu’à son décès, le 31 mars 1994. Très attaché à son terroir, Léon Degrelle voulait que ses cendres soient dispersées dans les forêts de Bouillon. Elles le furent au Tombeau du Géant, donnant enfin tout son sens au patronyme de ce lieu-dit. »

     

    On ne pouvait écrire notice plus concise et précise. Et rebaptiser plus légitimement aussi cet endroit de légende : renfermant désormais les cendres de Léon Degrelle, le Tombeau du Géant Léon Degrelle porte maintenant bien son nom.

     

    Bouillon Tombeau du Géant LDb.png