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  • Calendrier 2019

    C’est avec un sérieux retard que le « Dernier Carré » a pu réaliser son calendrier 2019. Mais il est enfin à votre disposition !

     

    Une des raisons de notre retard a été de rencontrer le souhait de certains membres du « Dernier Carré » d’avoir un calendrier à poser sur le bureau : nous avons dû chercher un imprimeur de confiance pouvant effectuer ce travail.

     

    Calendrier recentré+cadre.jpgUn tel calendrier est sans doute plus pratique et plus maniable, mais du coup, le format a singulièrement diminué et – ce qui ne gâte rien – le prix aussi !

     

    Mais les photos sont toujours aussi superbes et originales : même si on ne peut pas toujours parler de documents inédits, nos illustrations ont le mérite d’être quand même peu connues.

     

    Ceux qui désirent acquérir notre calendrier 2019 verseront donc 12 euros ou 16 euros par exemplaire, tous frais de port compris, selon que l’expédition concerne la Belgique ou l'Europe (IBAN : BE04 2100 4559 7631 du « Dernier Carré »).

     

    N’oubliez pas non plus de mentionner vos nom et adresse postale…

  • Le colonel Jules Frankignoul, ami de Joris van Severen, conquis par Léon Degrelle, candidat-officier à la Légion Wallonie…

    Un camarade de tranchée de Joris van Severen sur le front de l’Yser, officier sur le front de l’Est ?

     

    Voilà le titre interrogatif d’un article de Maurits Cailliau, historien à qui rien de ce qui concerne le chef du Verdinaso n’est étranger, publié dans le dernier courrier trimestriel du Studiecentrum Joris van Severen (1er trimestre 2019, p. 17 sv.).

     

    Comme nous le verrons immédiatement, c’est par un soupir de soulagement que se termine l’article : non, ce camarade de Joris van Severen, devenu colonel BEM de l’armée belge, ne se sera pas compromis dans cette collaboration armée que fut la Légion Wallonie : « Peu importe, l’ami que se fit Joris van Severen dans les tranchées du Front au cours de la Première Guerre mondiale n’est donc jamais allé au Front de l’Est ! »

     

    Studiecentrum 1.jpgEn fait, cet article est censé donner une réponse claire à un article publié sous le même titre interrogatif en 2009, permettant d’enlever définitivement ce point d’interrogation laissant entendre qu’il se pouvait que se soit laissé compromettre « le capitaine francophone Frankignoul que Joris van Severen avait pu apprécier au plus haut point sur le front de l’Yser, comme le montrent quelques fragments extraits des journaux de guerre de Joris van Severen ». Et ce précieux complément d’information, Maurits Cailliau l’aurait enfin trouvé grâce aux renseignements pêchés dans la récente biographie de Léon Degrelle par Bruno Cheyns (De Führer van Bouillon, pp. 419-420 ; voir ce blog aux 10 décembre 2017 et 5 janvier 2018)…

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  • Tintin-Degrelle fête ses 90 ans !

    Inspiré par Léon Degrelle, Tintin naît le 10 janvier 1929

    pour aller se battre contre les communistes !

     

    Rappelée par Léon Degrelle lui-même l'inscrivant dans l'Histoire (notamment par son hommage à son ami Hergé, Tintin mon copain), cette évidence donne des cauchemars à tous les pseudo-tintinophiles qui multiplient postulats apocryphes et mensonges éhontés pour l’étouffer.

     

    C’est donc bien opportunément que les éditions de l’Homme Libre viennent de publier Cristeros, ouvrage reprenant toutes les publications de Léon Degrelle sur les persécutions des catholiques mexicains par leur gouvernement « révolutionnaire ».

     

    Cristeros.jpeg

     

    Ce faisant, ce sont les origines mêmes de Tintin qui sont définitivement mises en lumière, comme le souligne l’Introduction, aux références irréfutables d’Armand Gérard qui met sans doute un point final à la vaine polémique « Léon Degrelle, modèle de Tintin ? » (voir Degrelle-Hergé, même combat, in Synthèse nationale n° 36, mai-juin 2014 ; Léon Degrelle était bien Tintin ! L’intuition première de Jean Mabire, in Magazine des Amis de Jean Mabire n° 45, Solstice d’été 2015).

     

     InkedTintin 1_LI.jpgEn effet, l’argument chronologique (Degrelle n’a pu influencer Hergé par son voyage au Mexique, car il n’eut lieu qu’en 1930 alors que Tintin part déjà chez les Soviets le 10 janvier 1929) ne tient plus : l’idéal spirituel, politique et social affirmé par Léon Degrelle dans son émouvante défense des catholiques mexicains acceptant le martyre au cri de « Vive le Christ Roi » (ce Christus-Rex qui donnera –mais oui– naissance au mouvement REX !), cet idéal, l’ami de Hergé le documenta dans Le XXe Siècle dès 1928 : les 26 octobre 1928 (Les fureurs antireligieuses au Mexique), 27 octobre 1928 (Comment on assassine au temps de Locarno), 16 novembre 1928 (La persécution mexicaine. Pourquoi reculeraient-ils devant le sacrifice ?). Tous ces textes, ainsi que tous les autres reportages et chroniques relatifs aux persécutions des Cristeros (tous articles publiés entre 1928 et 1930 ne se confondant pas avec le futur recueil Mes Aventures au Mexique, publié en 1932), sont ici réédités pour la toute première fois.

     

     De plus, l’engagement anticommuniste de Tintin, s’il puisa les anecdotes de ses aventures dans le livre Moscou sans voiles, s’inspira surtout du courage, de la détermination, du sens de l’initiative et de l’humour de Léon Degrelle parti saccager l’exposition bolchevique de Bruxelles, le 12 janvier 1928. Cet événement considérable qui secoua tout le monde politique et médiatique belge est ici aussi documenté pour la toute première fois.

     

     InkedTintin verso_LI.jpgTout cela –et bien plus– est abondamment détaillé dans ce livre : ce sont bien les qualités morales et spirituelles, la fermeté et la pugnacité du jeune militant catholique incarnant sa foi dans ses œuvres qui ont inspiré le futur héros des jeunes de 7 à 77 ans. C’est donc aussi sa silhouette physique –visage ovale, houppette, culotte de golf– qui caractérisera le jeune globe-trotter.

     

     Dès aujourd’hui, ce Cristeros se révèle une indispensable référence pour tous ceux qu’intéressent les véritables origines de Tintin !

     

     

    Léon Degrelle, Cristeros

    Editions de l’Homme Libre, 328 pages, publication de luxe numérotée (couverture rigide, papier glacé 15x21 cm, avec tranchefile et ruban marque-page, nombreuses illustrations). Edition limitée à mille exemplaires. 25 euros.

    Disponible sur https://editions-hommelibre.fr