Un Panthéon nationaliste…
…pour réfléchir & agir !
S’il est une revue que nous attendons avec impatience dans notre boîte aux lettres (dame ! elle ne paraît qu’une fois… toutes les saisons !), c’est bien Réfléchir&Agir, tant ses analyses sont d’une pertinence sans faille, son humour décapant, l’éventail de ses préoccupations exhaustif, n’oubliant surtout pas l’histoire ni la culture.
Divine surprise ! Le numéro d’été est accompagné d’un Hors-Série consacré aux « Aventuriers, Soldats et Héros » devant animer le Panthéon du militant nationaliste-révolutionnaire.
Le sens d’une telle publication ? Nous rappeler ces exemples constituant autant de repères. Nous rendre courage aussi, si besoin en est. Avant tout, surtout, nous exhorter au respect des vertus de notre race et de ses valeurs spirituelles, des mythes fondateurs de notre culture et de notre civilisation sans pareilles. Nous pousser à exalter toujours et partout notre histoire et ses hauts faits. à cultiver nos traditions ancestrales. À toujours demeurer fidèles à l’exemple, la force d’âme et l’enseignement de nos immortels Anciens. Surtout à cette heure où nous ne pouvons plus nous reconnaître dans le monde actuel.
Comment résister à citer ces extraits de l’édito qui nous fouettent la fermeté et la hardiesse, la constance et la volonté, la fidélité et l’honneur.
« Nous vivons aujourd’hui dans un monde vétuste et sans joie. Un monde que nous ne reconnaissons pas, qui nous agresse au quotidien : nomade, fluide, métissé, transgenre, dégénéré. Être un militant nationaliste-révolutionnaire dans ce contexte peut souvent être la source d’un immense découragement, d’une grande lassitude devant l’écroulement accéléré de tous les grands murs porteurs de notre civilisation. C’est la raison pour laquelle nous avons besoin chaque jour d’avoir à nos côtés ces cohortes silencieuses de nos héros morts ou vivants, hommes de guerre, aventuriers, explorateurs dont le courage a fait la grandeur et l’immensité mais beaucoup plus encore : ils ont accepté de sa battre et de mourir, de mettre leur vie dans la balance quand d’autres se contentaient simplement de vivre. […]
Au quotidien, les soirs de fatigue, lorsque nous pensons que tout est perdu, pensons simplement à nos héros, raccrochons-nous à leur épopée et à leur exemple car eux n’ont jamais failli. […]
Le culte de notre mémoire qui autrefois faisait partie intégrante de notre calendrier mémoriel quotidien est aujourd’hui contrôlé, contesté voire condamné car il dérange les tenants du Nouvel Ordre Mondial qui veulent réécrire l’histoire après l’avoir déconstruite. À l’homme vertical d’hier qui a écrit les plus belles pages de gloire de la civilisation européenne se substituent peu à peu d’autres idoles frelatées habilement fabriquées par les nouveaux marchands de sommeil que sont les médias et les financiers cosmopolites qui mènent le monde […].
Les voilà les nouveaux héros du monde moderne promus par l’Occident dégénéré que nous ne pourrons demain purifier que par un grand feu de joie… Avant que ne revive le souvenir de nos grands Prétoriens dont la figure et la geste seules seront enseignées à nos enfants, ne serait-ce que parce que nos Anciens ne communiaient qu’à la seule religion valable et authentiquement nôtre : celle du courage et de l’honneur. A travers les âges, ce sont ces exemples qui parlent à notre âme et à notre cœur, ces héros qui sont les derniers purs dans ce monde de canailles et qui demeurent nos derniers repères, nos ultimes boussoles. »
Plus de soixante figures d’exception sont proposées à notre respect et à notre méditation. Ce choix est évidemment arbitraire et limité, car c’est un volume de plusieurs centaines de pages qui eût été nécessaire. Mais nous est néanmoins proposée une magnifique galerie d’exemples d’héroïsme, de pureté, de sagesse, de générosité, de distinction…
Et parmi ces figures, Léon Degrelle trouve naturellement sa place.
Très beau texte présentant Léon Degrelle : il ne pèche que par excès de lyrisme car écrit avec la seule mémoire du cœur et non à coups de références livresques.
Aussi, nous consacrant depuis des années à servir la vérité historique concernant l’auteur de Révolution des Âmes, chantre jusqu’à la mort du national-socialisme qui incarna souverainement cette renaissance, et de son Chef Adolf Hitler dont il sut s’attirer respect et affection, nous appartiendra-t-il de rectifier ces détails véniels.
Ce n’est pas en 1938, mais après les élections de mai 1936 que Léon Degrelle « arrive aux portes du pouvoir » en faisant élire 21 députés et 8 sénateurs : le commandant des Chasseurs Ardennais lui propose alors, en vain, de prendre le pouvoir par un coup de force mené avec ses troupes d’élite (ce blog au 14 avril 2017).
C’est en juin 1943 que les Wallons intègrent la Waffen-SS (et non en 1944). Et ce, au terme d’âpres négociations menées directement avec le Reichsführer Heinrich Himmler lui-même. Cela se passait au Quartier-Général d’Adolf Hitler avec qui Himmler était en contact téléphonique permanent : nul doute que cela permit le succès des demandes de Léon Degrelle (commandement belge autonome, utilisation courante de la langue française, maintien de l’aumônier catholique,… : voir ce blog au 20 juillet 2018).
Enfin, Léon Degrelle a reçu la Croix de Chevalier de la Croix de Fer avec Feuilles de Chêne, mais pas les Epées et les Diamants (son ami Sepp Dietrich –ce blog au 12 janvier 2021– en était titulaire, tout comme le général Ferdinand Schoerner, qui le recommanda pour les « Feuilles de Chêne », les obtiendra dans les dernières semaines de la guerre : ce blog au 5 mars 2018).
Par contre, il eût valu la peine de préciser que c'est à deux reprises (20 février et 27 août 1944) qu'Adolf Hitler fit emmener dans son avion personnel Léon Degrelle à son Quartier-Général pour le décorer personnellement et que c'est lorsqu'il lui remit les Feuilles de Chêne (en même temps que la Croix allemande en Or et l'Agrafe en Or des Combats rapprochés) qu'il lui confia: « Si j'avais un fils, je voudrais qu'il soit comme vous »... (ce blog, entre autres, aux 18 juin 2018 et 5 novembre 2020).
Nous savons qu’il est de bon ton de « déconstruire » cette histoire-là aussi et que des auteurs de chez nous, s’improvisant biographes de Degrelle, osèrent même s’y compromettre (ce blog, notamment, au 12 mai 2016).
Mais, outre qu’après avoir établi l’exceptionnelle proximité spirituelle entre Adolf Hitler et Léon Degrelle (ce blog, par exemple, au 25 mai 2021), nous avons prouvé la parfaite vraisemblance de cette reconnaissance (ce blog au 21 juin 2018), nous pensons également fermement que cette proximité avérée par le Führer appartient définitivement au « mythe » degrellien.
Exceptionnel document : nous sommes le 27 août 1944, un mois à peine après l’inimaginable attentat du 20 juillet impliquant un nombre effarant d’officiers supérieurs et visant, en pleine guerre, à éliminer le chef suprême des armées.
Adolf Hitler y échappe par miracle, mais quelle confiance accorder encore à sa hiérarchie militaire ? Quelques semaines plus tard, il ordonne que revienne à lui ce soldat étranger qui depuis longtemps déjà retient son attention par son intelligence politique aussi bien que par son courage indomptable, et a su toucher son cœur par la fidélité inconditionnelle au serment le liant à sa personne.
Comme le montre la photo, Adolf Hitler rayonne alors d’une joie irrépressible en étreignant la main de Léon Degrelle.
C’est à l’issue de leur rencontre, au moment de se quitter, qu’il lui confie cette marque d’affection qui déterminera à jamais la vie du national-socialiste belge : « Si j’avais un fils, je voudrais qu’il soit comme vous… »
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Commentaires
Quelques semaines plus tard, il ordonne que revienne à lui ce soldat étranger qui depuis longtemps déjà retient son attention par son intelligence politique aussi bien que par son courage indomptable, et a su toucher son cœur par la fidélité inconditionnelle au serment le liant à sa personne.
Que dire d'autre ?
La photo du Führer félicitant Léon Degrelle comme un père ivre de fierté accrédite vraiment de manière éloquente la confidence que d'aucuns voudraient tant "fakiser"... Comment prétendre encore qu'Adolf Hitler n'a jamais pu dire à Léon Degrelle : "Si j'avais un fils, je voudrais qu'il soit comme vous" !!! Peut-être a-t-il utilisé d'autres mots ? Ou s'est exprimé en allemand ? Même si on sait maintenant qu'il connaissait le français !