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Il y a 80 ans : le sacrifice de John Hagemans, Prévôt de la Jeunesse Rexiste

 

 

 

1563527276.jpegLe 26 août 1942, –voilà aujourd’hui précisément quatre-vingts ans– disparaissait dans la croisade héroïque contre le bolchevisme sur le Front de l’Est une figure emblématique du combat décisif pour la restauration de l’Empire thiois au cœur d’une Europe assumant l’unité de son destin.

Léon Degrelle l’a rappelé dans La Campagne de Russie : étudiant communiste à l’Université Libre de Bruxelles par souci du bien-être matériel et social de son peuple, John Hagemans sut rapidement que c’était chez Rex qu’il pourrait incarner réellement son idéal, lui conférer son indispensable dimension spirituelle et le faire rayonner parmi les jeunes gens avides de grandeur et de sacrifice. C’est ainsi qu’il devint rapidement le Chef national (Prévôt) de la Jeunesse rexiste, se faisant « le héraut de la grandeur de nos vieux Pays-Bas et le guide épique, l’enchanteur passionnément aimé de la génération nouvelle ».

En racontant, dans Le Pays réel du 13 septembre 1942, la geste héroïque des Légionnaires wallons à Tscherjakow, Léon Degrelle chanta surtout la gloire du plus pur et du plus noble de ses soldats.

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Le Prévôt va mourir

 

Hagemans Faire-part 1.jpegL’aube du mercredi se leva, où allait tomber glorieusement le Prévôt de la Jeunesse Rexiste, le sous-officier John Hagemans.

Trois pelotons avaient été assemblés, qui avaient reçu l’ordre de déblayer toute la crête ouest et de « peigner » la forêt dans la direction sud-ouest sur plusieurs kilomètres de profondeur.

John Hagemans était arrivé la veille seulement parmi nous. Il accompagnait un chargement de munitions et un groupe de renfort. Aussitôt, il avait voulu prendre part à l’expédition de la crête ouest. Il était rentré sain et sauf. Il avait passé la nuit à monter de garde. Lorsque les pelotons d’assaut se formèrent, il demanda à les accompagner comme volontaire.

La colonne se déploya en tirailleurs.

Le Prévôt avait un visage calme, grave. Il connaissait le danger de cet assaut. Depuis qu’il était au Front, il nous parlait chaque jour de sa chère Jeunessse, envoûté par les projets grandioses qu’il méditait pour elle. Ce guerrier avait, au suprême degré, le sens du grandiose. Son âme impériale, même dans l’âpre vie quotidienne du Front, rejoignait sans cesse les milliers de Jeunes qui, dans notre vieil et glorieux Occident, avaient suivi avec des yeux brûlants sa bannière de gloire et de noblesse.

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S
on idéal le consumait au point qu’il brûlait ses forces corporelles. Il avait été à la veille de nous quitter, tant il sentait défaillir sa vigueur physique. Les longues marches d’une offensive de 1150 km l’avaient fortifié au lieu de l’affaiblir. Il était arrivé au Caucase, vigoureux et joyeux, dessinant, à l’arrivée aux étapes, de pittoresques croquis de route, animant ses camarades par son feu et par son humour.

John Hagemans 3.jpgMais ce matin du 26 août, au flanc d’un talus brillant de soleil, il portait sur son visage le recueillement et l’austérité de celui qui sait la grandeur de l’idée qu’il mûrit et le danger que court le corps d’homme qui la contient. Le preux était un ardent chrétien, et le soldat qui le précédait l’entendait qu’il répétait à voix basse l’Ave Maria.

Tout chez lui était spiritualité, le serment de chevalier, le service du soldat, la pierre sculptée qui dit l’élan d’un peuple. Au moment où il va mourir et où seule la pensée du contact avec l’ennemi devrait le préoccuper, c’est la vie chrétienne de cet Occident parfait qui s’épanouit comme une fleur écarlate, à la pointe extrême de sa vie…

 

Les yeux au ciel…

 

Il n’a eu le temps de rien voir.

Une grenade lourde s’est abattue sur le versant du ravin : dix hommes gisent, fauchés monstrueusement en un seul coup.

Plusieurs sont morts, d’autres sont fracassés par d’affreuses blessures. John Hagemans est tombé sur le côté droit, puis s’est retourné sur le dos, comme s’il voulait voir, en mourant, le grand ciel bleu et doré qu’il va rejoindre. Il n’a qu’une blessure qui lui a tailladé jusqu’à l’os l’avant-bras gauche. Il est inconscient, ne sent pas son sang qui coule à flots.

Un camarade rampe jusqu’à lui : ses yeux regardent déjà dans le vide, mais ses lèvres remuent encore faiblement, continuent la prière d’avant le coup fatal « Sainte Marie… Sainte Marie… »

Le visage devient de cire. Le Prévôt de la Jeunesse Rexiste, le sous-officier John Hagemans est mort…

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Pareil aux chevaliers de pierre

 

Il allait reposer, durant la journée, près d’une petite haie de jardin où nous l’avions étendu entre les deux camarades morts en même temps que lui, A…, un admirable idéaliste, et l’infirmier B…, un héros de la guerre 1940.

Ceux qui ont pu, dans notre village, accablés de mitraille, arriver jusqu’au corps de John Hagemans, n’oublieront jamais l’admirable, la pathétique beauté de ce mort.

Seul un minuscule éclat avait atteint la joue gauche. Le corps vidé de son sang avait la majesté du visage de Napoléon reposant à Sainte-Hélène. La ressemblance était extraordinaire : un front immense d’une merveilleuse luminosité, les mâchoires carrées et serrées, les lèvres blanches où flottait un dernier sourire.

Mais on pensait autant au saint qu’au héros, tant il émanait de ce corps de sérénité et d’austérité.

Hagemans mort + LD.jpegNous avons entouré son corps de grandes fleurs de tournesol, cueillies en rampant dans le champ voisin. Su sa poitrine brillait, éclaboussée de son sang, son insigne d’Ancien de Rex. En face, luisaient les grands monts heurtés sans cesse par le fracas de la bataille.

Agenouillés près du corps, nous sentions, malgré la jugulaire du casque, nos mâchoires trembler de chagrin.

Nous pensions à ce jeune foyer, anéanti, à un petit garçon de quelques mois dans les bras d’une jeune maman brisée.

Nous pensions à toute notre Jeunesse que la catastrophe allait jeter dans un abîme de douleur. Le Prévôt mort… Il était là sous nos yeux, livide, sublime, ses grands cils baissés, ses bras croisés sur la poitrine comme ceux des chevaliers de pierre gisant sur les tombeaux de nos cathédrales.

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Pure et dure…

 

John Hagemans fut vengé le jour même par ses camarades des trois pelotons d’assaut. Ils progressèrent jusqu’à la fin du jour, dégageant le secteur ouest. L’ennemi allait devoir se retirer profondément, à quelques kilomètres dans les bois et ne plus nous attaquer par ses poussées soudaines de groupes particulièrement acharnés.

À la nuit, on enterra le Prévôt, sous la fervente lumière d’une étonnante lune orange qui éclairait la cime de tous les monts. Il fut enseveli comme chaque soldat, à même la terre conquise, une terre crayeuse et résistante, pure et dure comme l’avait été celui qu’elle allait recouvrir…

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Ce dessin de John Hagemans réalisé trois jours avant sa mort illustre le cadre de son ultime combat au pied des monts du Caucase : à l’avant-plan, les tournesols qui orneront sa tombe.

 

 

Le promontoire sacré

Hagemans + LD isolés.jpegPendant quarante heures encore, formés en carré autour de nos chères tombes fleuries, sous le tir écrasant des lance-grenades lourdes qui de loin nous couvraient de centaines de projectiles énormes d’un calibre de 75, harcelés par les balles explosives des derniers éléments soviétiques se déplaçant de crête en crête, couverts de débris de toutes sortes, asphyxiés par l’affreuse odeur des dizaines de chevaux morts, rompus par six jours et six nuits de lutte presque incessante, méconnaissables, les compagnons de combat de John Hagemans allaient résister jusqu’au bout.

Le vendredi 28 août, à midi, arrivaient les troupes spécialisées et l’artillerie puissante qui allaient mettre à la raison les dernières bandes tapies dans les bois et réduire les batteries ennemies qui martelaient le secteur conquis par nos armes.

Déjà, depuis deux jours, les grands monts du Sud tombaient un par un ouvrant la voie à de nouvelles avances.

Il ne nous restait plus qu’à reprendre nos fusils et à retrouver les chemins ombreux et ravinés qui nous conduiront à la mer.

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La tombe de John Hagemans est marquée d’une croix sur cette photo du cimetière des héros de la Légion à Tscherjakow.

 

Mais là-haut, témoin immortel de nos luttes, à l’avant du promontoire majestueux qui domine tout le pays, l’inoubliable Prévôt Rexiste, le Héros, le Guide et la Lumière, demain, de toute la Jeunesse de sa Patrie, John Hagemans, parmi ses camarades morts, regarde, au loin, vers les terres où naîtra l’avenir glorieux dont il rêvait et qu’aura assuré son Sacrifice.

 

Léon Degrelle

Tscher…

Vendredi 28 août, à 12h30

 

(Le Pays réel, 13 septembre 1942)

Commentaires

  • Selon moi, cet homme est le prototype même du héros tragique ! Idéaliste convaincu et courageux, fier combattant... et en même temps, un homme d'une grande naïveté et totalement irresponsable. Naïf, car il fallait l'être sérieusement pour croire un seul instant que "ses jeunes" allaient rester entre eux loin des combats. Irresponsable, car il entraîna avec lui des centaines de (très) jeunes gens vers un destin aussi tragique que le sien. Pour la grande majorité des jeunes du 10 mars, Hagemans resta toujours un guide, un meneur et un héros.... mais pour de nombreux parents frappés par le deuil et la perte d'un gamin tombé au front, il était devenu l'homme responsable de tous leurs malheurs...

  • « Naïf, car il fallait l’être sérieusement pour croire un seul instant que ses jeunes allaient rester entre eux loin des combats. »
    Il s’agit là d’une allusion aux théories de De Bruyne (où tout est au conditionnel, ponctué de « semble-t-il » et assorti de références inaccessibles) selon qui Hagemans aurait promis aux parents des jeunes rexistes qu’ils s’engageaient à la Légion pour ne jamais monter au front et rester ensemble comme dans un camp scout. A-t-on jamais produit un document allant dans ce sens (promesse du Prévôt aux parents ou promesse des autorités allemandes à Hagemans) ? Bien naïf qui croit De Bruyne et ses délires destinés à alimenter une opposition mortelle autant que fictive entre Degrelle et Hagemans !

    « Irresponsable, car il entraîna des centaines de (très) jeunes gens vers un destin aussi tragique que le sien. (…) pour de nombreux parents (…), il était devenu l’homme responsable de tous leurs malheurs… »
    De nombreux jeunes n’ont en effet eu qu’une idée : suivre leur chef jusqu’au bout, en mars 1942. Comme de nombreux jeunes ont également voulu suivre leur chef Degrelle et l’exemple de leurs aînés, le 8 août 1941. Des « gamins » se sont alors engagés contre l’avis de leurs parents (et encore plus à la toute fin de la guerre !) ? Et sont tombés au front ? Qui est responsable de ce malheur, sinon la guerre elle-même ? Et les responsables de cette guerre, c’est-à-dire ceux qui l’ont déclenchée, et donc ni Degrelle, ni Hagemans. Ne devenons pas victimes de la rhétorique des De Bruyne. Ces jeunes qui suivaient leurs chefs répondaient surtout à l’appel de leur idéal : c’est les insulter que de ne pas vouloir reconnaître leur décision. La majorité des jeunes rexistes est néanmoins restée en Belgique et continua à défendre ses idées à la « Légion du dedans » comme disait Hagemans… risquant aussi de se faire massacrer par les terroristes communistes : ceux-ci, pour bien marquer leur pouvoir de nuisance sur place où nul partisan de l’Ordre nouveau ne devrait plus se sentir en sécurité, firent d’ailleurs éclater deux bombes sur le parcours du défilé des jeunes volontaires du 10 mars !
    Et ce n’est pas faire de John Hagemans un « Dieu » (comme le prétend le soi-disant historien André Liénard) que de lui rendre l’hommage que sa détermination, son courage et son désintéressement méritent.
    E.H. et M.S.

  • Il ne faut certainement pas voir en moi un ennemi de la Cause et un opposant qui refuserait d'admettre et de souligner la détermination et le courage de tous ces braves Légionnaires partis à l'Est. Mais il est parfois utile de préciser certaines choses...

    D'abord, il est bon de souligner et de rappeler que ces jeunes gens (généralement très motivés pour partir avec leur Prévôt il est vrai - mais ils étaient aussi conditionnés pour cela) ont été plus ou moins forcés de le faire (contrainte morale). Il suffit d'ailleurs de consulter le Pays Réel du mois de mars 1942 pour s'en rendre compte : tous les cadres de la Jeunesse qui ont décidé de ne pas partir le 10 mars ont dû démissionner de leurs grades, titres et fonctions « pour ne pas avoir donné l’exemple à leurs subordonnés ». L’exemple est une chose, l’engagement volontaire en est une autre. Des pressions morales avaient déjà été exercées lors de la constitution du premier contingent et des documents internes de Rex (notamment une directive de Brahy si je me souviens bien) l'attestent.

    Par ailleurs, il y a plusieurs documents très clairs qui sont conservés dans les archives de l'auditorat militaire et qui attestent que de nombreux parents n'avaient pas conscience des dangers réels auxquels s'exposaient leurs enfants.

    Une maman écrit au Chef le 11 juillet 1942 :

    « On me rapporte aujourd’hui une chose à laquelle je n’ose croire : il paraitrait que ces enfants ont été mis au feu, est-ce possible ? N’y a-t-il pas d’autres besognes pour des enfants ? Si l’on me disait cela des Russes, je n’en serais pas étonnée, mais de vous, je suis réellement consternée. Ce sont des enfants mineurs (…) et j’ai laissé partir mon fils après avoir reçu de la Prévôté tous mes apaisements et la certitude que ces enfants ne seraient affectés qu’à des missions accessoires (…)». De la Prévôté donc !

    Dans un autre courrier, on apprend que Roger De Goÿ, adjoint du Prévôt Hagemans, a rassuré cette même maman en lui indiquant qu’il s’agissait « d’un séjour dans un camp de jeunesse pour une durée de six mois ». De Goÿ écrivait encore : « Je puis cependant vous assurer que nous ne partons pas à la Légion pour terminer avec elle le conflit actuel, mais pour y accomplir une période d’écolage merveilleux ! ». Un écolage merveilleux ? Très dangereux malgré tout... il suffit de penser à Pierre Taverne et à tous les autres.

    Même son de cloche auprès de Madame Degrelle : les jeunes légionnaires qui sont partis ne seront jamais très exposés.

    Autre extrait d'une lettre de Victor Matthys adressée le 24 avril 1942 :
    " (...) Sans vouloir vous cacher quoi que ce soit de la vérité, je crois cependant qu'il n'y a pas de raisons d'être particulièrement inquiète. Il est vraisemblable que les Légionnaires du nouveau contingent participeront à l'offensive, mais il est également certain que cette offensive sera infiniment moins périlleuse que les opérations défensives auxquelles la Légion a participé jusqu'à présent (...)".

    Les mots sont biens choisis et pesés, certes, mais le contenu est bien loin de la réalité. Pas d'inquiétude à avoir !?! Il est vrai que Victor Matthys n'a jamais mis les pieds au front de l'Est...

    Autre extrait :

    « (…) tous les parents des jeunes Légionnaires et même des plus âgés, ont été indignés d’apprendre que ces enfants avaient appelé leurs mamans, terrifiés qu’ils étaient du danger devant lequel on les avait placés ».

    Difficile dès lors de soutenir que les volontaires et leurs parents avaient été clairement informés des dangers à venir, c'est même plutôt le contraire au regard des extraits reproduits ici. A partir du moment où il y une manipulation (mensonge, atténuation, omission), il y a une part de responsabilité indéniable dans le chef de celui qui manipule. Enfin, tout ceci n'est que mon humble avis de lecteur.

  • Il est vrai (il faut le reconnaître) que le Prévôt Hagemans est pourtant limpide dans ces propos quand il est question de répondre à l'appel du Chef :

    " Ainsi nous aurons la très grande joie de constituer un groupe de combat autonome, exclusivement composé de jeunes" (Pays Réel, 13 février 1942).

    " (...) nous monterons en ligne (...) casques d'acier en tête (...) en serrant de nos poings durs ces armes tant attendues" (Pays Réel, 13 février 1942).

    L'expression "groupe de combat" est à nouveau utilisée les 19 et 26 février 1942 notamment.

    Plus tard, le 30 juin 1942, on lit encore :

    "Les camarades du nouveau contingent (...) sont mis en ligne, par équipes, avec des camarades expérimentés. Lorsque sonnera l'heure de la grande offensive, ils y seront aussi bien préparés que les vieux Bourguignons ".

    On lit cependant juste après que "le groupe des jeunes est évidemment l'objet d'attentions toutes spéciales". Cette mention peut naturellement être interprétée de plusieurs façons.

    Face à ces propos (groupe de combat, monter en ligne, etc.), il y eut une réaction chez de nombreux parents qui exprimèrent non seulement leur étonnement, mais aussi leurs inquiétudes. Les courriers cités ci-dessus interviennent alors dans ce contexte.

    Il me faut donc quelque peu revoir ma première intervention :

    * John Hagemans est totalement conscient qu'il va constituer un groupe de combat composé de jeunes gens qui ne pourront devenir de vrais meneurs qu'à travers le feu et le sacrifice du sang. [de mon point de vue, il a donc bien une responsabilité... en droit pénal, l'on parlerait, si je ne m'abuse, de circonstance aggravante par ''relation d'autorité'']

    * John Hagemans exige que tous les cadres JNS signent un engagement à la Légion [voir le Pays Réel du 26 février 1942 : "Vous signerez TOUS (...) Vous serez TOUS PRESENTS (...) Je veux que TOUS vous ayez franchi cette minute solennelle où un homme (...)]

    * John Hagemans pense naïvement monter en ligne à la tête d'un groupe de combat autonome composé exclusivement de jeunes inexpérimentés.

    *John Hagemans, la Prévôté et d'autres personnalités du mouvement tentent de rassurer les parents très inquiets en minimisant les actions que devront accomplir les jeunes

    Sujet très intéressant au demeurant. Dommage que l'accès à toutes les sources soit si difficile... !

    Merci encore pour vos publications.

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