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  • 8 août 1941 – 8 août 2017: 76e anniversaire de la création de la Légion Wallonie par Léon Degrelle

    Le Message du Chef : « Que soient balayées les forces de mort qui ont failli tuer la Patrie et qui ricanent, sans doute, devant votre immolation ! Notre Pays sera aux hommes à l'âme rude qui auront, face à la mort, fait la preuve de la grandeur de leur idéal. »

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    Voilà aujourd'hui 76 ans que Léon Degrelle inaugura solennellement au Palais des Beaux-Arts de Bruxelles la Légion Wallonie par une harangue exaltant les plus hautes valeurs morales justifiant la nécessité réfléchie du sacrifice même de sa propre vie.

    Seul fondateur, car seul initiateur de cette démarche historique, Léon Degrelle est –comme nous l'avons montré (voir ce blog aux 9 et 16 juillet 2017)– le seul vrai père de la Légion Wallonie, contrairement aux fariboles du soi-disant encyclopédiste De Bruyne prétendant au mépris de toute vraisemblance que le lieutenant général des Formations de Combat, Fernand Rouleau, aurait mis Léon Degrelle et tout l'état-major de Rex devant le fait accompli, obligeant son chef à sauter dans le train en marche de la collaboration militaire pour ne pas perdre la face !

    Nous reproduisons ci-après le discours fondateur de la Légion Wallonie, tel que Léon Degrelle le prononça au Palais des Beaux-Arts à destination des Légionnaires sacrifiant vie familiale et professionnelle pour répondre à l'appel de leur idéal et engager leur destin dans les combats du Front de l'Est qu'ils savaient titanesques et cruels, mais décisifs.

    Tout le monde pourra vérifier qu'il ne s'agit plus ici, contrairement aux élucubrations insanes de De Bruyne, de forfanterie, d'ambition personnelle ou de lutte partisane pour quelque prébende ou préséance, mais bien du don total de sa vie pour une cause qui la dépasse, la mérite et l'exige : la croisade contre le communisme menaçant d'anéantissement l'Europe et sa civilisation !

    Ce discours de vérité rappelant clairement à chacun les enjeux et les risques librement encourus fut publié dans Le Pays réel du 9 août 1941. Le lendemain, le quotidien rexiste publia un émouvant éditorial de l'épouse de Léon Degrelle, Marie-Paule Lemay, destiné « A celles qui restent... », d'une même élévation spirituelle, manifestant une totale communion d'âme et ne permettant pas de douter un seul instant de la qualité insigne de l'engagement sacrificiel consenti par tous les Volontaires de cette Croisade antibolchevique ainsi que par leurs proches.

     

     

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