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  • Léon Degrelle, 25 ans déjà

     

    Hommage, recueillement, reconnaissance

    à travers toute l’Europe et le monde

     

    C’est à 23h15 précises, le 31 mars 1994, que Léon Degrelle –demeuré inébranlablement fidèle à la foi catholique de ses ancêtres– entra dans l’éternité (voir ce blog aux 15 juin 2016 et 31 mars 2018).

     

    Cet accès à la Communion Divine se fit providentiellement alors même que se célébrait l’institution de la Sainte Eucharistie, le Jeudi-Saint de 1994.

     

    Tout au long de sa vie d’exil espagnol, Léon Degrelle s’efforça toujours de participer activement aux cérémonies du Triduum pascal célébrant la Passion, la Mort et la Résurrection du Christ, et certainement à partir de l’inauguration en 1966 de la Paroisse de la communauté francophone de Madrid se regroupant en la nouvelle église Saint-Louis des Français.

     

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    bénédiction apostolique,jean paul ii,dernier message tcherkassyLéon Degrelle avait ainsi plaisir à raconter comment, un Jeudi-Saint, au milieu des années 1980, s’étant porté volontaire pour la cérémonie du Mandatum, il avait expliqué au prêtre interloqué qu’il venait de laver le pied d’un « général de la Waffen-SS » ! Le prêtre en question avait en effet fait savoir qu’il était le neveu de Charles Hernu, ministre de la Défense de François Mitterrand…

     

    Cette anecdote ne doit pas faire penser que le dernier Commandeur de la Légion Wallonie prenait les rites religieux à la légère, mais il savait faire la part des choses entre sa foi catholique et les prêtres, représentants officiels du Christ, mais tellement faillibles dans leur mission de répandre exemplairement son message. Comment, sinon, eût-il placé parmi ses premières exigences auprès de Heinrich Himmler pour emmener ses hommes à la Waffen-SS, la présence d’un aumônier ? De même s’il n’hésita pas à gifler le prêtre qui s’obstina à lui refuser la communion sous le fallacieux prétexte qu’il faisait œuvre de propagande politique dans l’église en portant l’uniforme réglementaire de son unité, il encourut comme une tragédie son excommunication signifiée par l’évêque de Namur (voir ce blog au 25 décembre 2016, note 8).

     

    Aumônier Wallonie Messe.jpg

     

    C’est pourquoi afin de pouvoir mieux nous unir spirituellement à celui à qui le Führer déclara que sa mère, si elle vivait encore, l’accompagnerait volontiers à sa messe matinale, afin de nous mettre en communion avec son esprit à travers la liturgie célébrant le Christ ressuscité, nous avons demandé à tous nos amis degrelliens d’organiser des messes votives ou, à tout le moins, de demander à l’officiant de recommander à Dieu l’âme de Léon Degrelle au cours du Memento des morts, lors de l’office de ce quatrième dimanche de Carême.

     

    Messe Madrid.jpgDes liturgies, toujours émouvantes, ont donc été célébrées ce matin en Italie (Rome), France (Paris, Dijon, Lectoure, Marseille), Espagne (Madrid, Malaga, Constantina) et Belgique (Bruxelles). D’autres le seront encore demain en France, Italie, Grèce, Portugal, Roumanie, Mexique et Brésil.

     

    Ainsi avons-nous pu vivre un peu partout dans le monde cette vaste et authentique communion spirituelle rassemblant au-delà de toutes frontières d’espace et de temps nos amis vivants et tous nos défunts dont nous ne pouvons plus qu’honorer la rectitude et l’héroïsme. Sans oublier non plus ceux « d’en face », morts que nous recommandons à l’amour inépuisable de Dieu, et vivants pour qui nous prions que leur soit accordée la grâce de la vérité et de la justice.

     

    bénédiction apostolique,jean paul ii,dernier message tcherkassyLéon Degrelle ne les oublia jamais non plus, dans ses commentaires et jusqu’en son ultime message à ses valeureux Légionnaires, quelques semaines à peine avant de rejoindre lui-même la Grande Armée des héros du Front de l’Est :

    « Je répète mon admiration pour les adversaires qui ont été logiques, qui, croyant le contraire de ce que nous croyions, ont combattu pour ce qu’ils croyaient. Il y eut deux mille cent volontaires intrépides qui ont représenté avec honneur la Belgique, de 1941 à 1945, dans les rangs des Alliés. Ceux qui sont morts pour la Belgique dans l’autre camp sont l’objet de notre profonde sympathie. Les valeureux soldats de la Brigade Piron, les vrais Anciens combattants de 1940 et les Résistants qui n’étaient pas les affidés des Soviets savent parfaitement que eux et nous, avons été les seuls à faire concorder courageusement les idéaux et les faits. Les soldats sincères ont préféré, nombreux, nous tendre la main. Eux et nous, malgré tout ce qui nous a opposés, nous sommes en fait des camarades. »

    (Léon Degrelle : persiste et signe. Interviews recueillies par Jean-Michel Charlier, p.422 sv.)

     

    « Dans le monde pourri d’aujourd’hui, seules brillent encore les vertus des héros ! Demain, ce sont eux –et les héros d’en face !– qui, réunis dans la gloire, feront le 21e siècle ! Vous avez été grands. Seul cela compte dans la vie ! »

    (Léon Degrelle, Message aux Légionnaires pour le 50e anniversaire de la Percée de Tcherkassy, 18 février 1994, 7h du soir)

     

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  • Léon Degrelle, 1994 – 2019

     

    Les lieux de recueillement au Kehlstein

    et au Tombeau du Géant

     

    Le 17 juin 1995, les cendres de Léon Degrelle furent dispersées au-delà de la croix sommant le Kehlstein, à l’endroit le plus haut de cette montagne de 1834 mètres, à l’extrémité occidentale de laquelle le Parti National-Socialiste des Travailleurs Allemands construisit ce formidable chalet de granit pour le cinquantième anniversaire du Führer Adolf Hitler.

     

    Kehlstein Cendres Leon.jpegLe SS-Haupsturmführer Jean Vermeire et Anne Degrelle, fille puinée du dernier Commandeur de la Légion Wallonie, accomplirent ainsi les volontés du défunt contenues dans un premier testament de 1991. En effet, le délai que laissa passer Vermeire avant de se décider à accomplir sa mission empêcha que soient respectées, à ce moment, les ultimes volontés de Léon Degrelle qui avait souhaité que ses cendres soient dispersées à un endroit tout aussi mythique, le lieu-dit « Tombeau du Géant », à proximité de sa terre natale de Bouillon, dans un majestueux méandre de la Semois.

     

    Tombeau Géant.JPG

    Pourquoi cela ne fut-il plus possible ? Car entretemps, dix-huit jours après l’annonce du décès du plus glorieux chef militaire de l’histoire belge, l’abject gouvernement de ce pays crut pouvoir enfin assouvir sa haine contre celui dont l’existence même était un reproche à sa stupide mesquinerie. Il se donna le ridicule d’une énième « Lex Degrelliana » en faisant signer par un roi discrédité l’arrêté « d’interdiction d’accès au territoire belge des restes mortels de Léon Degrelle » !

     

    Moniteur 18 avril 1994.jpeg

     

    Les raisons des atermoiements de Vermeire –à la limite du sordide– ont été évoquées dans notre In memoriam de Jeanne Degrelle, l’héroïque veuve du Chef (voir ce blog au 17 janvier 2016). Mais comme des fidèles n’eurent de cesse de retrouver l’endroit précis du dépôt et d’en prélever une partie pour l’enfouir au centre du Tombeau du Géant, ce sont finalement les dispositions de tous les testaments de Léon Degrelle qui se virent accomplies.

     

    Capturer.PNGC’est ainsi qu’à l’occasion du vingtième anniversaire de la disparition de celui qu’Adolf Hitler considérait comme son fils, le « Dernier Carré » fit apposer une plaque commémorative aux deux endroits mythiques qui ont accueilli ses restes et publia le communiqué suivant résumant la chronologie des différentes dispersions (voir ce blog au 21 janvier 2016) :

    « Le 15 juin 2014, jour anniversaire de Léon Degrelle, une plaque commémorative pour le vingtième anniversaire de sa disparition a été placée au sommet du Kehlstein, à Berchtesgaden, l’endroit où ses cendres ont été dispersées le 17 juin 1995, pour rendre justice à sa fidélité absolue au Führer et à sa conception du monde nationale-socialiste.

    Une plaque commémorative identique a également été placée au Tombeau du Géant, lieu mythique de la forêt ardennaise où Léon voulait reposer et où une partie des cendres fut également enfouie, le 15 août 2006, année de son centenaire et fête patronale de sa maman.

    Désormais, le Kehlstein se dresse comme le Denkmal non seulement d’Adolf Hitler, mais aussi du fils qu’il se fût choisi, Léon Degrelle.

    Désormais, le Tombeau du Géant constitue également le Mémorial de Léon Degrelle. »

      

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    En nos temps où l’histoire se réécrit avec des œillères et où tout ce qui peut rappeler l’épopée nationale-socialiste est voué à la « Damnatio memoriae », c’est-à-dire à la malédiction et à la flétrissure (voir ce blog au 18 avril 2018), pareil hommage était certainement insupportable. Aussi nos plaques ne restèrent guère plus d’un an au Kehlstein, un peu plus de deux ans au Tombeau du Géant.

     

    Il n’en reste pas moins que Kehlstein et Tombeau du Géant demeurent d’impérissables lieux de mémoire et de recueillement pour Léon Degrelle.

     

    Vous pouvez désormais vous y rendre facilement, vous y recueillir et y déposer des fleurs grâce aux coordonnées de géolocalisation :

     

    Kehlstein : N : 47°36.600 – E : 13°02.741

    Tombeau du Géant : N : 49°48.547 – E : 5°02.430

     

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